Le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil Al-Arabi, a annoncé, hier , lors d'une visite à Tripoli, l'étude d'une "mise en place d'un mécanisme pour protéger les civils en Syrie". "Ce qui est demandé maintenant à la Ligue arabe, c'est de mettre en place un mécanisme pour protéger les civils", a ajouté, sans plus de précisions, M. Arabi au cours d'une conférence de presse commune avec le chef du Conseil national de transition libyen, Moustapha Abdeljalil. Cette initiative coïncide avec la décision, samedi, de la Ligue arabe de suspendre la participation de la Syrie à ses réunions, afin de l'inciter à appliquer un plan de sortie de crise, qui prévoit en premier lieu la fin des violences. Appelant de nouveau le régime syrien à appliquer le plan arabe, M. Arabi a rappelé les mesures adoptées par la Ligue concernant le conflit en Libye, qu'il a qualifiées de "tournant historique". A propos du recours à l'ONU, M. Arabi a expliqué que l'organisation panarabe avait été obligée de demander une protection internationale pour la population civile en Libye car elle n'avait pas elle-même les moyens de le faire toute seule. M. Arabi a, ainsi, estimé qu'"il n'y avait aucun mal à aller au Conseil de sécurité, car c'est la seule organisation à même d'imposer" de telles mesures. Le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil Al-Arabi, a annoncé, hier , lors d'une visite à Tripoli, l'étude d'une "mise en place d'un mécanisme pour protéger les civils en Syrie". "Ce qui est demandé maintenant à la Ligue arabe, c'est de mettre en place un mécanisme pour protéger les civils", a ajouté, sans plus de précisions, M. Arabi au cours d'une conférence de presse commune avec le chef du Conseil national de transition libyen, Moustapha Abdeljalil. Cette initiative coïncide avec la décision, samedi, de la Ligue arabe de suspendre la participation de la Syrie à ses réunions, afin de l'inciter à appliquer un plan de sortie de crise, qui prévoit en premier lieu la fin des violences. Appelant de nouveau le régime syrien à appliquer le plan arabe, M. Arabi a rappelé les mesures adoptées par la Ligue concernant le conflit en Libye, qu'il a qualifiées de "tournant historique". A propos du recours à l'ONU, M. Arabi a expliqué que l'organisation panarabe avait été obligée de demander une protection internationale pour la population civile en Libye car elle n'avait pas elle-même les moyens de le faire toute seule. M. Arabi a, ainsi, estimé qu'"il n'y avait aucun mal à aller au Conseil de sécurité, car c'est la seule organisation à même d'imposer" de telles mesures.