Les naissances sous X découlent de ce qu'on pourrait appeler, les relations extraconjugales, c'est-à-dire des relations qui ont été nouées en dehors des liens sacrés du mariage. Les naissances sous X découlent de ce qu'on pourrait appeler, les relations extraconjugales, c'est-à-dire des relations qui ont été nouées en dehors des liens sacrés du mariage. Et pourtant les choses ne sont pas aussi simples. Quand on approfondit la question, on se rend compte que des naissances sous X sont survenues suite à des viols alors que d'autres ont été enregistrées au sein même de couples mariés. Mariés bien sûr à la manière traditionnelle devant 2 témoins et un imam qui récite la Fatiha, verset coranique qui valide le mariage musulman. Dans ce cas précis il serait plus juste de dire que la naissance sous X découle d'une relation conjugale non légale en ceci que le mariage n'a pas été transcrit à l'état civil et donc non reconnu par la loi. L'article 40 du code de la famille stipule que l'enfant né hors union matrimoniale est illégitime. Faute de livret de famille, document qui n'est délivré que sur présentation de l'acte de mariage, l'enfant naît sous X. Il reste bien entendu que cette éventualité, la pire qui soit, ne survient que si l'époux se dérobe à ses responsabilités. Mais malheureusement, l'expérience nous enseigne que c'est ce cas qui prévaut dans notre société. Beaucoup de maris sans scrupules abusent de la confiance de jeunes filles crédules qui se laissent convaincre de se marier devant un imam en attendant la régularisation de leur union. Il semblerait, et c'est là où le bât blesse, que le ministère des Affaires religieuses a instruit dès décembre 2006 les imams à l'effet de ne plus officier les cérémonies de mariage non déclarées à la mairie et que cette orientation n'est pas suivie partout. Mais il faut le dire, bien qu'on ne dispose pas encore de statistiques précises relatives aux enfants issus de mariage sous la Fatiha, selon les différents recoupements, la majorité des naissances sous X, est la conséquence des relations contactées en dehors du mariage. Il s'agit de mères célibataires qui donneraient naissance à 3.000 enfants illégitimes par an, selon des chiffres du ministère de la Solidarité et 5.000 selon les associations de protection de l'enfance. L'illégitimité étant perçue chez nous comme une non observation d'un précepte religieux, les femmes s'avèrent avoir des épaules trop frêles pour pouvoir supporter le regard d'autrui. La conséquence est dramatique. Le nouveau-né issu de la relation licencieuse, car désormais c'est sous cet angle qu'il faut la comprendre, est jeté dans la rue. Cet acte mortifère, contrairement à ce qu'on admet généralement, est loin d'être supporté par la seule mère. Si la mère abandonne son bébé, son placement dans une pouponnière ne signifie pas pour autant qu'il aura la vie sauve, les enquêtes en milieu hospitalier ayant démontré que le personnel soignant, est enclin à reproduire inconsciemment l'acte mortifère étant lui-même conditionné par son éducation religieuse. Certaines de ces mères célibataires quand elles ne recourent pas à l'infanticide (tuer son enfant) optent pour l'avortement. Dans ce cas donc la naissance illégitime n'est pas comptabilisée. Mais le tabou qui entoure l'avortement dope celui-ci, car il court le bruit que des médecins le pratiquent contre 5 millions de centimes. Pour autant l'article 304 du code pénal sanctionne toute personne qui recourt à l'avortement d'une peine d'un an à cinq ans et d'une amende de 500 à 10.000 DA et d'une peine de 10 à 20 ans de prison si le bébé meurt. N'empêche quand l'enfant naît sous X, il se retrouve sevré d'affection parentale et même d'affection de substitution, l'enfant dépérit psychologiquement, voire physiquement. Seule la kafala (recueil légal) est de nature à le récupérer si celle-ci se passe correctement car là aussi, on enregistre des insuffisances, puisque la loi ne permet pas aux parents adoptifs de donner leur nom à l'enfant qu'ils élèvent. Il sera déclaré SNP (Sans nom patronymique), une sorte de marque de fabrique honteuse, qui le poursuivra jusqu'à la mort. Et pourtant les choses ne sont pas aussi simples. Quand on approfondit la question, on se rend compte que des naissances sous X sont survenues suite à des viols alors que d'autres ont été enregistrées au sein même de couples mariés. Mariés bien sûr à la manière traditionnelle devant 2 témoins et un imam qui récite la Fatiha, verset coranique qui valide le mariage musulman. Dans ce cas précis il serait plus juste de dire que la naissance sous X découle d'une relation conjugale non légale en ceci que le mariage n'a pas été transcrit à l'état civil et donc non reconnu par la loi. L'article 40 du code de la famille stipule que l'enfant né hors union matrimoniale est illégitime. Faute de livret de famille, document qui n'est délivré que sur présentation de l'acte de mariage, l'enfant naît sous X. Il reste bien entendu que cette éventualité, la pire qui soit, ne survient que si l'époux se dérobe à ses responsabilités. Mais malheureusement, l'expérience nous enseigne que c'est ce cas qui prévaut dans notre société. Beaucoup de maris sans scrupules abusent de la confiance de jeunes filles crédules qui se laissent convaincre de se marier devant un imam en attendant la régularisation de leur union. Il semblerait, et c'est là où le bât blesse, que le ministère des Affaires religieuses a instruit dès décembre 2006 les imams à l'effet de ne plus officier les cérémonies de mariage non déclarées à la mairie et que cette orientation n'est pas suivie partout. Mais il faut le dire, bien qu'on ne dispose pas encore de statistiques précises relatives aux enfants issus de mariage sous la Fatiha, selon les différents recoupements, la majorité des naissances sous X, est la conséquence des relations contactées en dehors du mariage. Il s'agit de mères célibataires qui donneraient naissance à 3.000 enfants illégitimes par an, selon des chiffres du ministère de la Solidarité et 5.000 selon les associations de protection de l'enfance. L'illégitimité étant perçue chez nous comme une non observation d'un précepte religieux, les femmes s'avèrent avoir des épaules trop frêles pour pouvoir supporter le regard d'autrui. La conséquence est dramatique. Le nouveau-né issu de la relation licencieuse, car désormais c'est sous cet angle qu'il faut la comprendre, est jeté dans la rue. Cet acte mortifère, contrairement à ce qu'on admet généralement, est loin d'être supporté par la seule mère. Si la mère abandonne son bébé, son placement dans une pouponnière ne signifie pas pour autant qu'il aura la vie sauve, les enquêtes en milieu hospitalier ayant démontré que le personnel soignant, est enclin à reproduire inconsciemment l'acte mortifère étant lui-même conditionné par son éducation religieuse. Certaines de ces mères célibataires quand elles ne recourent pas à l'infanticide (tuer son enfant) optent pour l'avortement. Dans ce cas donc la naissance illégitime n'est pas comptabilisée. Mais le tabou qui entoure l'avortement dope celui-ci, car il court le bruit que des médecins le pratiquent contre 5 millions de centimes. Pour autant l'article 304 du code pénal sanctionne toute personne qui recourt à l'avortement d'une peine d'un an à cinq ans et d'une amende de 500 à 10.000 DA et d'une peine de 10 à 20 ans de prison si le bébé meurt. N'empêche quand l'enfant naît sous X, il se retrouve sevré d'affection parentale et même d'affection de substitution, l'enfant dépérit psychologiquement, voire physiquement. Seule la kafala (recueil légal) est de nature à le récupérer si celle-ci se passe correctement car là aussi, on enregistre des insuffisances, puisque la loi ne permet pas aux parents adoptifs de donner leur nom à l'enfant qu'ils élèvent. Il sera déclaré SNP (Sans nom patronymique), une sorte de marque de fabrique honteuse, qui le poursuivra jusqu'à la mort.