La grève a laquelle a appelé le Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSSP) a été largement suivi, selon ses initiateurs. Les syndicalistes ont en effet affirmé que "Le taux de participation enregistré, même s'il diffère d'une ville à une autre, avoisinait les 75 %". Le Syndicat national des praticiens de la santé publique avait décidé de maintenir l'appel à la grève illimitée après une réunion de conciliation entre le ministère de la Santé et cette organisation syndicale le 20 octobre dernier, conclue sur un constat d'échec. Avec cette nouvelle grève, le SNPSSP sort d'une trêve de plus de quatre mois observée suite à la conclusion d'un accord avec la tutelle en mai dernier. Celle-ci s'était alors engagée à répondre favorablement à toutes les revendications exprimées par les protestataires. Le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, avait, rappelons-le, déclaré dimanche que les problèmes "dont souffre le secteur de la santé ne datent pas d'aujourd'hui mais remontent à 24 ans". Le secteur a connu "une dégradation" notamment durant les années de terrorisme où "plusieurs professeurs et médecins ont été assassinés", a souligné le ministre qui répondait aux préoccupations des députés de l'Assemblée populaire nationale à l'issue de l'examen du projet de loi de finances 2012 lors d'une séance plénière présidée par Abdelaziz Ziari. Dans ce contexte, M. Ould Abbès a affirmé avoir été désigné à la tête du secteur "non pas pour gérer la crise mais pour régler les problèmes qui se posent" soulignant que "la santé est l'affaire de tous". La grève a laquelle a appelé le Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSSP) a été largement suivi, selon ses initiateurs. Les syndicalistes ont en effet affirmé que "Le taux de participation enregistré, même s'il diffère d'une ville à une autre, avoisinait les 75 %". Le Syndicat national des praticiens de la santé publique avait décidé de maintenir l'appel à la grève illimitée après une réunion de conciliation entre le ministère de la Santé et cette organisation syndicale le 20 octobre dernier, conclue sur un constat d'échec. Avec cette nouvelle grève, le SNPSSP sort d'une trêve de plus de quatre mois observée suite à la conclusion d'un accord avec la tutelle en mai dernier. Celle-ci s'était alors engagée à répondre favorablement à toutes les revendications exprimées par les protestataires. Le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, avait, rappelons-le, déclaré dimanche que les problèmes "dont souffre le secteur de la santé ne datent pas d'aujourd'hui mais remontent à 24 ans". Le secteur a connu "une dégradation" notamment durant les années de terrorisme où "plusieurs professeurs et médecins ont été assassinés", a souligné le ministre qui répondait aux préoccupations des députés de l'Assemblée populaire nationale à l'issue de l'examen du projet de loi de finances 2012 lors d'une séance plénière présidée par Abdelaziz Ziari. Dans ce contexte, M. Ould Abbès a affirmé avoir été désigné à la tête du secteur "non pas pour gérer la crise mais pour régler les problèmes qui se posent" soulignant que "la santé est l'affaire de tous".