De 30 à 40 % des diplômés du secteur de la formation et de l'enseignement professionnels dans les métiers du BTPH travaillent dans le marché informel selon le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, El Hadi Khaldi. "Le secteur assure une formation dans les métiers du BTPH, mais malheureusement nous observons une migration vers le marché informel", a déploré le ministre. "Les jeunes préfèrent soit travailler dans le marché informel, ce qui représente autour de 30 % à 40 % des produits de la formation professionnelle, soit travailler à leur compte", a-t-il précisé. L'UGEA demande à réduire le recours aux bureaux étrangers dans le BTPH L'Union générale des entrepreneurs algériens (UGEA) a plaidé pour réduire le recours aux bureaux d'études étrangers dans le secteur du BTPH, qui ont transféré 11 milliards (mds) de dollars de bénéfices durant la période 2005-2009. "C'est du gâchis, il faut donner la réalisation, sauf pour certains grands projets, aux entreprises nationales", a déclaré Dennouni Abdelmadjid, président de l'UGEA, lors d'un débat organisé par le quotidien El Moudjahid sur la situation des entreprises nationales du BTPH. De 30 à 40 % des diplômés du secteur de la formation et de l'enseignement professionnels dans les métiers du BTPH travaillent dans le marché informel selon le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, El Hadi Khaldi. "Le secteur assure une formation dans les métiers du BTPH, mais malheureusement nous observons une migration vers le marché informel", a déploré le ministre. "Les jeunes préfèrent soit travailler dans le marché informel, ce qui représente autour de 30 % à 40 % des produits de la formation professionnelle, soit travailler à leur compte", a-t-il précisé. L'UGEA demande à réduire le recours aux bureaux étrangers dans le BTPH L'Union générale des entrepreneurs algériens (UGEA) a plaidé pour réduire le recours aux bureaux d'études étrangers dans le secteur du BTPH, qui ont transféré 11 milliards (mds) de dollars de bénéfices durant la période 2005-2009. "C'est du gâchis, il faut donner la réalisation, sauf pour certains grands projets, aux entreprises nationales", a déclaré Dennouni Abdelmadjid, président de l'UGEA, lors d'un débat organisé par le quotidien El Moudjahid sur la situation des entreprises nationales du BTPH.