Les travailleurs de la résidence universitaire de Mdouha de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou ont décidé de recourir à une grève comme ultime solution afin de faire entendre leurs doléances. C'est par la voix de la section syndicale UGTA de cette résidence que l'appel à une grève de huit jours a été lancé. Leur débrayage est entré en vigueur hier dimanche. Plusieurs problèmes sont soulevés par les travailleurs dont celui des conditions de travail qui ne se sont pas améliorées selon le syndicat. Ce dernier déplore la non concrétisation des promesses données par les responsables. «Les divers restaurants et surtout les cuisines ne sont plus les lieux d'exercice de nos ouvriers, vu qu'ils sont soumis à toutes sortes de nomadisme et de transhumance humaines ; il y a plus d'intrus et de facteurs de germes que de travailleurs», souligne le syndicat qui enchaîne : «Ajoutons à cela l'effet boomerang que crée la présence additive et dédaigneuse de certains membres du comité des étudiantes qui se postent derrière les serveurs et les cuisiniers». La même source indique que les résultats des examens professionnels de décembre 2010 ne sont pas connus à ce jour. «Les salaires, les rappels et diverses rétributions des ouvriers demeurent un rêve à réaliser. On ne sait plus à qui nous adresser pour avoir notre dû. Les services financiers, les ressources humaines, l'agence comptable et le contrôleur financier sont les différentes parties qui nous sont souvent cités comme étant les sources de retardement entre lesquels nous sommes vraiment ballotés», ajoute-t-on. La section syndicale UGTA de la cité universitaire de Mdouha parle aussi de dépassements et de climat «délétère et tendu sur les lieux de travail». «Un maximum de garanties et de responsabilités utiles sont nécessaires pour la reprise du travail», conclut-on. Les travailleurs de la résidence universitaire de Mdouha de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou ont décidé de recourir à une grève comme ultime solution afin de faire entendre leurs doléances. C'est par la voix de la section syndicale UGTA de cette résidence que l'appel à une grève de huit jours a été lancé. Leur débrayage est entré en vigueur hier dimanche. Plusieurs problèmes sont soulevés par les travailleurs dont celui des conditions de travail qui ne se sont pas améliorées selon le syndicat. Ce dernier déplore la non concrétisation des promesses données par les responsables. «Les divers restaurants et surtout les cuisines ne sont plus les lieux d'exercice de nos ouvriers, vu qu'ils sont soumis à toutes sortes de nomadisme et de transhumance humaines ; il y a plus d'intrus et de facteurs de germes que de travailleurs», souligne le syndicat qui enchaîne : «Ajoutons à cela l'effet boomerang que crée la présence additive et dédaigneuse de certains membres du comité des étudiantes qui se postent derrière les serveurs et les cuisiniers». La même source indique que les résultats des examens professionnels de décembre 2010 ne sont pas connus à ce jour. «Les salaires, les rappels et diverses rétributions des ouvriers demeurent un rêve à réaliser. On ne sait plus à qui nous adresser pour avoir notre dû. Les services financiers, les ressources humaines, l'agence comptable et le contrôleur financier sont les différentes parties qui nous sont souvent cités comme étant les sources de retardement entre lesquels nous sommes vraiment ballotés», ajoute-t-on. La section syndicale UGTA de la cité universitaire de Mdouha parle aussi de dépassements et de climat «délétère et tendu sur les lieux de travail». «Un maximum de garanties et de responsabilités utiles sont nécessaires pour la reprise du travail», conclut-on.