Les familles des 17 marins algériens du vraquier MV Blida, pris en otage par des pirates somaliens depuis le 1er janvier dernier, ne désespèrent pas quant à une issue favorable de la tragédie vécue par les siens depuis plusieurs mois. Hier encore, elles sont revenues à la charge et organisé un rassemblement devant le ministère des Affaires étrangères à Alger, pour exprimer leur profonde inquiétude sur le sort des leurs détenus par des pirates dangereux. Cet énième rassemblement se veut un cri de détresse face à l'absence d'informations sur les marins, et une mobilisation de plus pour inciter les autorités à faire en sorte pour que les otages soient libérés sains et saufs et retournent dans leurs familles. Celles concernées ont été reçues par la suite par un responsable des services consulaires, mais sans résultat probant. La veille, les mêmes protestataires avaient organisé un sit-in devant l'ambassade de Jordanie à Alger, suite à quoi elle étaient reçues par l'ambassadeur du Royaume hachémite. Cette entrevue n'a fait qu'exacerber leur désarroi, puisque l'ambassadeur leur a fait savoir que l'affréteur du vraquier, Leadroww en l'occurrence, ne paiera pas la rançon puisque la Jordanie est signataire de la résolution 1904 des Nations unies interdisant le paiement de rançon, au même titre que l'Algérie d'ailleurs, initiatrice de cette résolution. Les familles des 17 marins algériens étaien déçues par la réponse de l'ambassadeur de Jordanie, bien que ce dernier ait promis d'envoyer un rapport détaillé au Roi Abdallah II pour lui expliquer la tragédie de ces otages. L'inquiétude des familles est d'autant plus grande à l'approche du mois sacré de Ramadhan, avec ce souvenir atroce de rompre le jeûne loin des siens. Aussi, déplorent-elles l'attitude des autorités compétentes et des élus du peuple, se montrant plutôt indifférents à la triste mésaventure des leurs. Pour rappel, le navire battant pavillon national, MV Blida, a été attaqué par des pirates somaliens le 1er janvier dernier. Outre les 17 Algériens, l'équipage compte cinq Ukrainiens, deux Philippins, un Jordanien et un Indonésien. Les innombrables actions de solidarité et de protestation organisées depuis par leurs familles n'ont abouti à aucune solution. La seule information remonte à un mois faisant écho de la souffrance des otages qui se trouvent dans un état déplorable. Ceci dit, les familles des marins algériens entretiennent toujours l'espoir de pouvoir revoir les leurs un jour. Les familles des 17 marins algériens du vraquier MV Blida, pris en otage par des pirates somaliens depuis le 1er janvier dernier, ne désespèrent pas quant à une issue favorable de la tragédie vécue par les siens depuis plusieurs mois. Hier encore, elles sont revenues à la charge et organisé un rassemblement devant le ministère des Affaires étrangères à Alger, pour exprimer leur profonde inquiétude sur le sort des leurs détenus par des pirates dangereux. Cet énième rassemblement se veut un cri de détresse face à l'absence d'informations sur les marins, et une mobilisation de plus pour inciter les autorités à faire en sorte pour que les otages soient libérés sains et saufs et retournent dans leurs familles. Celles concernées ont été reçues par la suite par un responsable des services consulaires, mais sans résultat probant. La veille, les mêmes protestataires avaient organisé un sit-in devant l'ambassade de Jordanie à Alger, suite à quoi elle étaient reçues par l'ambassadeur du Royaume hachémite. Cette entrevue n'a fait qu'exacerber leur désarroi, puisque l'ambassadeur leur a fait savoir que l'affréteur du vraquier, Leadroww en l'occurrence, ne paiera pas la rançon puisque la Jordanie est signataire de la résolution 1904 des Nations unies interdisant le paiement de rançon, au même titre que l'Algérie d'ailleurs, initiatrice de cette résolution. Les familles des 17 marins algériens étaien déçues par la réponse de l'ambassadeur de Jordanie, bien que ce dernier ait promis d'envoyer un rapport détaillé au Roi Abdallah II pour lui expliquer la tragédie de ces otages. L'inquiétude des familles est d'autant plus grande à l'approche du mois sacré de Ramadhan, avec ce souvenir atroce de rompre le jeûne loin des siens. Aussi, déplorent-elles l'attitude des autorités compétentes et des élus du peuple, se montrant plutôt indifférents à la triste mésaventure des leurs. Pour rappel, le navire battant pavillon national, MV Blida, a été attaqué par des pirates somaliens le 1er janvier dernier. Outre les 17 Algériens, l'équipage compte cinq Ukrainiens, deux Philippins, un Jordanien et un Indonésien. Les innombrables actions de solidarité et de protestation organisées depuis par leurs familles n'ont abouti à aucune solution. La seule information remonte à un mois faisant écho de la souffrance des otages qui se trouvent dans un état déplorable. Ceci dit, les familles des marins algériens entretiennent toujours l'espoir de pouvoir revoir les leurs un jour.