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Pas de crainte sur l'épargne des ménages
Selon un responsable de la Banque d'Algérie
Publié dans Le Midi Libre le 14 - 09 - 2011

Les craintes sur l'épargne des ménages en Algérie ne sont "absolument" pas justifiées, a affirmé, hier, à Alger, un directeur conseiller à la Banque d'Algérie, M. Djamel Benbelkacem.
«Ces craintes ne sont absolument pas justifiées. Elles n'ont pas lieu d'être dans le cas du système bancaire algérien", a-t-il assuré sur les ondes de la Radio nationale.
Selon ce responsable, la Banque d'Algérie a mis en place "une réglementation prudente" pour assurer la stabilité du système financier et éviter le risque systémique.
«Il s'agit d'indicateurs et de ratios de gestion de banques auxquelles tous les établissements financiers doivent se soumettre. La Banque centrale assure le contrôle pour éviter qu'il y ait une faille ou des problèmes au niveau de telle ou telle banque", a-t-il expliqué. M. Benbelkacem a affirmé, à ce titre, qu'"en ce qui concerne les banques en Algérie, tous les ratios sont au vert". Le gouverneur de la Banque d'Algérie, M. Mohamed Laksaci, avait indiqué, lundi, que les banques ont consolidé leurs indicateurs de solidité financière au cours du premier semestre 2011. «Le ratio de solvabilité reste appréciable à près de 21%", avait-il précisé lors d'une conférence sur les principales évolutions monétaires et financières de l'Algérie durant le premier semestre 2011.
Pour illustrer cette solidité financière des banques en Algérie, M.Laksaci avait souligné que le niveau des créances non performantes déclarées par les banques est en baisse, passant de 19,05% du total des crédits distribués à fin 2010 à 16,63% à fin juin 2011.
«Cette amélioration est due à l'effet conjugué de la baisse du niveau des créances non performantes et de la hausse de l'encours des crédits distribués", avait-il expliqué.
Une réglementation en matière d'identification, mesure, gestion et contrôle du risque de liquidité en phase avec les nouvelles normes du Comité de Bâle (élaborées par la BRI en matière de règles prudentielles des banques) a été édictée par le Conseil de la monnaie et du crédit, en mai dernier, afin de développer davantage le cadre opérationnel de la stabilité financière.
Ce règlement institue un coefficient de liquidité minimum que les banques et les établissements financiers doivent respecter à tout moment.
«L'évaluation faite par la Banque d'Algérie dès juin 2011 indique que les banques de la place satisfont à cette exigence", avait soutenu M. Laksaci. Par ailleurs, le compte de capital a enregistré un déficit au premier semestre 2011 dû aux "importants remboursements au premier trimestre 2011 du principal de la dette extérieure".
«Ces remboursements sont de l'ordre de 0,99 milliard de dollars contre 0,17 milliard de dollars pour tout le premier semestre 2010 ", avait précisé le premier responsable de la Banque d'Algérie.
Selon M. Laksaci, cela visait à réduire la dette extérieure à cours terme dont l'encours est passé de 1,778 milliard de dollars à fin 2010 à 0,989 milliard de dollars à fin juin 2011.
Il a relevé, dans ce contexte, une "amélioration" dans les flux d'entrées de capitaux au titre des investissements directs étrangers bruts qui sont passés de 0,980 milliard de dollars au premier semestre 2010 à 1,331 milliard de dollars au premier semestre 2011.
Les craintes sur l'épargne des ménages en Algérie ne sont "absolument" pas justifiées, a affirmé, hier, à Alger, un directeur conseiller à la Banque d'Algérie, M. Djamel Benbelkacem.
«Ces craintes ne sont absolument pas justifiées. Elles n'ont pas lieu d'être dans le cas du système bancaire algérien", a-t-il assuré sur les ondes de la Radio nationale.
Selon ce responsable, la Banque d'Algérie a mis en place "une réglementation prudente" pour assurer la stabilité du système financier et éviter le risque systémique.
«Il s'agit d'indicateurs et de ratios de gestion de banques auxquelles tous les établissements financiers doivent se soumettre. La Banque centrale assure le contrôle pour éviter qu'il y ait une faille ou des problèmes au niveau de telle ou telle banque", a-t-il expliqué. M. Benbelkacem a affirmé, à ce titre, qu'"en ce qui concerne les banques en Algérie, tous les ratios sont au vert". Le gouverneur de la Banque d'Algérie, M. Mohamed Laksaci, avait indiqué, lundi, que les banques ont consolidé leurs indicateurs de solidité financière au cours du premier semestre 2011. «Le ratio de solvabilité reste appréciable à près de 21%", avait-il précisé lors d'une conférence sur les principales évolutions monétaires et financières de l'Algérie durant le premier semestre 2011.
Pour illustrer cette solidité financière des banques en Algérie, M.Laksaci avait souligné que le niveau des créances non performantes déclarées par les banques est en baisse, passant de 19,05% du total des crédits distribués à fin 2010 à 16,63% à fin juin 2011.
«Cette amélioration est due à l'effet conjugué de la baisse du niveau des créances non performantes et de la hausse de l'encours des crédits distribués", avait-il expliqué.
Une réglementation en matière d'identification, mesure, gestion et contrôle du risque de liquidité en phase avec les nouvelles normes du Comité de Bâle (élaborées par la BRI en matière de règles prudentielles des banques) a été édictée par le Conseil de la monnaie et du crédit, en mai dernier, afin de développer davantage le cadre opérationnel de la stabilité financière.
Ce règlement institue un coefficient de liquidité minimum que les banques et les établissements financiers doivent respecter à tout moment.
«L'évaluation faite par la Banque d'Algérie dès juin 2011 indique que les banques de la place satisfont à cette exigence", avait soutenu M. Laksaci. Par ailleurs, le compte de capital a enregistré un déficit au premier semestre 2011 dû aux "importants remboursements au premier trimestre 2011 du principal de la dette extérieure".
«Ces remboursements sont de l'ordre de 0,99 milliard de dollars contre 0,17 milliard de dollars pour tout le premier semestre 2010 ", avait précisé le premier responsable de la Banque d'Algérie.
Selon M. Laksaci, cela visait à réduire la dette extérieure à cours terme dont l'encours est passé de 1,778 milliard de dollars à fin 2010 à 0,989 milliard de dollars à fin juin 2011.
Il a relevé, dans ce contexte, une "amélioration" dans les flux d'entrées de capitaux au titre des investissements directs étrangers bruts qui sont passés de 0,980 milliard de dollars au premier semestre 2010 à 1,331 milliard de dollars au premier semestre 2011.


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