L'euro se stabilisait face au dollar mardi en l'absence de nouvelles informations et dans l'attente d'indicateurs américains. La monnaie européenne valait 1,4432 dollar en milieu de matinée contre 1,4436 dollar lundi soir. Les cambistes guettaient hier la diffusion aux Etats-Unis des chiffres du commerce extérieur pour février et des prix à l'importation pour mars, en quête d'indices sur la vigueur de la reprise économique américaine qui pourraient encourager la Réserve fédérale américaine (Fed) à altérer la politique monétaire toujours très accommodante. "Le couple euro-dollar fait une pause pour reprendre son souffle", observait une analyste. Depuis la mi-février, l'euro a été porté par des spéculations sur un resserrement anticipé de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE). La monnaie unique a culminé vendredi à 1,4489 dollar, son niveau le plus élevé depuis le 15 janvier 2010, au lendemain de l'annonce d'une première hausse depuis trois ans du taux d'intérêt directeur de la BCE pour contrer une accélération de l'inflation. Le marché semble ainsi rester confiant vis-à-vis de la situation budgétaire des pays de la périphérie de la zone euro, et ignorer les craintes de voir le resserrement monétaire accentuer le fossé qui sépare les économies solides et fragiles dans la région. "Mais si le marché veut rester confiant (...), il doit rester convaincu que les mesures de réforme budgétaire mises en place par le gouvernement en Espagne suffiront à éviter au pays de faire appel" à une aide extérieure, comme le craignent toujours certains observateurs, expliquait l'analyste. L'euro se stabilisait face au dollar mardi en l'absence de nouvelles informations et dans l'attente d'indicateurs américains. La monnaie européenne valait 1,4432 dollar en milieu de matinée contre 1,4436 dollar lundi soir. Les cambistes guettaient hier la diffusion aux Etats-Unis des chiffres du commerce extérieur pour février et des prix à l'importation pour mars, en quête d'indices sur la vigueur de la reprise économique américaine qui pourraient encourager la Réserve fédérale américaine (Fed) à altérer la politique monétaire toujours très accommodante. "Le couple euro-dollar fait une pause pour reprendre son souffle", observait une analyste. Depuis la mi-février, l'euro a été porté par des spéculations sur un resserrement anticipé de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE). La monnaie unique a culminé vendredi à 1,4489 dollar, son niveau le plus élevé depuis le 15 janvier 2010, au lendemain de l'annonce d'une première hausse depuis trois ans du taux d'intérêt directeur de la BCE pour contrer une accélération de l'inflation. Le marché semble ainsi rester confiant vis-à-vis de la situation budgétaire des pays de la périphérie de la zone euro, et ignorer les craintes de voir le resserrement monétaire accentuer le fossé qui sépare les économies solides et fragiles dans la région. "Mais si le marché veut rester confiant (...), il doit rester convaincu que les mesures de réforme budgétaire mises en place par le gouvernement en Espagne suffiront à éviter au pays de faire appel" à une aide extérieure, comme le craignent toujours certains observateurs, expliquait l'analyste.