Le commissaire du Salon international du livre d'Alger (Sila), Smaïn Amziane, a indiqué lundi à Alger que le salon "n'est pas habilité" à interdire tel ou tel titre, précisant que cette mission revenait à une commission nationale de lecture composée de représentants de plusieurs départements ministériels. "Le salon n'est pas habilité à interdire des livres. Le salon n'a, d'ailleurs, ni les moyens ni le pouvoir de censurer", a déclaré M. Amziane lors d'une conférence de presse consacrée au 16e Sila qui se tiendra du 21 septembre au 1er octobre à Alger sous le thème "Le livre délivre". Il a tenu à préciser qu'il existait, à l'instar de tous les pays arabes et autres, une commission nationale de lecture, composée de représentants de plusieurs départements ministériels, chargée d'émettre des réserves sur des titres qu'elle juge "attentatoires aux principes et aux valeurs de la nation, à l'histoire de l'Algérie, à l'islam ou qu'ils font l'apologie du terrorisme". Selon lui, ce genre de commissions n'est pas propre à l'Algérie mais se trouvent dans l'ensemble des pays, notamment arabes. Revenant au déroulement du Sila 2011, l'orateur a relevé que la priorité a été donnée cette année aux livres scientifiques et techniques qui intéressent la population estudiantine, sans pour autant négliger les livres littéraires, a-t-il souligné. Il a rappelé que le Liban sera l'invité d'honneur de cette édition qui verra la participation de 521 éditeurs, dont 145 algériens, répartis sur 400 stands. La Russie et l'Ukraine seront présentes pour la première fois, a-t-il ajouté. M. Amziane a fait savoir que 4.000 m2 supplémentaires ont été rajoutés à la superficie initiale du Sila pour accueillir davantage de maisons d'édition. Par ailleurs, le conférencier a indiqué que la 15e édition du salon (Sila 2010) a enregistré 1.200.000 visiteurs avec un pic de 190.000 visiteurs au dernier jour. Le commissaire du Salon international du livre d'Alger (Sila), Smaïn Amziane, a indiqué lundi à Alger que le salon "n'est pas habilité" à interdire tel ou tel titre, précisant que cette mission revenait à une commission nationale de lecture composée de représentants de plusieurs départements ministériels. "Le salon n'est pas habilité à interdire des livres. Le salon n'a, d'ailleurs, ni les moyens ni le pouvoir de censurer", a déclaré M. Amziane lors d'une conférence de presse consacrée au 16e Sila qui se tiendra du 21 septembre au 1er octobre à Alger sous le thème "Le livre délivre". Il a tenu à préciser qu'il existait, à l'instar de tous les pays arabes et autres, une commission nationale de lecture, composée de représentants de plusieurs départements ministériels, chargée d'émettre des réserves sur des titres qu'elle juge "attentatoires aux principes et aux valeurs de la nation, à l'histoire de l'Algérie, à l'islam ou qu'ils font l'apologie du terrorisme". Selon lui, ce genre de commissions n'est pas propre à l'Algérie mais se trouvent dans l'ensemble des pays, notamment arabes. Revenant au déroulement du Sila 2011, l'orateur a relevé que la priorité a été donnée cette année aux livres scientifiques et techniques qui intéressent la population estudiantine, sans pour autant négliger les livres littéraires, a-t-il souligné. Il a rappelé que le Liban sera l'invité d'honneur de cette édition qui verra la participation de 521 éditeurs, dont 145 algériens, répartis sur 400 stands. La Russie et l'Ukraine seront présentes pour la première fois, a-t-il ajouté. M. Amziane a fait savoir que 4.000 m2 supplémentaires ont été rajoutés à la superficie initiale du Sila pour accueillir davantage de maisons d'édition. Par ailleurs, le conférencier a indiqué que la 15e édition du salon (Sila 2010) a enregistré 1.200.000 visiteurs avec un pic de 190.000 visiteurs au dernier jour.