On peut dire que la crise de lait en sachet vient d'être surmontée mais au prix d'une augmentation de 5 dinars sur le prix d'un sachet de lait. Toutefois, il n'y a pas vraiment de grande pression sur l'achat de ce produit de première engendrée par la paralysie totale de l'ex-Onalait de Drâa Ben-Khedda. Les familles ont donc, depuis une semaine, recours aux produits laitiers en provenance d'autres wilayas, notamment de Bordj Menail et de Médéa. On ne peut pas dire que lait est disponibltout de même loin de la crise qu'a connu la région suite à la première grève qui a affecté l'entreprise de production de lait la plus importante de la région il y a quelques mois. Cette fois-ci des dispositions semblent avoir été prises par les responsables permettant ainsi aux familles de rester à l'abri d'une panne de lait surtout avec la période de l'Aïd où la consommation de lait connait une hausse sensible, notamment à cause des visites familiales. Il va sans dire que le fait que le lait ne soit plus une denrée rare se répercutera sur le mouvement de grève que connait l'ex-Onalait à partir du moment où le débrayage en question n'aura pratiquement aucune répercussion sur la vie quotidienne des citoyens. Ce qui ne fera que compliquer les choses aussi bien pour les travailleurs de la laiterie de Drâa Ben-Khedda que pour sa direction. Désormais, le conflit en question qui ne cesse que de se corser, sera vécu pratiquement à huis clos. D'ailleurs, ayant sans doute pris conscience de cet état des lieux, les travailleurs ont décidé de «délocaliser» leur action de protestation en quittant momentanément Drâa Ben-Khedda et en se rendant au chef-lieu de la wilaya pour faire plus de bruit. Ils ont ainsi tenu un sit-in devant le siège de la wilaya afin d'interpeller carrément le premier responsable de wilaya, Abdelkader Bouazghi pour qu'il intervienne et débloque la situation. Une commission d'enquête de l'IGF (Inspection générale de finances) sera dépêchée sur les lieux afin de faire toute la lumière et lever les zones d'ombre entourant la gestion de cette entreprise, l'une des plus importantes de la wilaya de Tizi-Ouzou. Irrégularité ou pas, mauvaise gestion ou pas, la commission d'enquête de l'IGF apportera les réponses nécessaires. On peut dire que la crise de lait en sachet vient d'être surmontée mais au prix d'une augmentation de 5 dinars sur le prix d'un sachet de lait. Toutefois, il n'y a pas vraiment de grande pression sur l'achat de ce produit de première engendrée par la paralysie totale de l'ex-Onalait de Drâa Ben-Khedda. Les familles ont donc, depuis une semaine, recours aux produits laitiers en provenance d'autres wilayas, notamment de Bordj Menail et de Médéa. On ne peut pas dire que lait est disponibltout de même loin de la crise qu'a connu la région suite à la première grève qui a affecté l'entreprise de production de lait la plus importante de la région il y a quelques mois. Cette fois-ci des dispositions semblent avoir été prises par les responsables permettant ainsi aux familles de rester à l'abri d'une panne de lait surtout avec la période de l'Aïd où la consommation de lait connait une hausse sensible, notamment à cause des visites familiales. Il va sans dire que le fait que le lait ne soit plus une denrée rare se répercutera sur le mouvement de grève que connait l'ex-Onalait à partir du moment où le débrayage en question n'aura pratiquement aucune répercussion sur la vie quotidienne des citoyens. Ce qui ne fera que compliquer les choses aussi bien pour les travailleurs de la laiterie de Drâa Ben-Khedda que pour sa direction. Désormais, le conflit en question qui ne cesse que de se corser, sera vécu pratiquement à huis clos. D'ailleurs, ayant sans doute pris conscience de cet état des lieux, les travailleurs ont décidé de «délocaliser» leur action de protestation en quittant momentanément Drâa Ben-Khedda et en se rendant au chef-lieu de la wilaya pour faire plus de bruit. Ils ont ainsi tenu un sit-in devant le siège de la wilaya afin d'interpeller carrément le premier responsable de wilaya, Abdelkader Bouazghi pour qu'il intervienne et débloque la situation. Une commission d'enquête de l'IGF (Inspection générale de finances) sera dépêchée sur les lieux afin de faire toute la lumière et lever les zones d'ombre entourant la gestion de cette entreprise, l'une des plus importantes de la wilaya de Tizi-Ouzou. Irrégularité ou pas, mauvaise gestion ou pas, la commission d'enquête de l'IGF apportera les réponses nécessaires.