Grande colère hier au chef-lieu de la commune de Mâatkas où la population est descendue dans la rue afin de crier son ras-le-bol devant la persistance du problème crucial de l'alimentation en eau potable. Les citoyens n'en peuvent plus d'autant plus que cette crise perdure depuis plus de quarante jours. Durée pendant laquelle aucune goutte d'eau n'a coulé des robinets des deux villages Iberkouken et Afir. Après avoir eu recours à toutes les démarches, notamment l'envoi de requêtes en plus des rencontres avec des responsables à divers niveaux, la population a constaté qu'elle n'avait affaire finalement qu'à des promesses jamais tenues. C'est pourquoi, il a été décidé à l'unanimité d'avoir recours à cette solution ultime. Hier donc, en plus du siège de la mairie et de celui de la daïra, les citoyens des deux villages concernés ont aussi barré la route reliant le chef-lieu de la daïra de Maâtkas à la ville de Tizi-Ouzou ainsi que du siège local de l'Algérienne des eaux. Rappelons que la région de Maâtkas n'est pas la seule dans la wilaya de Tizi-Ouzou à souffrir le martyre à cause du problème de la rareté de l'eau potable. Plusieurs autres localités sont concernées par cette crise qui connaît son paroxysme en été. Nous avons appris à cet effet que dans d'autres communes aussi, les comités de villages sont en concertation afin d'arrêter des actions de rue pour interpeller les autorités concernées qui restent insensibles à leurs doléances et à leur calvaire au quotidien. Grande colère hier au chef-lieu de la commune de Mâatkas où la population est descendue dans la rue afin de crier son ras-le-bol devant la persistance du problème crucial de l'alimentation en eau potable. Les citoyens n'en peuvent plus d'autant plus que cette crise perdure depuis plus de quarante jours. Durée pendant laquelle aucune goutte d'eau n'a coulé des robinets des deux villages Iberkouken et Afir. Après avoir eu recours à toutes les démarches, notamment l'envoi de requêtes en plus des rencontres avec des responsables à divers niveaux, la population a constaté qu'elle n'avait affaire finalement qu'à des promesses jamais tenues. C'est pourquoi, il a été décidé à l'unanimité d'avoir recours à cette solution ultime. Hier donc, en plus du siège de la mairie et de celui de la daïra, les citoyens des deux villages concernés ont aussi barré la route reliant le chef-lieu de la daïra de Maâtkas à la ville de Tizi-Ouzou ainsi que du siège local de l'Algérienne des eaux. Rappelons que la région de Maâtkas n'est pas la seule dans la wilaya de Tizi-Ouzou à souffrir le martyre à cause du problème de la rareté de l'eau potable. Plusieurs autres localités sont concernées par cette crise qui connaît son paroxysme en été. Nous avons appris à cet effet que dans d'autres communes aussi, les comités de villages sont en concertation afin d'arrêter des actions de rue pour interpeller les autorités concernées qui restent insensibles à leurs doléances et à leur calvaire au quotidien.