Le mouvement de grève, qui a paralysé le transport ferroviaire à Alger et sa banlieue ainsi qu'une région de l'ouest du pays durant deux jours, a été interrompu lundi à 18h. Après deux rounds de négociations, un consensus a été trouvé entre la direction générale de la Société nationale du transport ferroviaire et les syndicalistes, a assuré, hier, Nouredine Dakhl, Directeur des ressources humaines à la SNTF. « Un protocole d'accord a été retenu ainsi que la mise en place de 3 indemnités » explique M. Dakhl. Il s'agit particulièrement d'indemnités relatives aux conditions particulières d'exploitation, celle de dépannage en ligne ainsi qu'une augmentation de 15% du salaire de base pour les chefs de traction ayant dépassé le niveau T5. Notons que la plateforme des revendications des cheminots contenait, entre autres revendications, la prime de technicité. Cette prime est, a expliqué M. Dakhl, une gratification pour les techniciens de maintenance qui ont pour mission l'entretien des différents équipements de la SNTF. « Les conducteurs d'engins (cheminots) se disent techniciens étant à même de réparer les machines, mais il faut faire la différence entre être technicien, dans son domaine, et bénéficier de la primes de technicité », a-t-il expliqué à ce propos. « Nous avons longuement débattu et avons convenu de mettre en place une indemnité de dépannage en ligne », a-t-il conclu. En outre, concernant ces deux journées de grève il tient à être rassurant : « Nous n'allons pas opérer des retraits des salaires ». S'agissant de la prime relative aux conditions particulières d'exploitation, M. Dakhl a déclaré que sa tutelle est à deux pas de sa définition finale, avec les acteurs sociaux. Concernant l'augmentation de 15% du salaire de base pour les chefs de traction il affirmara que « ces indemnités ont été accordées ». Il est utile de noter, sur ce dernier point, que les chefs de traction, qui ont dépassé le niveau T5, ont pour mission, en cas de grève, de garantir le service minimum mais, eux, a déploré M. Dakhl « ont suivi le mouvement de grève ». Le mouvement de grève, qui a paralysé le transport ferroviaire à Alger et sa banlieue ainsi qu'une région de l'ouest du pays durant deux jours, a été interrompu lundi à 18h. Après deux rounds de négociations, un consensus a été trouvé entre la direction générale de la Société nationale du transport ferroviaire et les syndicalistes, a assuré, hier, Nouredine Dakhl, Directeur des ressources humaines à la SNTF. « Un protocole d'accord a été retenu ainsi que la mise en place de 3 indemnités » explique M. Dakhl. Il s'agit particulièrement d'indemnités relatives aux conditions particulières d'exploitation, celle de dépannage en ligne ainsi qu'une augmentation de 15% du salaire de base pour les chefs de traction ayant dépassé le niveau T5. Notons que la plateforme des revendications des cheminots contenait, entre autres revendications, la prime de technicité. Cette prime est, a expliqué M. Dakhl, une gratification pour les techniciens de maintenance qui ont pour mission l'entretien des différents équipements de la SNTF. « Les conducteurs d'engins (cheminots) se disent techniciens étant à même de réparer les machines, mais il faut faire la différence entre être technicien, dans son domaine, et bénéficier de la primes de technicité », a-t-il expliqué à ce propos. « Nous avons longuement débattu et avons convenu de mettre en place une indemnité de dépannage en ligne », a-t-il conclu. En outre, concernant ces deux journées de grève il tient à être rassurant : « Nous n'allons pas opérer des retraits des salaires ». S'agissant de la prime relative aux conditions particulières d'exploitation, M. Dakhl a déclaré que sa tutelle est à deux pas de sa définition finale, avec les acteurs sociaux. Concernant l'augmentation de 15% du salaire de base pour les chefs de traction il affirmara que « ces indemnités ont été accordées ». Il est utile de noter, sur ce dernier point, que les chefs de traction, qui ont dépassé le niveau T5, ont pour mission, en cas de grève, de garantir le service minimum mais, eux, a déploré M. Dakhl « ont suivi le mouvement de grève ».