Le secteur de l'énergie est susceptible de jouer un rôle primordial dans le renforcement des relations économiques entre le Niger et l'Algérie, a indiqué le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel. Il a affirmé dans ce sens que "le secteur de l'énergie pourrait jouer un rôle primordial dans le renforcement des relations économiques et commerciales et devenir un vecteur dynamique dans notre partenariat". Messahel a cité, à ce sujet, la présence du groupe Sonatrach dans le périmètre de recherche de Kafra au nord du Niger. Il a, par ailleurs, estimé que les conditions sont réunies, aujourd'hui, de part et d'autre, pour raffermir davantage les liens de coopération entre les deux pays. C'est ainsi qu'il a considéré que "la réalisation du tronçon restant de la route transsaharienne en territoire nigérien permettra de donner, non seulement, aux régions frontalières, mais également aux deux pays et par delà à la sous-région, les atouts nécessaires à l'intégration économique à laquelle aspirent les deux peuples". Abdelkader Messahel a noté, dans le même ordre d'idées, "les avancées de la coopération entre les pays du champ (Algérie, Mauritanie, Mali, Niger) en matière de lutte contre le terrorisme et les fléaux annexes". Le ministre nigérien a considéré, pour sa part, que la coopération algéro-nigérienne est "l'une des plus dynamiques que connaisse le Niger sur le plan bilatéral". Cette coopération, a-t-il estimé, tire ses sources des liens historiques et des valeurs et principes partagés de la foi commune dans l'Islam et dans l'unité du continent africain. Le ministre nigérien a, cependant, souligné que ces efforts de développement dans la région "seront anéanties" si les pays du champ ne prennent pas garde des menaces graves qui pèsent sur la région sahélo-saharienne, en raison, a-t-il expliqué, de la circulation anarchique des armes de tout calibre, le trafic en tout genre, le banditisme transfrontalier et le terrorisme. C'est dans ce contexte qu'il a salué l'initiative de l'Algérie de créer un cadre de concertation permanente entre les pays du champ qui permettra, a-t-il estimé, "de surmonter ce fléau qui connaît un développement inquiétant avec la récente crise libyenne". Pour Bazoum, l'existence des mécanismes "dynamiques" de suivi et d'évaluation de la coopération, "assurent" et "réconfortent" les responsables des deux pays dans leur conviction que les relations algéro-nigériennes "sont excellentes et ont de bonnes perspectives devant elles". Le secteur de l'énergie est susceptible de jouer un rôle primordial dans le renforcement des relations économiques entre le Niger et l'Algérie, a indiqué le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel. Il a affirmé dans ce sens que "le secteur de l'énergie pourrait jouer un rôle primordial dans le renforcement des relations économiques et commerciales et devenir un vecteur dynamique dans notre partenariat". Messahel a cité, à ce sujet, la présence du groupe Sonatrach dans le périmètre de recherche de Kafra au nord du Niger. Il a, par ailleurs, estimé que les conditions sont réunies, aujourd'hui, de part et d'autre, pour raffermir davantage les liens de coopération entre les deux pays. C'est ainsi qu'il a considéré que "la réalisation du tronçon restant de la route transsaharienne en territoire nigérien permettra de donner, non seulement, aux régions frontalières, mais également aux deux pays et par delà à la sous-région, les atouts nécessaires à l'intégration économique à laquelle aspirent les deux peuples". Abdelkader Messahel a noté, dans le même ordre d'idées, "les avancées de la coopération entre les pays du champ (Algérie, Mauritanie, Mali, Niger) en matière de lutte contre le terrorisme et les fléaux annexes". Le ministre nigérien a considéré, pour sa part, que la coopération algéro-nigérienne est "l'une des plus dynamiques que connaisse le Niger sur le plan bilatéral". Cette coopération, a-t-il estimé, tire ses sources des liens historiques et des valeurs et principes partagés de la foi commune dans l'Islam et dans l'unité du continent africain. Le ministre nigérien a, cependant, souligné que ces efforts de développement dans la région "seront anéanties" si les pays du champ ne prennent pas garde des menaces graves qui pèsent sur la région sahélo-saharienne, en raison, a-t-il expliqué, de la circulation anarchique des armes de tout calibre, le trafic en tout genre, le banditisme transfrontalier et le terrorisme. C'est dans ce contexte qu'il a salué l'initiative de l'Algérie de créer un cadre de concertation permanente entre les pays du champ qui permettra, a-t-il estimé, "de surmonter ce fléau qui connaît un développement inquiétant avec la récente crise libyenne". Pour Bazoum, l'existence des mécanismes "dynamiques" de suivi et d'évaluation de la coopération, "assurent" et "réconfortent" les responsables des deux pays dans leur conviction que les relations algéro-nigériennes "sont excellentes et ont de bonnes perspectives devant elles".