Les travailleurs de l'Institut national de la productivité et de développement (INPED) ne décolèrent pas. Au 25e jour de protestation, les travailleurs dudit institut ont observé, hier, un rassemblement devant le ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements pour réclamer le départ du staff dirigeant de l'institut et la mise en place d'une commission d'enquête sur la gestion des affaires de l'institut. Les protestataires ont dénoncé le silence des responsables du département de l'industrie et de la promotion des investissements notamment le ministre, et ce, après plus de quatre semaines de grève. Le secrétaire général ainsi que le chef de cabinet du ministre ont accepté de recevoir les protestataires et leur ont promis de débloquer la situation, nous dit-on. Selon des protestataires, le climat est très tendu et l'institut n'a jamais connu un tel débrayage depuis sa création. « Au lieu de trouver une issue favorable, le responsable recourt aux menaces et à l'exclusion », nous dit-on encore. Les travailleurs de l'Institut national de la productivité et de développement (INPED) ne décolèrent pas. Au 25e jour de protestation, les travailleurs dudit institut ont observé, hier, un rassemblement devant le ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements pour réclamer le départ du staff dirigeant de l'institut et la mise en place d'une commission d'enquête sur la gestion des affaires de l'institut. Les protestataires ont dénoncé le silence des responsables du département de l'industrie et de la promotion des investissements notamment le ministre, et ce, après plus de quatre semaines de grève. Le secrétaire général ainsi que le chef de cabinet du ministre ont accepté de recevoir les protestataires et leur ont promis de débloquer la situation, nous dit-on. Selon des protestataires, le climat est très tendu et l'institut n'a jamais connu un tel débrayage depuis sa création. « Au lieu de trouver une issue favorable, le responsable recourt aux menaces et à l'exclusion », nous dit-on encore.