La nécessité de renforcer les rangs des médecins légistes par l'ouverture de nouveaux postes budgétaires, en priorité au niveau des hôpitaux de wilaya, a été soulignée jeudi à Alger par le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès. «L'effectif actuel des spécialistes en médecine légale s'élève à 126 médecins légistes répartis sur l'ensemble des établissements publics hospitaliers du pays, et nous comptons doubler ce nombre d'ici 2013", a indiqué Ould Abbès dans une allocution à l'occasion des 11es Journées médico-judiciaires. Le ministre s'est dit persuadé, à l'occasion, que son homologue, le ministre de l'Enseignement et de la Recherche, s'emploierait à favoriser cette spécialité dans la post-graduation des sciences médicales tant au niveau du recrutement que de l'enseignement théorique. Estimant que le thème de la rencontre, «La médecine légale et les sciences criminalistiques», était «important et d'actualité», Ould Abbès a précisé que les médecins légistes et leurs partenaires du secteur de la justice constituaient un exemple de collaboration pour «servir au mieux le justiciable et aider à la manifestation de la vérité». M. Ould Abbès a ajouté, dans le même contexte, que la médecine légale était appelée aujourd'hui à connaître des développements nécessaires et porteurs pour occuper une place de plus en plus importante, en ajoutant qu'elle était devenue un outil indispensable au service des secteurs à vocation judiciaire et sociale pour la défense et le respect des droits et liberté de tout citoyen. Le président de la Société algérienne de médecine légale, organisatrice de cette rencontre, le Pr Madjid Bessaha, a relevé pour sa part que le thème "Médecine légale et sciences criminalistiques", veut dire que la collaboration médecin légiste - police scientifique est «indispensable» pour la manifestation de la vérité. La nécessité de renforcer les rangs des médecins légistes par l'ouverture de nouveaux postes budgétaires, en priorité au niveau des hôpitaux de wilaya, a été soulignée jeudi à Alger par le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès. «L'effectif actuel des spécialistes en médecine légale s'élève à 126 médecins légistes répartis sur l'ensemble des établissements publics hospitaliers du pays, et nous comptons doubler ce nombre d'ici 2013", a indiqué Ould Abbès dans une allocution à l'occasion des 11es Journées médico-judiciaires. Le ministre s'est dit persuadé, à l'occasion, que son homologue, le ministre de l'Enseignement et de la Recherche, s'emploierait à favoriser cette spécialité dans la post-graduation des sciences médicales tant au niveau du recrutement que de l'enseignement théorique. Estimant que le thème de la rencontre, «La médecine légale et les sciences criminalistiques», était «important et d'actualité», Ould Abbès a précisé que les médecins légistes et leurs partenaires du secteur de la justice constituaient un exemple de collaboration pour «servir au mieux le justiciable et aider à la manifestation de la vérité». M. Ould Abbès a ajouté, dans le même contexte, que la médecine légale était appelée aujourd'hui à connaître des développements nécessaires et porteurs pour occuper une place de plus en plus importante, en ajoutant qu'elle était devenue un outil indispensable au service des secteurs à vocation judiciaire et sociale pour la défense et le respect des droits et liberté de tout citoyen. Le président de la Société algérienne de médecine légale, organisatrice de cette rencontre, le Pr Madjid Bessaha, a relevé pour sa part que le thème "Médecine légale et sciences criminalistiques", veut dire que la collaboration médecin légiste - police scientifique est «indispensable» pour la manifestation de la vérité.