L'implication des propriétaires de khizanate (bibliothèques) dans les efforts de protection des manuscrits en tant que patrimoine national d'importance historique et culturelle a été préconisée, dimanche à Adrar, lors d'une rencontre nationale sur ''Le patrimoine culturel manuscrit et la société de proximité''. L'implication des propriétaires de khizanate (bibliothèques) dans les efforts de protection des manuscrits en tant que patrimoine national d'importance historique et culturelle a été préconisée, dimanche à Adrar, lors d'une rencontre nationale sur ''Le patrimoine culturel manuscrit et la société de proximité''. Les participants à cette rencontre, rapporte l'APS, ont mis l'accent sur l'importance d'une stratégie d'action commune, entre instances chargées de la valorisation du manuscrit et les propriétaires de khizanate, pour assurer la protection et la préservation de ce patrimoine culturel national. Le secrétaire général de la bibliothèque nationale (BN), M.Ahmed Oussaadit, qui a évoqué l'apport de cette structure dans la protection du manuscrit, a estimé que cette rencontre nationale permettra "d'aboutir à une formule commune entre la BN et le Centre national des manuscrits, avec le concours des propriétaires des khizanate, pour la protection du manuscrit". Le manuscrit, repère nodal du patrimoine de l'Algérie, de l'histoire de ses Oulémas et de l'éveil scientifique qu'a connu ce pays, "représente aussi un legs culturel et civilisationnel, d'où la nécessité de le préserver, en s'appuyant sur l'ensemble des techniques et des moyens disponibles", a-t-il ajouté. Le chef de département du manuscrit à la BN, M. Mohamed Ali Djenouhat, a, pour sa part, mis en exergue le rôle de son service dans la préservation du manuscrit, déplorant le manque de moyens qui empêche les propriétaires de khizanate de protéger, comme il se doit, "ces trésors écrits". Il a, à ce propos, évoqué l'union des efforts entre la BN et le Centre des manuscrits, notamment depuis 2006, qui a conduit notamment à l'équipement, par la Bibliothèque nationale, du Centre en matériels spécialisés pour la préservation des manuscrits. Des efforts devant être couronnés par "la signature prochaine d'un accord de partenariat entre les deux institutions", a-t-il dit. Initiée par le Centre national des manuscrits, avec le concours de la BN, cette rencontre nationale sur "Le patrimoine culturel manuscrit et sa relation avec la société de proximité", constitue le prolongement de la rencontre abritée par la BN, les 11 et 12 mai courant, dans le cadre de la célébration du mois du patrimoine, selon les organisateurs. Cette manifestation vise à faire connaître le manuscrit, les efforts fournis par les spécialistes dans sa collecte, et son impact scientifique dans la vie des peuples, a signalé le directeur du Centre national des manuscrits, M. Abdelaali Touil. Organisée à la Maison de la culture d'Adrar, cette rencontre nationale de deux jours se poursuivra par l'animation de communications portant essentiellement sur "Les khizanate de manuscrits de la région du Touat (Adrar)", "Le patrimoine manuscrit et son impact scientifique et civilisationnel", et "La place scientifique de l'Algérie à travers les trésors que recèle la BN", outre "Les missions qu'assume le service en charge des manuscrits et des publications rares. Les participants à cette rencontre, rapporte l'APS, ont mis l'accent sur l'importance d'une stratégie d'action commune, entre instances chargées de la valorisation du manuscrit et les propriétaires de khizanate, pour assurer la protection et la préservation de ce patrimoine culturel national. Le secrétaire général de la bibliothèque nationale (BN), M.Ahmed Oussaadit, qui a évoqué l'apport de cette structure dans la protection du manuscrit, a estimé que cette rencontre nationale permettra "d'aboutir à une formule commune entre la BN et le Centre national des manuscrits, avec le concours des propriétaires des khizanate, pour la protection du manuscrit". Le manuscrit, repère nodal du patrimoine de l'Algérie, de l'histoire de ses Oulémas et de l'éveil scientifique qu'a connu ce pays, "représente aussi un legs culturel et civilisationnel, d'où la nécessité de le préserver, en s'appuyant sur l'ensemble des techniques et des moyens disponibles", a-t-il ajouté. Le chef de département du manuscrit à la BN, M. Mohamed Ali Djenouhat, a, pour sa part, mis en exergue le rôle de son service dans la préservation du manuscrit, déplorant le manque de moyens qui empêche les propriétaires de khizanate de protéger, comme il se doit, "ces trésors écrits". Il a, à ce propos, évoqué l'union des efforts entre la BN et le Centre des manuscrits, notamment depuis 2006, qui a conduit notamment à l'équipement, par la Bibliothèque nationale, du Centre en matériels spécialisés pour la préservation des manuscrits. Des efforts devant être couronnés par "la signature prochaine d'un accord de partenariat entre les deux institutions", a-t-il dit. Initiée par le Centre national des manuscrits, avec le concours de la BN, cette rencontre nationale sur "Le patrimoine culturel manuscrit et sa relation avec la société de proximité", constitue le prolongement de la rencontre abritée par la BN, les 11 et 12 mai courant, dans le cadre de la célébration du mois du patrimoine, selon les organisateurs. Cette manifestation vise à faire connaître le manuscrit, les efforts fournis par les spécialistes dans sa collecte, et son impact scientifique dans la vie des peuples, a signalé le directeur du Centre national des manuscrits, M. Abdelaali Touil. Organisée à la Maison de la culture d'Adrar, cette rencontre nationale de deux jours se poursuivra par l'animation de communications portant essentiellement sur "Les khizanate de manuscrits de la région du Touat (Adrar)", "Le patrimoine manuscrit et son impact scientifique et civilisationnel", et "La place scientifique de l'Algérie à travers les trésors que recèle la BN", outre "Les missions qu'assume le service en charge des manuscrits et des publications rares.