Les veillées du mois de Ramadhan sont des plus animées au niveau du chef-eu de la wilaya. Une animation bien plus importante que les années précédentes. Et ce qu'il y a lieu de retenir pour cette année, c'est la présence en force de la gent féminine déambulant aux quatre coins de la ville après le ftour afin de respirer l'air frais. Chose également inédite dans la ville de Tizi-Ouzou, c'est l'occupation des terrasses des cafétérias par ces dames et demoiselles qui viennent en groupe siroter un thé, prendre une glace ou un rafraîchissement. C'est dire que Ramadhan à Tizi-Ouzou est synonyme de vie nocturne et aucun coin de la ville ou de la Nouvelle Ville n'échappe à la fièvre des soirées de Ramadhan. La ville grouille de monde dès 21 h. Pour accéder par voiture au centre de Tizi-Ouzou à partir de cette heure-ci, il faudrait plus d'une demi-heure à patienter dans les longs embouteillages formés quotidiennement. En effet, dès la fin du ftour, c'est dans la ville chef-lieu de wilaya où tout se joue. A commencer par les spectacles de chants au niveau de la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Dans cet établissement, chaque soir, à partir de 21 h, au moins trois chanteurs montent sur scène pour égayer le public de plus en plus nombreux à venir en profiter. Dans la soirée de lundi dernier, c'était au tour de Brahim Tayeb de charmer ses fans pendant plus d'une heure et demie. Brahim Tayeb accompagné d'un orchestre varié a su faire voyager le public présent dans la salle vers l'époque de ses années d'or. Brahim Tayeb a interprété à l'occasion ses plus belles chansons d'amour à l'instar d'Usanni où il est question de raconter, non sans regrets, les années passées avec la bien-aimée et qui sont aujourd'hui devenues qu'un lointain souvenir. Le public a suivi sans un silence religieux les chansons interprétées par Brahim Tayeb avant de clore le spectacle par la chanson Intas que le public n'a pas cessé de réclamer depuis le début. L'ambiance dans la salle a alors atteint son apogée… Les galas artistiques se poursuivront tout au long du mois de Ramadhan dans le même établissement avec la programmation de plusieurs chanteurs connus, dont Akli Yahiatène, Aït Menguellet, Hamid Matoub, Hacène Ahres, Malika Domrane, Ali Ideflawen, Boudjemâ Agraw, etc. Les soirées de Ramadhan, c'est aussi la présentations de pièces théâtrales quotidiennes au niveau du Théâtre régional Kateb-Yacine qui connaît une affluence record de la part du public. Le service animation de ce théâtre a concocté un riche programme de présentation pour la circonstance avec notamment la participation de troupes venues de plusieurs wilayas et d'autres théâtres régionaux, à l'instar de Sidi Bel-Abbès, Annaba, Oran, Mascara, Alger, Tipaza et Béjaïa. Ramadhan aussi, c'est la fréquentation également, par les familles, des jardins publics. C'est le cas du jardin Mohand-Oulhadj, situé en face du siège de la wilaya, qui ne désemplit pas et ce, jusqu'à uneheure tardive. Le parc Tamaghra de la Nouvelle Ville est également un point vers lequel convergent des centaines de familles et d'enfants quotidiennement. Pour garantir la sécurité des citoyens, il y a lieu de souligner la grande mobilisation des différents services de la sûreté de wilaya qui veillent au grain jusqu'à pratiquement l'arrêt de toute activité dans la ville. D'ailleurs, jusque-là aucun incident, aussi petit soit-il, n'a été enregistré dans la ville de Tizi Ouzou en ces veillées du mois de Ramadhan. Les veillées du mois de Ramadhan sont des plus animées au niveau du chef-eu de la wilaya. Une animation bien plus importante que les années précédentes. Et ce qu'il y a lieu de retenir pour cette année, c'est la présence en force de la gent féminine déambulant aux quatre coins de la ville après le ftour afin de respirer l'air frais. Chose également inédite dans la ville de Tizi-Ouzou, c'est l'occupation des terrasses des cafétérias par ces dames et demoiselles qui viennent en groupe siroter un thé, prendre une glace ou un rafraîchissement. C'est dire que Ramadhan à Tizi-Ouzou est synonyme de vie nocturne et aucun coin de la ville ou de la Nouvelle Ville n'échappe à la fièvre des soirées de Ramadhan. La ville grouille de monde dès 21 h. Pour accéder par voiture au centre de Tizi-Ouzou à partir de cette heure-ci, il faudrait plus d'une demi-heure à patienter dans les longs embouteillages formés quotidiennement. En effet, dès la fin du ftour, c'est dans la ville chef-lieu de wilaya où tout se joue. A commencer par les spectacles de chants au niveau de la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Dans cet établissement, chaque soir, à partir de 21 h, au moins trois chanteurs montent sur scène pour égayer le public de plus en plus nombreux à venir en profiter. Dans la soirée de lundi dernier, c'était au tour de Brahim Tayeb de charmer ses fans pendant plus d'une heure et demie. Brahim Tayeb accompagné d'un orchestre varié a su faire voyager le public présent dans la salle vers l'époque de ses années d'or. Brahim Tayeb a interprété à l'occasion ses plus belles chansons d'amour à l'instar d'Usanni où il est question de raconter, non sans regrets, les années passées avec la bien-aimée et qui sont aujourd'hui devenues qu'un lointain souvenir. Le public a suivi sans un silence religieux les chansons interprétées par Brahim Tayeb avant de clore le spectacle par la chanson Intas que le public n'a pas cessé de réclamer depuis le début. L'ambiance dans la salle a alors atteint son apogée… Les galas artistiques se poursuivront tout au long du mois de Ramadhan dans le même établissement avec la programmation de plusieurs chanteurs connus, dont Akli Yahiatène, Aït Menguellet, Hamid Matoub, Hacène Ahres, Malika Domrane, Ali Ideflawen, Boudjemâ Agraw, etc. Les soirées de Ramadhan, c'est aussi la présentations de pièces théâtrales quotidiennes au niveau du Théâtre régional Kateb-Yacine qui connaît une affluence record de la part du public. Le service animation de ce théâtre a concocté un riche programme de présentation pour la circonstance avec notamment la participation de troupes venues de plusieurs wilayas et d'autres théâtres régionaux, à l'instar de Sidi Bel-Abbès, Annaba, Oran, Mascara, Alger, Tipaza et Béjaïa. Ramadhan aussi, c'est la fréquentation également, par les familles, des jardins publics. C'est le cas du jardin Mohand-Oulhadj, situé en face du siège de la wilaya, qui ne désemplit pas et ce, jusqu'à uneheure tardive. Le parc Tamaghra de la Nouvelle Ville est également un point vers lequel convergent des centaines de familles et d'enfants quotidiennement. Pour garantir la sécurité des citoyens, il y a lieu de souligner la grande mobilisation des différents services de la sûreté de wilaya qui veillent au grain jusqu'à pratiquement l'arrêt de toute activité dans la ville. D'ailleurs, jusque-là aucun incident, aussi petit soit-il, n'a été enregistré dans la ville de Tizi Ouzou en ces veillées du mois de Ramadhan.