La situation en Libye et dans la sous-région du Sahel sera au cœur des discussions entre Alger et Washington. Les développements de la situation à la lumière du conflit armé en Libye et la récente rencontre extraordinaire des chefs d'état-majors de l'Algérie, la Mauritanie, le Niger et le Mali seront également au menu des pourparlers, et ce dans le cadre de la coopération algéro-américaine en matière de lutte antiterroriste. Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, effectuera à compter d'aujourd'hui une visite de travail à Washington à l'invitation de la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Rhodam Clinton, a indiqué hier un communiqué du ministère. Le communiqué précise que "cette importante visite, qui illustre la densité du partenariat solide qui existe entre l'Algérie et les Etats-Unis, permettra à Medelci de s'entretenir avec de nombreux hauts responsables du département d'Etat américain et de la Maison Blanche". Ainsi, Medelci aura des entretiens avec Daniel Benjamin et William Burns, respectivement coordonnateur pour la lutte antiterroriste au département d'Etat et secrétaire d'Etat adjoint pour les affaires politiques, poursuit le communiqué. Il aura également des entretiens avec John Brennan, conseiller spécial du président Obama et avec Hillary Clinton, secrétaire d'Etat. Outre les entretiens sur les différents aspects de la relation bilatérale qui a connu un "renforcement substantiel" au cours des dernières années, le chef de la diplomatie algérienne "mènera avec ses interlocuteurs américains, dans le cadre d'un dialogue devenu régulier, des consultations approfondies sur les questions politiques internationales et régionales (situation au Maghreb, Sahel, Proche-Orient, conflit en Afrique, lutte contre le terrorisme....)", indique la même source. "Cette visite traduit l'excellence des relations entre les deux pays", souligne le communiqué, qui ajoute qu'elle "intervient dans le sillage des nombreuses visites croisées de responsables politiques, parlementaires et du monde des affaires qui sont autant de signes d'une volonté partagée pour conférer aux rapports algéro-américains une dimension plus ambitieuse en terme d'investissements et de partenariats". En termes d'échanges commerciaux, les Etats-Unis sont le premier partenaire commercial de l'Algérie avec un volume global d'échanges qui a atteint prés de 16 milliards de dollars en 2010, rappelle le communiqué du ministère. La visite du chef de la diplomatie algérienne aux Etats-Unis revêt un cachet très spécifique, en ce sens qu'elle intervient dans une conjoncture particulièrement cruciale, marquée par l'enlisement de la situation en Libye, la recrudescence des actes de terrorisme au Sahel et surtout l'attentat kamikaze qui a ébranlé le Maroc après plusieurs années d'accalmie. La situation en Libye et dans la sous-région du Sahel sera au cœur des discussions entre Alger et Washington. Les développements de la situation à la lumière du conflit armé en Libye et la récente rencontre extraordinaire des chefs d'état-majors de l'Algérie, la Mauritanie, le Niger et le Mali seront également au menu des pourparlers, et ce dans le cadre de la coopération algéro-américaine en matière de lutte antiterroriste. Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, effectuera à compter d'aujourd'hui une visite de travail à Washington à l'invitation de la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Rhodam Clinton, a indiqué hier un communiqué du ministère. Le communiqué précise que "cette importante visite, qui illustre la densité du partenariat solide qui existe entre l'Algérie et les Etats-Unis, permettra à Medelci de s'entretenir avec de nombreux hauts responsables du département d'Etat américain et de la Maison Blanche". Ainsi, Medelci aura des entretiens avec Daniel Benjamin et William Burns, respectivement coordonnateur pour la lutte antiterroriste au département d'Etat et secrétaire d'Etat adjoint pour les affaires politiques, poursuit le communiqué. Il aura également des entretiens avec John Brennan, conseiller spécial du président Obama et avec Hillary Clinton, secrétaire d'Etat. Outre les entretiens sur les différents aspects de la relation bilatérale qui a connu un "renforcement substantiel" au cours des dernières années, le chef de la diplomatie algérienne "mènera avec ses interlocuteurs américains, dans le cadre d'un dialogue devenu régulier, des consultations approfondies sur les questions politiques internationales et régionales (situation au Maghreb, Sahel, Proche-Orient, conflit en Afrique, lutte contre le terrorisme....)", indique la même source. "Cette visite traduit l'excellence des relations entre les deux pays", souligne le communiqué, qui ajoute qu'elle "intervient dans le sillage des nombreuses visites croisées de responsables politiques, parlementaires et du monde des affaires qui sont autant de signes d'une volonté partagée pour conférer aux rapports algéro-américains une dimension plus ambitieuse en terme d'investissements et de partenariats". En termes d'échanges commerciaux, les Etats-Unis sont le premier partenaire commercial de l'Algérie avec un volume global d'échanges qui a atteint prés de 16 milliards de dollars en 2010, rappelle le communiqué du ministère. La visite du chef de la diplomatie algérienne aux Etats-Unis revêt un cachet très spécifique, en ce sens qu'elle intervient dans une conjoncture particulièrement cruciale, marquée par l'enlisement de la situation en Libye, la recrudescence des actes de terrorisme au Sahel et surtout l'attentat kamikaze qui a ébranlé le Maroc après plusieurs années d'accalmie.