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Mourad Amiraoui, passionné de la photo d'art
Mila, 1er salon de la photographie
Publié dans Le Midi Libre le 27 - 11 - 2011

Mourad Amiraoui, âgé aujourd'hui de près de 60 ans,est resté "flanqué", 40 ans durant, de son appareil photo. Il assure même ne plus se souvenir de la période où il pouvait se balader sans son capteur d'images.
Pour ce natif de la commune de Sigus, dans la wilaya d'Oum E- Bouaghi, l'histoire d'amour avec la photographie et la découverte du plaisir de fixer pour la postérité des moments, des paysages ou autres visages et scènes qui interpellent son regard de lynx, a en effet commencé dès 1968 alors qu(il venait à peine de franchir le cap de l'adolescence.
Le patrimoine sous toutes ses formes et la nature sont ses thèmes favoris, comme l'illustrent quelques uns de ses "tableaux" avec lesquels il participe
au 1er Salon national de la photographie qui se tient depuis mardi dernier à la maison de la culture Moubarek-El-Mili de Mila. Le visiteur de cette manifestation qui s'est poursuivie jusqu'à jeudi, pouvait en effet admirer à loisir ses paysages champêtres, son "Berger et ses moutons" ou encore les scènes de vieilles femmes chaouies transportant des fagots de bois, des portraits types de visages de cette région d'Algérie et de belles photographies de bijoux anciens qui vont du Khelkhal (anneaux du pieds), aux bracelets, m'charef (boucles d'oreilles) ou l'Abzim (fibule) qui faisaient partie de l'apparat de fêtes et même du quotidien de la femme algérienne. Après un long parcours où sa sensibilité d'artiste n'a fait que mûrir et sa maîtrise technique se parfaire, Mourad Amiraoui passa à l'utilisation d'appareils des plus sophistiqués, permettant la réalisation de photographies d'art de grande qualité.
En ces temps où la photographie est devenue un geste banal et de tous les jours, grâce notamment au téléphone portable, la photographie d'art demeure toujours un domaine qui n'est pas à la portée du premier venu, car il faut pour cela avoir l'âme d'un artiste, disposer d'un matériel sophistiqué et maîtriser les techniques, de plus en plus complexes de la photographie, estime Mourad Amiraoui.
Ce photographe, un habitué des manifestations dédiées à la photographie, a participé à quelque 25 salons dont la dernier en date est le 4e salon de l'automne organisé à Alger du 27 octobre 2011 au 31 janvier 2012, à l'initiative du ministère de la Culture.
Aujourd'hui, l'un de ses enfants, étudiant à l'école des Beaux-Arts de Constantine, compte bien reproduire sous forme de tableaux de peinture quelques unes des úuvres les plus emblématiques de son père, afin, dit-il, de leur donner une seconde vie et un nouveau souffle.
Mourad Amiraoui, âgé aujourd'hui de près de 60 ans,est resté "flanqué", 40 ans durant, de son appareil photo. Il assure même ne plus se souvenir de la période où il pouvait se balader sans son capteur d'images.
Pour ce natif de la commune de Sigus, dans la wilaya d'Oum E- Bouaghi, l'histoire d'amour avec la photographie et la découverte du plaisir de fixer pour la postérité des moments, des paysages ou autres visages et scènes qui interpellent son regard de lynx, a en effet commencé dès 1968 alors qu(il venait à peine de franchir le cap de l'adolescence.
Le patrimoine sous toutes ses formes et la nature sont ses thèmes favoris, comme l'illustrent quelques uns de ses "tableaux" avec lesquels il participe
au 1er Salon national de la photographie qui se tient depuis mardi dernier à la maison de la culture Moubarek-El-Mili de Mila. Le visiteur de cette manifestation qui s'est poursuivie jusqu'à jeudi, pouvait en effet admirer à loisir ses paysages champêtres, son "Berger et ses moutons" ou encore les scènes de vieilles femmes chaouies transportant des fagots de bois, des portraits types de visages de cette région d'Algérie et de belles photographies de bijoux anciens qui vont du Khelkhal (anneaux du pieds), aux bracelets, m'charef (boucles d'oreilles) ou l'Abzim (fibule) qui faisaient partie de l'apparat de fêtes et même du quotidien de la femme algérienne. Après un long parcours où sa sensibilité d'artiste n'a fait que mûrir et sa maîtrise technique se parfaire, Mourad Amiraoui passa à l'utilisation d'appareils des plus sophistiqués, permettant la réalisation de photographies d'art de grande qualité.
En ces temps où la photographie est devenue un geste banal et de tous les jours, grâce notamment au téléphone portable, la photographie d'art demeure toujours un domaine qui n'est pas à la portée du premier venu, car il faut pour cela avoir l'âme d'un artiste, disposer d'un matériel sophistiqué et maîtriser les techniques, de plus en plus complexes de la photographie, estime Mourad Amiraoui.
Ce photographe, un habitué des manifestations dédiées à la photographie, a participé à quelque 25 salons dont la dernier en date est le 4e salon de l'automne organisé à Alger du 27 octobre 2011 au 31 janvier 2012, à l'initiative du ministère de la Culture.
Aujourd'hui, l'un de ses enfants, étudiant à l'école des Beaux-Arts de Constantine, compte bien reproduire sous forme de tableaux de peinture quelques unes des úuvres les plus emblématiques de son père, afin, dit-il, de leur donner une seconde vie et un nouveau souffle.


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