Le Secrétaire général adjoint des Nations unies aux affaires politiques, Lynn Pascoe, a appelé lundi Israéliens et Palestiniens à s'engager pour une paix durable, tandis que le représentant palestinien a exhorté le Conseil de sécurité à formuler une recommandation positive à l'Assemblée générale concernant l'admission d'un Etat palestinien. Le Secrétaire général adjoint des Nations unies aux affaires politiques, Lynn Pascoe, a appelé lundi Israéliens et Palestiniens à s'engager pour une paix durable, tandis que le représentant palestinien a exhorté le Conseil de sécurité à formuler une recommandation positive à l'Assemblée générale concernant l'admission d'un Etat palestinien. Lors d'une session du Conseil de sécurité consacrée au Moyen-Orient à deux jours de la réunion du Quartette avec les deux parties au conflit. M. Pascoe a appelé les deux parties à faire preuve de la même détermination à prendre des décisions difficiles pour trouver une paix durable que celle qu'ils ont montrée lors du récent échange de prisonniers. "Nous avons vu que la volonté politique a permis de résoudre une question humanitaire", a souligné M. Pascoe devant le Conseil de sécurité. "Nous appelons à ce que la même détermination soit affichée concernant la question de la plus grande importance, la quête d'une paix durable", a-t-il insisté, soulignant la profonde préoccupation de l'Onu concernant l'impasse actuelle. Les représentants des deux parties doivent rencontrer, séparément, le 26 octobre à El Qods, des envoyés du Quartette sur le Moyen-Orient (Etats-Unis, Russie, Union européenne et Nations unies) cela afin de se mettre d'accord sur la manière de procéder concernant les négociations qui se trouvent dans l'impasse depuis septembre 2010. M. Pascoe a estimé que les parties devaient éviter toute provocation et surtout devaient être prêtes à faire des propositions sérieuses sur les frontières et la sécurité pour les négociations. "Nous les exhortons à aborder leurs réunions avec les envoyés du Quartette cette semaine dans cet état d'esprit. Autrement, l'impasse continuera de s'approfondir, ainsi que le niveau de confrontation et de méfiance", a-t-il poursuivi. "La communauté internationale est prête à jouer un rôle actif pour s'orienter vers un accord qui résolve toutes les questions sur le statut final, mette fin à l'occupation sur la base des frontières de 1967, mette fin au conflit, et crée un Etat palestinien viable et indépendant vivant aux côtés d'Israel dans les frontières sûres et reconnues", a-t-il ajouté. M. Pascoe s'est également fait l'écho du souhait exprimé par le Secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, que l'échange de prisonniers soit suivi par de nouvelles mesures mettant fin au blocus de Ghaza. "Nous réitérons notre appel à Israel pour davantage de mesures de grande envergure pour alléger le blocus terrestre et faciliter l'entrée de matériaux de construction à Ghaza, la liberté de mouvement des gens dans les deux directions et les exportations depuis Ghaza", a-t-il ajouté. S'agissant de la demande d'admission de la Palestine en tant qu'Etat membre des Nations unies, le Secrétaire général adjoint a expliqué qu'elle était en cours d'examen par les membres du Conseil de sécurité, tandis que sa demande d'adhésion à l'UNESCO est réexaminée avant d'être mise aux voix par la Conférence générale. Intervenant à son tour, l'Observateur permanent de la Palestine auprès des Nations unies, M. Riyad Mansour, a souligné "l'étape historique" que constitue la demande d'admission de l'Etat de la Palestine aux Nations unies, dont le Conseil de sécurité est saisi depuis le mois dernier. "Le peuple palestinien, les peuples de la région et la grande majorité de la communauté internationale exhortent le Conseil à rendre justice au peuple palestinien et à parvenir à une paix durable au Moyen Orient", a-t-il insisté, en rappelant qu'à ce jour, 130 pays avaient reconnu l'existence de l'Etat de la Palestine. Soulignant les progrès accomplis par l'Autorité palestinienne dans le renforcement des institutions nationales palestiniennes, M. Mansour a regretté lÆéchec des négociations de paix, dont les conséquences sont supportées, non pas par la puissance occupante qui continue d'agir dans la plus totale impunité, mais par le peuple palestinien. Le statu quo est inacceptable et injuste, a-t-il affirmé, en exhortant à nouveau le Conseil à se montrer à la hauteur de ses responsabilités et à formuler une recommandation positive à l'Assemblée générale concernant l'admission d'un Etat palestinien. Il a également affirmé qu'il ne voyait aucune contradiction entre une reprise des négociations entre les deux parties sous l'égide du Quartette et un examen positif de la candidature palestinienne par le Conseil de sécurité. Lors d'une session du Conseil de sécurité consacrée au Moyen-Orient à deux jours de la réunion du Quartette avec les deux parties au conflit. M. Pascoe a appelé les deux parties à faire preuve de la même détermination à prendre des décisions difficiles pour trouver une paix durable que celle qu'ils ont montrée lors du récent échange de prisonniers. "Nous avons vu que la volonté politique a permis de résoudre une question humanitaire", a souligné M. Pascoe devant le Conseil de sécurité. "Nous appelons à ce que la même détermination soit affichée concernant la question de la plus grande importance, la quête d'une paix durable", a-t-il insisté, soulignant la profonde préoccupation de l'Onu concernant l'impasse actuelle. Les représentants des deux parties doivent rencontrer, séparément, le 26 octobre à El Qods, des envoyés du Quartette sur le Moyen-Orient (Etats-Unis, Russie, Union européenne et Nations unies) cela afin de se mettre d'accord sur la manière de procéder concernant les négociations qui se trouvent dans l'impasse depuis septembre 2010. M. Pascoe a estimé que les parties devaient éviter toute provocation et surtout devaient être prêtes à faire des propositions sérieuses sur les frontières et la sécurité pour les négociations. "Nous les exhortons à aborder leurs réunions avec les envoyés du Quartette cette semaine dans cet état d'esprit. Autrement, l'impasse continuera de s'approfondir, ainsi que le niveau de confrontation et de méfiance", a-t-il poursuivi. "La communauté internationale est prête à jouer un rôle actif pour s'orienter vers un accord qui résolve toutes les questions sur le statut final, mette fin à l'occupation sur la base des frontières de 1967, mette fin au conflit, et crée un Etat palestinien viable et indépendant vivant aux côtés d'Israel dans les frontières sûres et reconnues", a-t-il ajouté. M. Pascoe s'est également fait l'écho du souhait exprimé par le Secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, que l'échange de prisonniers soit suivi par de nouvelles mesures mettant fin au blocus de Ghaza. "Nous réitérons notre appel à Israel pour davantage de mesures de grande envergure pour alléger le blocus terrestre et faciliter l'entrée de matériaux de construction à Ghaza, la liberté de mouvement des gens dans les deux directions et les exportations depuis Ghaza", a-t-il ajouté. S'agissant de la demande d'admission de la Palestine en tant qu'Etat membre des Nations unies, le Secrétaire général adjoint a expliqué qu'elle était en cours d'examen par les membres du Conseil de sécurité, tandis que sa demande d'adhésion à l'UNESCO est réexaminée avant d'être mise aux voix par la Conférence générale. Intervenant à son tour, l'Observateur permanent de la Palestine auprès des Nations unies, M. Riyad Mansour, a souligné "l'étape historique" que constitue la demande d'admission de l'Etat de la Palestine aux Nations unies, dont le Conseil de sécurité est saisi depuis le mois dernier. "Le peuple palestinien, les peuples de la région et la grande majorité de la communauté internationale exhortent le Conseil à rendre justice au peuple palestinien et à parvenir à une paix durable au Moyen Orient", a-t-il insisté, en rappelant qu'à ce jour, 130 pays avaient reconnu l'existence de l'Etat de la Palestine. Soulignant les progrès accomplis par l'Autorité palestinienne dans le renforcement des institutions nationales palestiniennes, M. Mansour a regretté lÆéchec des négociations de paix, dont les conséquences sont supportées, non pas par la puissance occupante qui continue d'agir dans la plus totale impunité, mais par le peuple palestinien. Le statu quo est inacceptable et injuste, a-t-il affirmé, en exhortant à nouveau le Conseil à se montrer à la hauteur de ses responsabilités et à formuler une recommandation positive à l'Assemblée générale concernant l'admission d'un Etat palestinien. Il a également affirmé qu'il ne voyait aucune contradiction entre une reprise des négociations entre les deux parties sous l'égide du Quartette et un examen positif de la candidature palestinienne par le Conseil de sécurité.