L'Afrique est le continent où les investissements sont des plus rentables, et dont les pays se tournent de plus en plus vers la démocratie, a indiqué mercredi à Washington l'ambassadeur des Etats-Unis auprès de l'Union africaine, Michael Battle. Ce responsable américain s'exprimait lors d'une conférence de presse animée conjointement avec le président de la Commission de l'Union africaine, Jean Ping, qui conduit une délégation africaine à l'occasion de la tenue de la 2e Réunion de haut niveau Etats-Unis-Union africaine les 20 et 21 avril dans la capitale fédérale. Pour M. Battle, le continent africain est en train d'enregistrer des progrès avec un certain degré de rapidité : "C'est un moment formidable d'être engagé en Afrique". Dans ce sens, il a indiqué que "si certains évoquent souvent des difficultés et des défis en Afrique, il n'en demeure pas moins que c'est un continent où l'investissement s'est avéré très rentable pour ceux qui prennent le risque d'y investir". De grandes avancées sont également enregistrées dans le domaine politique à l'échelle africaine "où il y a de plus en plus de pays qui s'orientent vers la démocratie", a constaté le même responsable. Lors de cette conférence de presse, le président de la Commission africaine, M. Jean Ping, a été interrogé pour sa part sur ''la feuille de route'' pour la crise libyenne, qui devrait être discutée jeudi avec la secrétaire d'Etat Hillary Clinton. Qualifiant la situation en Libye de "très grave", M. Ping a souligné que le monde, y compris au sein de l'Otan, reconnaît de plus en plus que "la solution n'est pas militaire". L'Union africaine, a-t-il rappelé, a désapprouvé, depuis le début de la crise, la solution militaire et a toujours clamé que la situation en Libye devrait être résolue par des moyens politiques : "Notre feuille de route est assez claire concernant la solution en Libye". Il est à souligner que Jean Ping dirige une délégation de hauts responsables de l'Union africaine dont le commissaire pour la paix et la sécurité auprès de l'Union africaine (UA), Ramtane Lamamra. La Réunion de haut niveau Etats-Unis-Union africaine est un forum annuel pour le dialogue bilatéral entre les deux parties sur une grande variété de sujets d'intérêt commun. Au cours de leur séjour à Washington, M. Ping et les membres de sa délégation se réuniront avec la secrétaire d'Etat Hillary Clinton, le ministre américain de la Justice, Eric Holder, le vice-conseiller de la Sécurité nationale, Denis McDonough, le secrétaire d'Etat adjoint, James Steinberg, le sous-secrétaire d'Etat adjoint aux affaires politiques, William Burns, la sous-secrétaire d'Etat pour la diplomatie et les affaires publiques, Judith McHale, et le sous-secrétaire adjoint du département de l'agriculture, Darci Vetter, et d'autres hauts fonctionnaires. L'Afrique est le continent où les investissements sont des plus rentables, et dont les pays se tournent de plus en plus vers la démocratie, a indiqué mercredi à Washington l'ambassadeur des Etats-Unis auprès de l'Union africaine, Michael Battle. Ce responsable américain s'exprimait lors d'une conférence de presse animée conjointement avec le président de la Commission de l'Union africaine, Jean Ping, qui conduit une délégation africaine à l'occasion de la tenue de la 2e Réunion de haut niveau Etats-Unis-Union africaine les 20 et 21 avril dans la capitale fédérale. Pour M. Battle, le continent africain est en train d'enregistrer des progrès avec un certain degré de rapidité : "C'est un moment formidable d'être engagé en Afrique". Dans ce sens, il a indiqué que "si certains évoquent souvent des difficultés et des défis en Afrique, il n'en demeure pas moins que c'est un continent où l'investissement s'est avéré très rentable pour ceux qui prennent le risque d'y investir". De grandes avancées sont également enregistrées dans le domaine politique à l'échelle africaine "où il y a de plus en plus de pays qui s'orientent vers la démocratie", a constaté le même responsable. Lors de cette conférence de presse, le président de la Commission africaine, M. Jean Ping, a été interrogé pour sa part sur ''la feuille de route'' pour la crise libyenne, qui devrait être discutée jeudi avec la secrétaire d'Etat Hillary Clinton. Qualifiant la situation en Libye de "très grave", M. Ping a souligné que le monde, y compris au sein de l'Otan, reconnaît de plus en plus que "la solution n'est pas militaire". L'Union africaine, a-t-il rappelé, a désapprouvé, depuis le début de la crise, la solution militaire et a toujours clamé que la situation en Libye devrait être résolue par des moyens politiques : "Notre feuille de route est assez claire concernant la solution en Libye". Il est à souligner que Jean Ping dirige une délégation de hauts responsables de l'Union africaine dont le commissaire pour la paix et la sécurité auprès de l'Union africaine (UA), Ramtane Lamamra. La Réunion de haut niveau Etats-Unis-Union africaine est un forum annuel pour le dialogue bilatéral entre les deux parties sur une grande variété de sujets d'intérêt commun. Au cours de leur séjour à Washington, M. Ping et les membres de sa délégation se réuniront avec la secrétaire d'Etat Hillary Clinton, le ministre américain de la Justice, Eric Holder, le vice-conseiller de la Sécurité nationale, Denis McDonough, le secrétaire d'Etat adjoint, James Steinberg, le sous-secrétaire d'Etat adjoint aux affaires politiques, William Burns, la sous-secrétaire d'Etat pour la diplomatie et les affaires publiques, Judith McHale, et le sous-secrétaire adjoint du département de l'agriculture, Darci Vetter, et d'autres hauts fonctionnaires.