Après l'éradication du commerce informel qui empoisonnait la vie des citoyens, les autorités vont-elles enfin s'attaquer aux parkings sauvages ? Ou du moins réglementer cette activité… Après l'éradication du commerce informel qui empoisonnait la vie des citoyens, les autorités vont-elles enfin s'attaquer aux parkings sauvages ? Ou du moins réglementer cette activité… En tout cas, l'espoir de tous les automobilistes est de voir la pression exercée sur eux quotidiennement par les détenteurs de ces « parkings » finir. Il n'y a pratiquement aucun espace de la ville de Tizi-Ouzou ou de la Nouvelle-Ville qui soit épargné par ce phénomène. Souvent, ces supposés parkings gardés sont tenus par des jeunes dont les nerfs sont à fleur de peau. Ce qui met véritablement en péril la sécurité des automobilistes. Il ne se passe pratiquement pas un jour sans qu'un conducteur ne soit agressé physiquement ou, au mieux, verbalement par ceux qui sont en charge de ces parkings. « J'ai stationné mon véhicule en face de ce café maure pour y siroter un thé. Cinq minutes plus tard, en revenant, un jeune se présente et me somme de lui remettre cinquante dinars. Vous imaginez donc que mon thé m'est revenu à soixante-cinq dinars sans compter la trouille que m'a provoqué ce jeune qui s'est approché de moi abruptement et m'a abordé d'un air menaçant », souligne un fonctionnaire de la wilaya croisé en face d'un café près de la gare routière. Il n'est pas le seul à faire les frais de ce comportement démesuré qui nécessite une intervention de la part des autorités. Un autre témoignage est celui d'un quadragénaire qui s'est garé à côté du tribunal du centre-ville : « Quand je suis remonté dans la voiture pour démarrer, j'ai remis 30 dinars au jeune qui s'est approché de moi. Il m'a alors interpellé agressivement en me disant que le prix du stationnement est de 50 dinars. Ayant déjà eu vent du sort réservé aux automobilistes récalcitrants, j'ai obtempéré sans rechigner. Je cherchais une pièce de 20 DA dans ma poche quand un autre automobiliste a quitté le stationnement en trombe pour ne pas payer. Figurez -vous que le jeune du parking m'a agoni d'insultes inimaginables en m'imputant la responsabilité d'avoir perdu 50 DA ». Malgré tout, notre interlocuteur a maîtrisé ses nerfs et il a gardé le silence pour ne pas envenimer la situation. A Tizi- Ouzou, il y a eu mort d'homme à cause d'altercations ayant fait suite à des situations similaires. Quant aux pères de famille au volant, ils sont régulièrement humiliés devant le regard de leurs femmes et de leurs enfants. Les témoignages dans ce sens abondent. La meilleure, c'est quand un automobiliste a affaire dans le même quartier plusieurs fois par jour, on l'oblige alors à payer autant de fois qu'il revient. Il y a aussi un autre phénomène déplorable, ce sont les différents objets que mettent ces « gérants » de parkings tout au long des trottoirs en disant qu'il s'agit de places réservées à des clients. Ces pratiques écœurent également les automobilistes qui ne savent plus à quel saint se vouer devant des situations aussi stressantes. Pour l'instant, il n'y a que les parkings sauvages qui existaient tout au long du boulevard Lamali-Ahmed qui ont été démantelés à la faveur de la vaste opération de nettoyage de la ville des Genêts. Cette action qui a été saluée à l'unanimité par la population de Tizi-Ouzou gagnerait à être suivie par une autre qui visera les parkings sauvages afin de mettre définitivement fin au règne de la terreur. En tout cas, l'espoir de tous les automobilistes est de voir la pression exercée sur eux quotidiennement par les détenteurs de ces « parkings » finir. Il n'y a pratiquement aucun espace de la ville de Tizi-Ouzou ou de la Nouvelle-Ville qui soit épargné par ce phénomène. Souvent, ces supposés parkings gardés sont tenus par des jeunes dont les nerfs sont à fleur de peau. Ce qui met véritablement en péril la sécurité des automobilistes. Il ne se passe pratiquement pas un jour sans qu'un conducteur ne soit agressé physiquement ou, au mieux, verbalement par ceux qui sont en charge de ces parkings. « J'ai stationné mon véhicule en face de ce café maure pour y siroter un thé. Cinq minutes plus tard, en revenant, un jeune se présente et me somme de lui remettre cinquante dinars. Vous imaginez donc que mon thé m'est revenu à soixante-cinq dinars sans compter la trouille que m'a provoqué ce jeune qui s'est approché de moi abruptement et m'a abordé d'un air menaçant », souligne un fonctionnaire de la wilaya croisé en face d'un café près de la gare routière. Il n'est pas le seul à faire les frais de ce comportement démesuré qui nécessite une intervention de la part des autorités. Un autre témoignage est celui d'un quadragénaire qui s'est garé à côté du tribunal du centre-ville : « Quand je suis remonté dans la voiture pour démarrer, j'ai remis 30 dinars au jeune qui s'est approché de moi. Il m'a alors interpellé agressivement en me disant que le prix du stationnement est de 50 dinars. Ayant déjà eu vent du sort réservé aux automobilistes récalcitrants, j'ai obtempéré sans rechigner. Je cherchais une pièce de 20 DA dans ma poche quand un autre automobiliste a quitté le stationnement en trombe pour ne pas payer. Figurez -vous que le jeune du parking m'a agoni d'insultes inimaginables en m'imputant la responsabilité d'avoir perdu 50 DA ». Malgré tout, notre interlocuteur a maîtrisé ses nerfs et il a gardé le silence pour ne pas envenimer la situation. A Tizi- Ouzou, il y a eu mort d'homme à cause d'altercations ayant fait suite à des situations similaires. Quant aux pères de famille au volant, ils sont régulièrement humiliés devant le regard de leurs femmes et de leurs enfants. Les témoignages dans ce sens abondent. La meilleure, c'est quand un automobiliste a affaire dans le même quartier plusieurs fois par jour, on l'oblige alors à payer autant de fois qu'il revient. Il y a aussi un autre phénomène déplorable, ce sont les différents objets que mettent ces « gérants » de parkings tout au long des trottoirs en disant qu'il s'agit de places réservées à des clients. Ces pratiques écœurent également les automobilistes qui ne savent plus à quel saint se vouer devant des situations aussi stressantes. Pour l'instant, il n'y a que les parkings sauvages qui existaient tout au long du boulevard Lamali-Ahmed qui ont été démantelés à la faveur de la vaste opération de nettoyage de la ville des Genêts. Cette action qui a été saluée à l'unanimité par la population de Tizi-Ouzou gagnerait à être suivie par une autre qui visera les parkings sauvages afin de mettre définitivement fin au règne de la terreur.