La France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne comptent présenter une résolution à l'Assemblée générale de l'Onu condamnant la répression des manifestations en Syrie, assurant avoir le soutien clé des pays arabes. La France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne comptent présenter une résolution à l'Assemblée générale de l'Onu condamnant la répression des manifestations en Syrie, assurant avoir le soutien clé des pays arabes. Les trois pays européens comptent présenter la résolution au Comité des droits de l'homme de l'Assemblée générale pour un vote qui devrait intervenir mardi, ont indiqué des responsables allemands rapporte le quotidien Le Monde. Les ambassadeurs britannique, français et allemand ont rencontré leurs homologues arabes à l'Onu mercredi après que la Ligue arabe eut donné trois jours au président Assad pour mettre fin à la violente répression dans son pays, a indiqué un porte-parole de la mission allemande. Le succès d'une telle démarche pourrait augmenter la pression sur le Conseil de sécurité de l'Onu à propos de la crise en Syrie. La Russie et la Chine ont, le mois dernier, mis leur veto à une résolution condamnant les exactions commises par les autorités du président Bachar Al-Assad qui, selon l'Onu, ont fait au moins.3 500 morts. Bachar Al-Assad doit quitter rapidement le pouvoir pour éviter à la Syrie de sombrer dans la guerre civile, mais doit être autorisé à rester dans son pays parce qu'il n'est pas responsable des troubles, a estimé son oncle Rifaat, interrogé jeudi sur l'antenne de LCI. «Je voudrais qu'il se convainque lui-même de partir du pouvoir», a-t-il déclaré. L'ancien militaire tenu pour responsable de la répression du soulèvement islamiste de 1982 qui fit des milliers de morts a jugé la situation «différente en Syrie car le sang versé ne l'a pas été d'un seul côté», refusant le parallèle avec la Libye et le sort réservé à Mouammar Kadhafi. Rifaat Al-Assad, qui a rompu avec le régime baasiste dans les années 1980, vit aujourd'hui entre Paris, Londres et Madrid. La Ligue arabe donne un délai de trois jours à la Syrie pour accepter son plan La Ligue arabe a donné trois jours à la Syrie, à compter de mercredi 16 novembre, pour qu'elle accepte de mettrefin à la répression de la contestation contre le président Bachar Al-Assadet autorise l'envoi d'observateurs sur son territoire. «Si Damas n'accepte pas de coopérer avec la Ligue, des sanctions économiques seront adoptées», a déclaré le Premier ministre qatari, Hamad Bin Djassim Al-Sani, lors d'une conférence de presse à l'issue de la réunion de l'organisation panarabe à Rabat. «Nous ne voulons pas parler d'une tentative de la dernière chance», parce que je ne veux pas que cela ressemble à un avertissement, a expliqué Hamad Bin Djassim Al-Sani. «Ce que je peux dire, c'est que nous sommes proches de la fin concernant les efforts de la Ligue», a-t-il ajouté. La Ligue arabe a convenu de l'envoi de cinq cents membres d'organisations arabes des droits de l'hommeet de médias et d'observateurs militaires en Syrie, d'après un responsable de l'organisation. Mais, selon son secrétaire général, Nabil Al-Arabi, ces observateurs n'y seront dépêchés qu'une fois signé un protocole d'entente clair avec le gouvernement syrien,et après l'arrêt de la répression. Les trois pays européens comptent présenter la résolution au Comité des droits de l'homme de l'Assemblée générale pour un vote qui devrait intervenir mardi, ont indiqué des responsables allemands rapporte le quotidien Le Monde. Les ambassadeurs britannique, français et allemand ont rencontré leurs homologues arabes à l'Onu mercredi après que la Ligue arabe eut donné trois jours au président Assad pour mettre fin à la violente répression dans son pays, a indiqué un porte-parole de la mission allemande. Le succès d'une telle démarche pourrait augmenter la pression sur le Conseil de sécurité de l'Onu à propos de la crise en Syrie. La Russie et la Chine ont, le mois dernier, mis leur veto à une résolution condamnant les exactions commises par les autorités du président Bachar Al-Assad qui, selon l'Onu, ont fait au moins.3 500 morts. Bachar Al-Assad doit quitter rapidement le pouvoir pour éviter à la Syrie de sombrer dans la guerre civile, mais doit être autorisé à rester dans son pays parce qu'il n'est pas responsable des troubles, a estimé son oncle Rifaat, interrogé jeudi sur l'antenne de LCI. «Je voudrais qu'il se convainque lui-même de partir du pouvoir», a-t-il déclaré. L'ancien militaire tenu pour responsable de la répression du soulèvement islamiste de 1982 qui fit des milliers de morts a jugé la situation «différente en Syrie car le sang versé ne l'a pas été d'un seul côté», refusant le parallèle avec la Libye et le sort réservé à Mouammar Kadhafi. Rifaat Al-Assad, qui a rompu avec le régime baasiste dans les années 1980, vit aujourd'hui entre Paris, Londres et Madrid. La Ligue arabe donne un délai de trois jours à la Syrie pour accepter son plan La Ligue arabe a donné trois jours à la Syrie, à compter de mercredi 16 novembre, pour qu'elle accepte de mettrefin à la répression de la contestation contre le président Bachar Al-Assadet autorise l'envoi d'observateurs sur son territoire. «Si Damas n'accepte pas de coopérer avec la Ligue, des sanctions économiques seront adoptées», a déclaré le Premier ministre qatari, Hamad Bin Djassim Al-Sani, lors d'une conférence de presse à l'issue de la réunion de l'organisation panarabe à Rabat. «Nous ne voulons pas parler d'une tentative de la dernière chance», parce que je ne veux pas que cela ressemble à un avertissement, a expliqué Hamad Bin Djassim Al-Sani. «Ce que je peux dire, c'est que nous sommes proches de la fin concernant les efforts de la Ligue», a-t-il ajouté. La Ligue arabe a convenu de l'envoi de cinq cents membres d'organisations arabes des droits de l'hommeet de médias et d'observateurs militaires en Syrie, d'après un responsable de l'organisation. Mais, selon son secrétaire général, Nabil Al-Arabi, ces observateurs n'y seront dépêchés qu'une fois signé un protocole d'entente clair avec le gouvernement syrien,et après l'arrêt de la répression.