Les prix du pétrole reculaient légèrement à Londres et progressaient un peu à New York, dans un marché prudent avant les chiffres des stocks américains et toujours marqué par la crise en zone euro. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre s'échangeait à 111,02 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 13 cents par rapport à la clôture de mardi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en novembre grimpait quant à lui de 21 cents à 88,55 dollars. "La toile de fond pour le marché du pétrole, c'est un regain d'espoir sur les perspectives de la zone euro, même si la prudence reste de mise avant de voir sur quelles solutions s'accordera le sommet européen de ce week-end", commentaient des analystes. Selon le quotidien britannique The Guardian, Paris et Berlin se sont entendus pour porter la capacité du Fonds de secours de la zone euro (FESF) à 2.000 milliards d'euros, contre 440 milliards actuellement - un plan qui pourrait être ratifié lors du sommet de l'Union européenne dimanche à Bruxelles Ces informations ravivaient l'appétit des investisseurs pour les actifs jugés risqués, confortant les places boursières et l'euro, mais les prix du pétrole peinaient à en profiter, dans un marché où les craintes sur la croissance économique et la demande de brut restent vives. Outre la crise des dettes européennes, les investisseurs restaient, par ailleurs, sur leur garde avant les chiffres hebdomadaires du département américain de l'Energie (DoE), estimaient les analystes. Les prix du pétrole reculaient légèrement à Londres et progressaient un peu à New York, dans un marché prudent avant les chiffres des stocks américains et toujours marqué par la crise en zone euro. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre s'échangeait à 111,02 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 13 cents par rapport à la clôture de mardi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en novembre grimpait quant à lui de 21 cents à 88,55 dollars. "La toile de fond pour le marché du pétrole, c'est un regain d'espoir sur les perspectives de la zone euro, même si la prudence reste de mise avant de voir sur quelles solutions s'accordera le sommet européen de ce week-end", commentaient des analystes. Selon le quotidien britannique The Guardian, Paris et Berlin se sont entendus pour porter la capacité du Fonds de secours de la zone euro (FESF) à 2.000 milliards d'euros, contre 440 milliards actuellement - un plan qui pourrait être ratifié lors du sommet de l'Union européenne dimanche à Bruxelles Ces informations ravivaient l'appétit des investisseurs pour les actifs jugés risqués, confortant les places boursières et l'euro, mais les prix du pétrole peinaient à en profiter, dans un marché où les craintes sur la croissance économique et la demande de brut restent vives. Outre la crise des dettes européennes, les investisseurs restaient, par ailleurs, sur leur garde avant les chiffres hebdomadaires du département américain de l'Energie (DoE), estimaient les analystes.