Le métro d'Alger sera réceptionné le 31 octobre prochain, a affirmé, hier, le ministre des Transports, Amar Tou. Le ministre a, en marge de la cérémonie de mise en service du premier tronçon du tramway d'Alger, déclaré à la presse que « le métro d'Alger sera réceptionné le 31 octobre prochain, selon le planning remis par les sociétés chargées de la réalisation de ce projet ». Il convient de noter que le métro d'Alger, d'une longueur initiale de 9,5 km desservant sur dix stations, les communes de Bachdjarah, El Magharia, Hussein Dey, Sidi M'hamed et Alger-Centre, comprend plusieurs extensions en vue d'atteindre un réseau de 40 km allant de Dar El-Beida à Draria à l'horizon 2020. Il s'agit, en particulier, de Haï El Badr-Ain Nâadja et la Grande Poste-Place des Martyrs dans une première phase avant de desservir d'autres destinations comme Bab Ezzouar, Baraki, Chevalley, Cheraga, Ouled Fayet et Draria. Pour rappel, la réalisation du métro d'Alger avait été décidée dans les débuts des années 80 mais sa mise en œuvre avait été suspendue voire totalement mise à l'arrêt par la suite faute de ressources financières, avant d'être relancée à la faveur des programmes d'investissements publics engagés par les pouvoirs publics dans le cadre du Plan de soutien à la relance économique 2000-2005 et du Plan complémentaire de soutien à la croissance 2005-2009. Notons que ce projet aurait coûté 90 milliards DA sans inclure les travaux d'extension dont une bonne partie a été déjà engagée et qui devraient porter à 139 milliards DA le coût total du projet. C'est dire que la mise en place du métro d'Alger revêt une importance inestimable sur le plan socio-économique qu'écologique. Les futurs abonnés dudit métro verront leur mode de vie se modifier et devront ainsi être soulagés dans leurs déplacements quotidiens dans la capitale qui connaît actuellement des problèmes de la circulation. Espérons enfin que la mise en place de ce véritable moyen de transport en commun, outre le tramway d'Alger, sur lesquels misent beaucoup de responsables du secteur du transport, mettra un terme au stress des bouchons algérois. Le métro d'Alger sera réceptionné le 31 octobre prochain, a affirmé, hier, le ministre des Transports, Amar Tou. Le ministre a, en marge de la cérémonie de mise en service du premier tronçon du tramway d'Alger, déclaré à la presse que « le métro d'Alger sera réceptionné le 31 octobre prochain, selon le planning remis par les sociétés chargées de la réalisation de ce projet ». Il convient de noter que le métro d'Alger, d'une longueur initiale de 9,5 km desservant sur dix stations, les communes de Bachdjarah, El Magharia, Hussein Dey, Sidi M'hamed et Alger-Centre, comprend plusieurs extensions en vue d'atteindre un réseau de 40 km allant de Dar El-Beida à Draria à l'horizon 2020. Il s'agit, en particulier, de Haï El Badr-Ain Nâadja et la Grande Poste-Place des Martyrs dans une première phase avant de desservir d'autres destinations comme Bab Ezzouar, Baraki, Chevalley, Cheraga, Ouled Fayet et Draria. Pour rappel, la réalisation du métro d'Alger avait été décidée dans les débuts des années 80 mais sa mise en œuvre avait été suspendue voire totalement mise à l'arrêt par la suite faute de ressources financières, avant d'être relancée à la faveur des programmes d'investissements publics engagés par les pouvoirs publics dans le cadre du Plan de soutien à la relance économique 2000-2005 et du Plan complémentaire de soutien à la croissance 2005-2009. Notons que ce projet aurait coûté 90 milliards DA sans inclure les travaux d'extension dont une bonne partie a été déjà engagée et qui devraient porter à 139 milliards DA le coût total du projet. C'est dire que la mise en place du métro d'Alger revêt une importance inestimable sur le plan socio-économique qu'écologique. Les futurs abonnés dudit métro verront leur mode de vie se modifier et devront ainsi être soulagés dans leurs déplacements quotidiens dans la capitale qui connaît actuellement des problèmes de la circulation. Espérons enfin que la mise en place de ce véritable moyen de transport en commun, outre le tramway d'Alger, sur lesquels misent beaucoup de responsables du secteur du transport, mettra un terme au stress des bouchons algérois.