La prise en charge psychologique et matérielle des victimes de l'attentat kamikaze, ayant ciblé, dimanche dernier, la première sûreté urbaine de la ville de Tizi-Ouzou, «avance à bon rythme», a indiqué la cellule de communication de la wilaya. Concernant les personnes atteintes de traumatismes psychiques, la direction locale de l'action sociale a mobilisé une équipe de psychologues qui s'est rendue, dimanche et lundi, auprès de 50 familles résidant à la rue Lamali-Ahmed, pour s'enquérir de leur état de santé, a précisé la même source. Un enfant âgé de 6 ans et un jeune homme de 24 ans, blessés lors de cet attentat, ont bénéficié d'une prise en charge psychologique à leur sortie de l'hôpital, de même que 14 personnes âgées entre 6 et 70 ans présentant des troubles psychiques, dont la perte d'appétit, le manque de sommeil, l'épuisement, la perte de conscience, tremblements, cris et maux de tête, a-t-on indiqué. S'agissant des victimes dont les habitations ont été endommagées par l'explosion, la direction de l'OPGI, qui procède au recensement de ces habitations, a engagé huit bureaux d'études et quatre entreprises. Ces dernières, a-t-on ajouté à la wilaya, ont entamé, mardi dernier, les travaux de réhabilitation des 32 appartements du bâtiment Djurdjura et de 48 autres situés sur la rue Lamali-Ahmed qui ont été les plus touchés. Les entreprises interviendront aussi au niveau des 60-Logements de la cité OPGI, de 117 autres au niveau du Bâtiment bleu. L'entreprise Sonelgaz procède, pour sa part, à la réparation et à la remise en service progressive des réseaux du gaz et de l'électricité, a-t-on constaté à la cité 48-Logements où des agents de cette société procédaient aux vérifications des compteurs. La prise en charge psychologique et matérielle des victimes de l'attentat kamikaze, ayant ciblé, dimanche dernier, la première sûreté urbaine de la ville de Tizi-Ouzou, «avance à bon rythme», a indiqué la cellule de communication de la wilaya. Concernant les personnes atteintes de traumatismes psychiques, la direction locale de l'action sociale a mobilisé une équipe de psychologues qui s'est rendue, dimanche et lundi, auprès de 50 familles résidant à la rue Lamali-Ahmed, pour s'enquérir de leur état de santé, a précisé la même source. Un enfant âgé de 6 ans et un jeune homme de 24 ans, blessés lors de cet attentat, ont bénéficié d'une prise en charge psychologique à leur sortie de l'hôpital, de même que 14 personnes âgées entre 6 et 70 ans présentant des troubles psychiques, dont la perte d'appétit, le manque de sommeil, l'épuisement, la perte de conscience, tremblements, cris et maux de tête, a-t-on indiqué. S'agissant des victimes dont les habitations ont été endommagées par l'explosion, la direction de l'OPGI, qui procède au recensement de ces habitations, a engagé huit bureaux d'études et quatre entreprises. Ces dernières, a-t-on ajouté à la wilaya, ont entamé, mardi dernier, les travaux de réhabilitation des 32 appartements du bâtiment Djurdjura et de 48 autres situés sur la rue Lamali-Ahmed qui ont été les plus touchés. Les entreprises interviendront aussi au niveau des 60-Logements de la cité OPGI, de 117 autres au niveau du Bâtiment bleu. L'entreprise Sonelgaz procède, pour sa part, à la réparation et à la remise en service progressive des réseaux du gaz et de l'électricité, a-t-on constaté à la cité 48-Logements où des agents de cette société procédaient aux vérifications des compteurs.