La scène politique s'emballe, les partis aussi. Tous sont sur la ligne de départ, des grosses cylindrées aux petites pointures, pour les échéances électorales en ne manquant pas, au passage, de faire du pied aux Algériens pour leurs précieuses voix. Mais d'autres, confinés dans la «clandestinité» pour faute d'agrément assisteront à ces joutes en faisant bon cœur contre mauvaise fortune. Des partis comme l'UDR d'Amara Benyounès, créé en 2004, ainsi que le PLJ devaient être agréés en juillet 2009. Récemment, sur une chaîne de télévision satellitaire, le secrétaire de l'UDR était confiant, très confiant même, en déclarant que son parti serait agréé avant la fin de l'année. Que Dieu l'entende ! Mais ils ne sont pas les seuls à espérer ardemment qu'un agrément vienne légaliser des partis, comme Wafa de l'ancien ministre sous Boumediène, Ahmed Taleb Ibrahimi, candidat à la présidentielle de 1999 et président d'un parti qui avait soulevé bien d polémiques et à qui on avait apposé des scellés durant 33 mois en espérant une reconnaissance officielle. Le même sort est réservé au Front démocratique de Sid-Ahmed Ghozali, au Front national pour le changement de Menasra qui, eux, attendent bon an mal an, ce précieux quitus. Il y a le dernier-né de Djaballah, le Front de la justice et du développement, qui devra subir le sort de l'absentéisme jusqu'en 2012. Car, en fait, aucun parti ne verra son agrément avant la révision de la Constitution, donc, une nouvelle mouture qui devrait voir le jour à la lumière des consultations politiques ordonnées par le chef de l'Etat dans le cadre des réformes ayant été menées par le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, qui a mené le bal avec tous les acteurs de la vie politique, économique, sociale et le mouvement associatif. Alors, messieurs les présidents de parti, remettez-vous-en à la citation de la bonne fable du Lion et du rat : «Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage». La scène politique s'emballe, les partis aussi. Tous sont sur la ligne de départ, des grosses cylindrées aux petites pointures, pour les échéances électorales en ne manquant pas, au passage, de faire du pied aux Algériens pour leurs précieuses voix. Mais d'autres, confinés dans la «clandestinité» pour faute d'agrément assisteront à ces joutes en faisant bon cœur contre mauvaise fortune. Des partis comme l'UDR d'Amara Benyounès, créé en 2004, ainsi que le PLJ devaient être agréés en juillet 2009. Récemment, sur une chaîne de télévision satellitaire, le secrétaire de l'UDR était confiant, très confiant même, en déclarant que son parti serait agréé avant la fin de l'année. Que Dieu l'entende ! Mais ils ne sont pas les seuls à espérer ardemment qu'un agrément vienne légaliser des partis, comme Wafa de l'ancien ministre sous Boumediène, Ahmed Taleb Ibrahimi, candidat à la présidentielle de 1999 et président d'un parti qui avait soulevé bien d polémiques et à qui on avait apposé des scellés durant 33 mois en espérant une reconnaissance officielle. Le même sort est réservé au Front démocratique de Sid-Ahmed Ghozali, au Front national pour le changement de Menasra qui, eux, attendent bon an mal an, ce précieux quitus. Il y a le dernier-né de Djaballah, le Front de la justice et du développement, qui devra subir le sort de l'absentéisme jusqu'en 2012. Car, en fait, aucun parti ne verra son agrément avant la révision de la Constitution, donc, une nouvelle mouture qui devrait voir le jour à la lumière des consultations politiques ordonnées par le chef de l'Etat dans le cadre des réformes ayant été menées par le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, qui a mené le bal avec tous les acteurs de la vie politique, économique, sociale et le mouvement associatif. Alors, messieurs les présidents de parti, remettez-vous-en à la citation de la bonne fable du Lion et du rat : «Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage».