L'importance du dialogue méthodique dans le traitement des questions liées à la langue amazighe, a été mise en évidence lors d'un colloque sur "La composante amazighe dans l'identité algérienne : état des lieux", dont les travaux ont pris fin mardi à Ouargla. Les participants à cette rencontre de deux jours, initiée par le Haut Commissariat à l'Amazighité (HCA), ont été unanimes à souligner que le dialogue fondé sur "des bases méthodiques et scientifiques saines", est seul à même de résoudre les problématiques soulevées par la question de l'amazighité, pour peu qu'il soit "rassembleur et unificateur, croyant en la diversité culturelle". Les intervenants ont mis l'accent sur le contact linguistique amazigh/arabe qui, estiment-ils, "doit revêtir un caractère de complémentarité", ainsi que et sur la nécessité d'encourager les recherches sur la langue amazighe afin de contribuer à son développement et sa promotion. Intervenant en clôture des travaux, le secrétaire général du HCA, Youcef Merrahi, a affirmé que "l'école constitue la meilleure voie de réhabilitation de la langue amazighe". A ce propos, il s'est dit "convaincu" que l'école algérienne est en mesure de "réhabiliter la langue amazighe et de redorer son blason, loin de toute politisation de la question amazighe". "Il est temps de briser les tabous qui encombrent certains esprits, pour qui la langue amazighe serait en conflit avec la langue arabe, et qui se cachent derrière des faux-fuyants en abordant des questions liées à la forme d'écriture de la langue amazighe". "L'œuvre de réhabilitation de la langue amazighe s'inscrit dans le sillage de la formation de l'identité algérienne basée sur les trois composantes nationales: islam, arabité et amazighité", a soutenu le SG du HCA. Plusieurs universitaires et chercheurs, de différentes wilayas du pays, ont pris part au colloque dont les travaux se sont articulés notamment autour de l'identité amazighe, le contact linguistique amazighe-arabe-français, la langue amazighe et l'identité nationale, et la dimension amazighe dans l'imaginaire collectif. L'importance du dialogue méthodique dans le traitement des questions liées à la langue amazighe, a été mise en évidence lors d'un colloque sur "La composante amazighe dans l'identité algérienne : état des lieux", dont les travaux ont pris fin mardi à Ouargla. Les participants à cette rencontre de deux jours, initiée par le Haut Commissariat à l'Amazighité (HCA), ont été unanimes à souligner que le dialogue fondé sur "des bases méthodiques et scientifiques saines", est seul à même de résoudre les problématiques soulevées par la question de l'amazighité, pour peu qu'il soit "rassembleur et unificateur, croyant en la diversité culturelle". Les intervenants ont mis l'accent sur le contact linguistique amazigh/arabe qui, estiment-ils, "doit revêtir un caractère de complémentarité", ainsi que et sur la nécessité d'encourager les recherches sur la langue amazighe afin de contribuer à son développement et sa promotion. Intervenant en clôture des travaux, le secrétaire général du HCA, Youcef Merrahi, a affirmé que "l'école constitue la meilleure voie de réhabilitation de la langue amazighe". A ce propos, il s'est dit "convaincu" que l'école algérienne est en mesure de "réhabiliter la langue amazighe et de redorer son blason, loin de toute politisation de la question amazighe". "Il est temps de briser les tabous qui encombrent certains esprits, pour qui la langue amazighe serait en conflit avec la langue arabe, et qui se cachent derrière des faux-fuyants en abordant des questions liées à la forme d'écriture de la langue amazighe". "L'œuvre de réhabilitation de la langue amazighe s'inscrit dans le sillage de la formation de l'identité algérienne basée sur les trois composantes nationales: islam, arabité et amazighité", a soutenu le SG du HCA. Plusieurs universitaires et chercheurs, de différentes wilayas du pays, ont pris part au colloque dont les travaux se sont articulés notamment autour de l'identité amazighe, le contact linguistique amazighe-arabe-français, la langue amazighe et l'identité nationale, et la dimension amazighe dans l'imaginaire collectif.