Le tribunal criminel près la cour d'Alger rouvrira, dimanche prochain, le dossier de l'affaire "Yasser Salem" dit Abou Djihad Al-Misri poursuivi avec deux autres dirigeants du groupe des "Défenseurs de la prédication salafiste" pour appartenance à un groupe terroriste et participation à plusieurs attentats terroristes contre des citoyens innocents, lit-on sur le rôle de la 2e session criminelle pour l'année 2011. Le tribunal criminel avait prononcé le 5 novembre 2007 une peine de 15 ans de réclusion criminelle contre Yasser Salem pour recrutement d'algériens pour le combat en Irak, tentative d'attentat à l'explosif contre le centre de prédication juive dans les villes musulmanes dont le siège se trouve à Tunis et financement d'interventions chirurgicales sur des terroristes blessés lors d'un bombardement de sites terroristes par l'armée. Le tribunal avait condamné Mohamed Hadj Naas et Lahmar Aoued à la perpétuité pour appartenance à un groupe terroriste et assassinat d'éléments de l'Armée nationale populaire et des services de sécurité nationale. La Cour suprême avait accepté le pourvoi en cassation introduit par les mis en cause et transféré l'affaire à la même juridiction pour un nouveau procès. L'affaire remonte à 1993 lorsque Yasser Salem, ayant la double nationalité algéro-égyptienne, s'est installé en Algérie en tant qu'homme d'affaires. Abou Djihad qui résidait à Bab El-Oued travaillait dans l'import et la distribution de médicaments et d'équipements médicaux pour financer ses activités terroristes. L'accusé était en contact avec la direction du groupe des "Défenseurs de la prédication salafiste", qualifié d'"organisation terroriste restreinte" activant dans l'ouest du pays. Il avait également participé aux opérations de recrutement d'algériens qui s'étaient portés volontaires pour le combat en Irak et pris en charge les frais de leur déplacement à Damas puis en Irak. Le tribunal criminel près la cour d'Alger rouvrira, dimanche prochain, le dossier de l'affaire "Yasser Salem" dit Abou Djihad Al-Misri poursuivi avec deux autres dirigeants du groupe des "Défenseurs de la prédication salafiste" pour appartenance à un groupe terroriste et participation à plusieurs attentats terroristes contre des citoyens innocents, lit-on sur le rôle de la 2e session criminelle pour l'année 2011. Le tribunal criminel avait prononcé le 5 novembre 2007 une peine de 15 ans de réclusion criminelle contre Yasser Salem pour recrutement d'algériens pour le combat en Irak, tentative d'attentat à l'explosif contre le centre de prédication juive dans les villes musulmanes dont le siège se trouve à Tunis et financement d'interventions chirurgicales sur des terroristes blessés lors d'un bombardement de sites terroristes par l'armée. Le tribunal avait condamné Mohamed Hadj Naas et Lahmar Aoued à la perpétuité pour appartenance à un groupe terroriste et assassinat d'éléments de l'Armée nationale populaire et des services de sécurité nationale. La Cour suprême avait accepté le pourvoi en cassation introduit par les mis en cause et transféré l'affaire à la même juridiction pour un nouveau procès. L'affaire remonte à 1993 lorsque Yasser Salem, ayant la double nationalité algéro-égyptienne, s'est installé en Algérie en tant qu'homme d'affaires. Abou Djihad qui résidait à Bab El-Oued travaillait dans l'import et la distribution de médicaments et d'équipements médicaux pour financer ses activités terroristes. L'accusé était en contact avec la direction du groupe des "Défenseurs de la prédication salafiste", qualifié d'"organisation terroriste restreinte" activant dans l'ouest du pays. Il avait également participé aux opérations de recrutement d'algériens qui s'étaient portés volontaires pour le combat en Irak et pris en charge les frais de leur déplacement à Damas puis en Irak.