10 décembre, journée des droits de l'Homme. 1950, l'Assemblée générale de l'Onu adopte la Déclaration universelle des droits de l'Homme. Un texte sans portée juridique pour sanctionner les écarts. Un idéal commun ô combien difficile à atteindre par tous les peuples. Le respect de la liberté est encore trop de fois bafoué. Dans son article 5, la Déclaration stipule que nul ne doit être soumis à la torture, à des peines ou traitements cruels inhumains ou dégradants. Les prisonniers irakiens du complexe pénitentiaire d'Abu Ghraib les ont subis à leurs dépens, ceux de Guantanamo aussi par ceux-là mêmes qui n'hésitent pas à manifester haut et fort leur contestation véhémente. C'est la politique du « faites ce que je vous dis pas ce que je fais » eux qui ont été à l'origine de cette belle Déclaration universelle. Dans ses articles 18 et 19, il est question de la liberté de pensée, de conscience, de religion et de liberté d'opinion et d'expression. La liberté de pensée, la liberté de dire ne sont pas l'apanage de beaucoup de pays qui n'hésitent pas à étouffer les voix de ceux qui osent dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Quant au salaire égal à travail égal sans discrimination certains pays, qui se disent des droits de l'Homme, récolteraient un zéro sur ce chapitre. Les droits de l'Homme, même en 2011 reste une utopie. Quand la peine de mort de par le monde sera abolie, quand les réfugiés seront traités comme des êtres à part entière dans la dignité et la valeur de la personne humaine, quand la torture et la barbarie seront bannies par tous, quand les Etats membres s'engageront solennellement à respecter le respect universel des droits de l'Homme ainsi que les libertés fondamentales, la mission de l'assemblée générale de l'Onu aura atteint son objectif, celui de voir réaliser par tous les peuples l'idéal commun de liberté ; de respect mutuel. L'espoir est permis même s'il ne faut pas rêver. 10 décembre, journée des droits de l'Homme. 1950, l'Assemblée générale de l'Onu adopte la Déclaration universelle des droits de l'Homme. Un texte sans portée juridique pour sanctionner les écarts. Un idéal commun ô combien difficile à atteindre par tous les peuples. Le respect de la liberté est encore trop de fois bafoué. Dans son article 5, la Déclaration stipule que nul ne doit être soumis à la torture, à des peines ou traitements cruels inhumains ou dégradants. Les prisonniers irakiens du complexe pénitentiaire d'Abu Ghraib les ont subis à leurs dépens, ceux de Guantanamo aussi par ceux-là mêmes qui n'hésitent pas à manifester haut et fort leur contestation véhémente. C'est la politique du « faites ce que je vous dis pas ce que je fais » eux qui ont été à l'origine de cette belle Déclaration universelle. Dans ses articles 18 et 19, il est question de la liberté de pensée, de conscience, de religion et de liberté d'opinion et d'expression. La liberté de pensée, la liberté de dire ne sont pas l'apanage de beaucoup de pays qui n'hésitent pas à étouffer les voix de ceux qui osent dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Quant au salaire égal à travail égal sans discrimination certains pays, qui se disent des droits de l'Homme, récolteraient un zéro sur ce chapitre. Les droits de l'Homme, même en 2011 reste une utopie. Quand la peine de mort de par le monde sera abolie, quand les réfugiés seront traités comme des êtres à part entière dans la dignité et la valeur de la personne humaine, quand la torture et la barbarie seront bannies par tous, quand les Etats membres s'engageront solennellement à respecter le respect universel des droits de l'Homme ainsi que les libertés fondamentales, la mission de l'assemblée générale de l'Onu aura atteint son objectif, celui de voir réaliser par tous les peuples l'idéal commun de liberté ; de respect mutuel. L'espoir est permis même s'il ne faut pas rêver.