Le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) a dressé un bilan positif de l'organisation syndicale qu'il dirige. Chiffres à l'appui, Abdelmadjid Sidi Said a en effet mis l'accent, hier lors d'une réunion avec les fédérations, sur le travail titanesque réalisé par l'UGTA et surtout les acquis engrangés par les travailleurs, notamment les augmentations salariales de ces dernières années qui ont profité à 2.844.000 travailleurs appartenant au secteur de la Fonction publique ou au secteur économique. Le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) a dressé un bilan positif de l'organisation syndicale qu'il dirige. Chiffres à l'appui, Abdelmadjid Sidi Said a en effet mis l'accent, hier lors d'une réunion avec les fédérations, sur le travail titanesque réalisé par l'UGTA et surtout les acquis engrangés par les travailleurs, notamment les augmentations salariales de ces dernières années qui ont profité à 2.844.000 travailleurs appartenant au secteur de la Fonction publique ou au secteur économique. Une réévaluation salariale, dont l'impact financier a été estimé à plus de 88 milliards de dinars. L'intervenant a aussi souligné que rien que pour le salaire national minimum garanti (SNMG) la centrale syndicale a mené 12 rounds de négociations, avec le gouvernement. « Il ne faut pas dire alors que l'UGTA n'a rien fait » a t-il martelé en annonçant l'augmentation du nombre des adhérents de l'organisation syndicale qui est ainsi passé de 1.777.900 en 2009 à 1.784.000 en 2010. « Cela dénote qu'il y'a un capital confiance envers l'organisation et cela dénote aussi le sens du travail effectué par les syndicalistes sur le terrain » dira t-il encore. Des propos qui sonnaient comme une réponse aux syndicats autonomes puisque presque tout le discours du premier responsable de la centrale syndicale était surtout dirigé en leur direction et ce, même s'il a pris le soin de ne pas les citer. « Nous nous considérons comme légitimes. Nous n'avons jamais, au grand jamais failli à notre responsabilité dans le secteur de la Fonction publique » a soutenu Sidi Said en précisant, en guise de preuve, que 9 rencontres bipartites sur 14 ont porté sur l'examen de la situation dans ce secteur. Poursuivant dans cette même veine il dira que « nous sommes la seule organisation syndicale à avoir réussi à retirer en 2001 un projet de loi sur la Fonction publique alors qu'il était déjà déposé à l'APN. Le président de la Républqiue a considéré que la position de l'UGTA était juste ». Cela prouve, par conséquence, que « l'UGTA a les pieds solides parce qu'enracinés dans le sol et quoique que l'on dise ou quoique l'on fasse l'arbre de l'UGTA a toujours donné des fruits ». Mais Sidi Said, qui a beaucoup usé d'allusions et de métaphores, s'est gardé d'attaquer directement les syndicats autonomes. « Nous n'avons aucune animosité envers d'autres syndicats, car nous n'avons aucun esprit de compétition ou de concurrence puisque pour nous, c'est le terrain qui compte. Nous n'avons jamais porté préjudice à un autre syndicat parce qu'il s'agit avant tout de défendre les intérêts des travailleurs » a-t-il en outre souligné en réfutant l'existence de conflits entre les deux parties car, selon lui, « l'UGTA ne chercher pas à avoir le monopole ». Mettant cependant l'accent sur la différence qu'il y a dans l'action des deux protagonistes de la scène syndicale il dira que « l'UGTA a une ligne de conduite basée sur la sauvegarde de la république que personne ne peut changer. Je ne porte pas de jugements de valeur sur les autres, mais je dis que le dialogue est le chemin le plus dur, mais il est le plus rentable. Nous ne sommes pas, cela dit, une organisation qu'on peut instrumentaliser facilement ». le patron de la centrale syndicale fait ainsi référence à la démarche de dialogue privilégiée par son syndicat et ce, contrairement aux syndicats autonomes qui organisent souvent des mouvements de grève pour appuyer leurs revendications. « Notre choix aujourd'hui réside en la stabilité du pays et la sauvegarde de la paix. Nous refusons les ingérences étrangères car les Algériens sont capables de se prendre en charge et de faire avancer notre nation ». Evoquant les dossiers sur lesquels planche la centrale syndicale en perspective de la tripartite du mois de septembre il a précisé que 60% du travail a été déjà effectué Il dira que l'UGTA va préparer beaucoup de dossiers dont celui de la main d'œuvre algérienne travaillant dans les entreprises étrangères, « qui commence à devenir alarmant », le travail temporaire aussi, entendre les contrats à durée indéterminée, ainsi que le dossier du pouvoir d'achat des Algériens. Mais bien avant cela, l'UGTA aura à rencontrer les partenaire sociaux le 28 mai prochain dans une tripartite qu sera exclusivement consacrée à l'entreprise nationale. « Nous allons alors défendre avec force la promotion de la production nationale» a t-il soutenu. Notons que Sidi Said s'en est aussi pris à certains anciens cadres de l'UGTA qui ont fortement critiqué récemment la direction du syndicat et ont revendiqué la tenue d'un congrès extraordinaire. « On considère cela comme un air de tambours et de trompettes. Je leur dis qu'il faut respecter l'arbre qui vous a nourris». Une réévaluation salariale, dont l'impact financier a été estimé à plus de 88 milliards de dinars. L'intervenant a aussi souligné que rien que pour le salaire national minimum garanti (SNMG) la centrale syndicale a mené 12 rounds de négociations, avec le gouvernement. « Il ne faut pas dire alors que l'UGTA n'a rien fait » a t-il martelé en annonçant l'augmentation du nombre des adhérents de l'organisation syndicale qui est ainsi passé de 1.777.900 en 2009 à 1.784.000 en 2010. « Cela dénote qu'il y'a un capital confiance envers l'organisation et cela dénote aussi le sens du travail effectué par les syndicalistes sur le terrain » dira t-il encore. Des propos qui sonnaient comme une réponse aux syndicats autonomes puisque presque tout le discours du premier responsable de la centrale syndicale était surtout dirigé en leur direction et ce, même s'il a pris le soin de ne pas les citer. « Nous nous considérons comme légitimes. Nous n'avons jamais, au grand jamais failli à notre responsabilité dans le secteur de la Fonction publique » a soutenu Sidi Said en précisant, en guise de preuve, que 9 rencontres bipartites sur 14 ont porté sur l'examen de la situation dans ce secteur. Poursuivant dans cette même veine il dira que « nous sommes la seule organisation syndicale à avoir réussi à retirer en 2001 un projet de loi sur la Fonction publique alors qu'il était déjà déposé à l'APN. Le président de la Républqiue a considéré que la position de l'UGTA était juste ». Cela prouve, par conséquence, que « l'UGTA a les pieds solides parce qu'enracinés dans le sol et quoique que l'on dise ou quoique l'on fasse l'arbre de l'UGTA a toujours donné des fruits ». Mais Sidi Said, qui a beaucoup usé d'allusions et de métaphores, s'est gardé d'attaquer directement les syndicats autonomes. « Nous n'avons aucune animosité envers d'autres syndicats, car nous n'avons aucun esprit de compétition ou de concurrence puisque pour nous, c'est le terrain qui compte. Nous n'avons jamais porté préjudice à un autre syndicat parce qu'il s'agit avant tout de défendre les intérêts des travailleurs » a-t-il en outre souligné en réfutant l'existence de conflits entre les deux parties car, selon lui, « l'UGTA ne chercher pas à avoir le monopole ». Mettant cependant l'accent sur la différence qu'il y a dans l'action des deux protagonistes de la scène syndicale il dira que « l'UGTA a une ligne de conduite basée sur la sauvegarde de la république que personne ne peut changer. Je ne porte pas de jugements de valeur sur les autres, mais je dis que le dialogue est le chemin le plus dur, mais il est le plus rentable. Nous ne sommes pas, cela dit, une organisation qu'on peut instrumentaliser facilement ». le patron de la centrale syndicale fait ainsi référence à la démarche de dialogue privilégiée par son syndicat et ce, contrairement aux syndicats autonomes qui organisent souvent des mouvements de grève pour appuyer leurs revendications. « Notre choix aujourd'hui réside en la stabilité du pays et la sauvegarde de la paix. Nous refusons les ingérences étrangères car les Algériens sont capables de se prendre en charge et de faire avancer notre nation ». Evoquant les dossiers sur lesquels planche la centrale syndicale en perspective de la tripartite du mois de septembre il a précisé que 60% du travail a été déjà effectué Il dira que l'UGTA va préparer beaucoup de dossiers dont celui de la main d'œuvre algérienne travaillant dans les entreprises étrangères, « qui commence à devenir alarmant », le travail temporaire aussi, entendre les contrats à durée indéterminée, ainsi que le dossier du pouvoir d'achat des Algériens. Mais bien avant cela, l'UGTA aura à rencontrer les partenaire sociaux le 28 mai prochain dans une tripartite qu sera exclusivement consacrée à l'entreprise nationale. « Nous allons alors défendre avec force la promotion de la production nationale» a t-il soutenu. Notons que Sidi Said s'en est aussi pris à certains anciens cadres de l'UGTA qui ont fortement critiqué récemment la direction du syndicat et ont revendiqué la tenue d'un congrès extraordinaire. « On considère cela comme un air de tambours et de trompettes. Je leur dis qu'il faut respecter l'arbre qui vous a nourris».