Les prix du pétrole restaient stables, hier, en cours d'échanges européens, dans l'attente des chiffres des stocks américains, alors que la nervosité restait de mise dans les marchés avant une intervention très attendue du président de la Banque centrale américaine vendredi. Le baril de brent de la mer du Nord (livraison en octobre) s'échangeait à 109,03 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 28 cents par rapport à la clôture de mardi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, le baril de «light sweet crude» (WTI) pour la même échéance se repliait de 27 cents, à 85,17 dollars. Les cours du baril hésitaient autour de l'équilibre dans un marché volatil et sans volume, «de plus en plus dominé par les spéculations à mesure que l'on se rapproche du discours de Jackson Hole (Wyoming, ouest des Etats-Unis)», soulignaient les experts. L'intervention du président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Ben Bernanke vendredi à Jackson Hole sera, en effet, particulièrement scrutée par les investisseurs, qui craignent un retour en récession de l'économie des Etats-Unis. Les intervenants des marchés guetteront ainsi toute indication sur l'éventuelle adoption dans les mois à venir de nouvelles mesures de relance qui pourraient prendre la forme d'injections de liquidités, susceptibles d'alimenter les investissements dans les matières premières et de diluer du dollar, autre facteur de soutien pour les cours du baril. Sur le plan de la demande, les opérateurs tourneront leur attention vers les chiffres hebdomadaires des stocks américains publiés par le Département américain de l'Energie (DoE), attendus en hausse. Les prix du pétrole restaient stables, hier, en cours d'échanges européens, dans l'attente des chiffres des stocks américains, alors que la nervosité restait de mise dans les marchés avant une intervention très attendue du président de la Banque centrale américaine vendredi. Le baril de brent de la mer du Nord (livraison en octobre) s'échangeait à 109,03 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 28 cents par rapport à la clôture de mardi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, le baril de «light sweet crude» (WTI) pour la même échéance se repliait de 27 cents, à 85,17 dollars. Les cours du baril hésitaient autour de l'équilibre dans un marché volatil et sans volume, «de plus en plus dominé par les spéculations à mesure que l'on se rapproche du discours de Jackson Hole (Wyoming, ouest des Etats-Unis)», soulignaient les experts. L'intervention du président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Ben Bernanke vendredi à Jackson Hole sera, en effet, particulièrement scrutée par les investisseurs, qui craignent un retour en récession de l'économie des Etats-Unis. Les intervenants des marchés guetteront ainsi toute indication sur l'éventuelle adoption dans les mois à venir de nouvelles mesures de relance qui pourraient prendre la forme d'injections de liquidités, susceptibles d'alimenter les investissements dans les matières premières et de diluer du dollar, autre facteur de soutien pour les cours du baril. Sur le plan de la demande, les opérateurs tourneront leur attention vers les chiffres hebdomadaires des stocks américains publiés par le Département américain de l'Energie (DoE), attendus en hausse.