Il s'agit de déterminer la stratégie adéquate pour permettre aux pays de la zone euro-méditerranéenne d'amorcer une coopération constructive dans les secteurs de l'industrie et de la production manufacturière en conférant une valeur ajoutée aux produits et biens fabriqués par les pays de la rive sud de la Méditerranée. Il s'agit de déterminer la stratégie adéquate pour permettre aux pays de la zone euro-méditerranéenne d'amorcer une coopération constructive dans les secteurs de l'industrie et de la production manufacturière en conférant une valeur ajoutée aux produits et biens fabriqués par les pays de la rive sud de la Méditerranée. Réunis à Malte, les ministres de l'Industrie des pays méditerranéens ont décliné de nombreuses propositions pour accompagner le mouvement de démocratisation du sud en renforçant l'économie, rapporte le site d'information économique "Econsotrum''. En fait, les ministres souhaitent renforcer l'entrepreneuriat au sud de la Méditerranée sous la houlette de la Commission européenne sachant que les ministres de l'Industrie des pays membres de l'Union européenne en conclave à Malte, récemment, semblent avoir entendu les revendications des peuples de la rive sud. Dans son discours, le vice-président de la Commission européenne en charge de l'Industrie et de l'Entrepreneuriat, Antonio Tajani, qui a participé aux travaux de la conférence des ministres de l'Industrie africains à Alger en mars 2011, a identifié cinq initiatives visant à « soutenir la croissance et créer ces nouveaux postes de travail » : la création de centres d'assistance aux PME, l'accélération du processus d'intégration des marchés ou le renforcement des actions des institutions financières européennes pour le développement du secteur privé et des infrastructures seront ainsi parmi les priorités de l'UPM. Des mesures en faveur de l'entrepreneuriat, dont l'objectif est de créer des « emplois décents et de lutter contre la pauvreté ». Les ministres se sont prononcés en faveur d'une zone euro-méditerranéenne de libre-échange et ont pointé les freins à lever pour améliorer le climat des affaires, depuis les problèmes de formation des travailleurs jusqu'à l'accès aux ressources financières pour les entreprises. La mise en commun des expériences, le travail en réseau ou les coopérations nord-sud devront en outre être développés. Les ministres souhaitent également accélérer la mise en conformité des produits industriels du sud avec les standards européens, ainsi que l'intégration des acquis communautaires dans les législations nationales. Ils suggèrent la création d'un centre d'excellence, peut-être à Malte, qui soutiendrait ces initiatives, selon cette source. Les participants à la conférence de Malte cherchent un label euro-méditerranéen Afin de stimuler les capacités d'innovation des PME du sud, les Etats sont invités à créer des structures ad-hoc, qui pourraient être notamment soutenues par la Banque européenne d'investissement (BEI) et l'UPM. Les projets innovants pourraient également bénéficier d'un label euro-méditerranéen. L'engagement des Etats en faveur du développement durable devra être poursuivi. Une mention spéciale en faveur des entreprises durables sera d'ailleurs ajoutée à la charte euro-méditerranéenne pour l'entreprise. Et pour coordonner tous ces efforts et renforcer la communication entre pays méditerranéens, mais aussi de la Méditerranée vers les investisseurs du monde entier, les ministres comptent s'appuyer sur l'UPM. Le ministre français de l'Industrie, Eric Besson, soutient « qu'en privé, plusieurs ministres de la rive sud attendent de la France une forte relance de l'union pour la Méditerranée ». Les pays sud-méditerranéens attendent, donc, une aide substantielle et conséquente de la part des pays européens en vertu des accords du processus de Barcelone et de la charte de l'union pour la Méditerrané, telle que préconisée par Sarkozy et les autres chefs d'Etat. Réunis à Malte, les ministres de l'Industrie des pays méditerranéens ont décliné de nombreuses propositions pour accompagner le mouvement de démocratisation du sud en renforçant l'économie, rapporte le site d'information économique "Econsotrum''. En fait, les ministres souhaitent renforcer l'entrepreneuriat au sud de la Méditerranée sous la houlette de la Commission européenne sachant que les ministres de l'Industrie des pays membres de l'Union européenne en conclave à Malte, récemment, semblent avoir entendu les revendications des peuples de la rive sud. Dans son discours, le vice-président de la Commission européenne en charge de l'Industrie et de l'Entrepreneuriat, Antonio Tajani, qui a participé aux travaux de la conférence des ministres de l'Industrie africains à Alger en mars 2011, a identifié cinq initiatives visant à « soutenir la croissance et créer ces nouveaux postes de travail » : la création de centres d'assistance aux PME, l'accélération du processus d'intégration des marchés ou le renforcement des actions des institutions financières européennes pour le développement du secteur privé et des infrastructures seront ainsi parmi les priorités de l'UPM. Des mesures en faveur de l'entrepreneuriat, dont l'objectif est de créer des « emplois décents et de lutter contre la pauvreté ». Les ministres se sont prononcés en faveur d'une zone euro-méditerranéenne de libre-échange et ont pointé les freins à lever pour améliorer le climat des affaires, depuis les problèmes de formation des travailleurs jusqu'à l'accès aux ressources financières pour les entreprises. La mise en commun des expériences, le travail en réseau ou les coopérations nord-sud devront en outre être développés. Les ministres souhaitent également accélérer la mise en conformité des produits industriels du sud avec les standards européens, ainsi que l'intégration des acquis communautaires dans les législations nationales. Ils suggèrent la création d'un centre d'excellence, peut-être à Malte, qui soutiendrait ces initiatives, selon cette source. Les participants à la conférence de Malte cherchent un label euro-méditerranéen Afin de stimuler les capacités d'innovation des PME du sud, les Etats sont invités à créer des structures ad-hoc, qui pourraient être notamment soutenues par la Banque européenne d'investissement (BEI) et l'UPM. Les projets innovants pourraient également bénéficier d'un label euro-méditerranéen. L'engagement des Etats en faveur du développement durable devra être poursuivi. Une mention spéciale en faveur des entreprises durables sera d'ailleurs ajoutée à la charte euro-méditerranéenne pour l'entreprise. Et pour coordonner tous ces efforts et renforcer la communication entre pays méditerranéens, mais aussi de la Méditerranée vers les investisseurs du monde entier, les ministres comptent s'appuyer sur l'UPM. Le ministre français de l'Industrie, Eric Besson, soutient « qu'en privé, plusieurs ministres de la rive sud attendent de la France une forte relance de l'union pour la Méditerranée ». Les pays sud-méditerranéens attendent, donc, une aide substantielle et conséquente de la part des pays européens en vertu des accords du processus de Barcelone et de la charte de l'union pour la Méditerrané, telle que préconisée par Sarkozy et les autres chefs d'Etat.