Les prix du pétrole progressaient nettement mardi en fin d'échanges européens, portés par un regain de tensions géopolitiques autour de l'Iran et à la veille d'une réunion de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier s'échangeait à 109,45 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 2,19 dollars par rapport à la veille. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance prenait, quant à lui, 2,30 dollars à 100,07 dollars sur le New York Mercantile Exchange. Les cours du pétrole étaient portés par un regain d'inquiétude sur l'approvisionnement, notait un analyste, gagnant jusqu'à plus de 3,80 dollars à Londres et près de 3,50 dollars à New York alors que se propageaient des rumeurs sur une fermeture du détroit d'Hormuz pour des exercices militaires par l'Iran, qui contrôle ce passage stratégique pour les navires transportant du pétrole. Les investisseurs guettaient également la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed) qui pourrait annoncer mardi de nouvelles mesures de soutien à la reprise de l'économie américaine. De telles mesures, qui se traduisent par des injections de liquidités dans le système monétaire, peuvent stimuler les achats américains d'or noir autrement pénalisés par une demande toujours terne. Mais les regards des observateurs seront principalement tournés mercredi vers Vienne, où se réuniront les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Les prix du pétrole progressaient nettement mardi en fin d'échanges européens, portés par un regain de tensions géopolitiques autour de l'Iran et à la veille d'une réunion de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier s'échangeait à 109,45 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 2,19 dollars par rapport à la veille. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance prenait, quant à lui, 2,30 dollars à 100,07 dollars sur le New York Mercantile Exchange. Les cours du pétrole étaient portés par un regain d'inquiétude sur l'approvisionnement, notait un analyste, gagnant jusqu'à plus de 3,80 dollars à Londres et près de 3,50 dollars à New York alors que se propageaient des rumeurs sur une fermeture du détroit d'Hormuz pour des exercices militaires par l'Iran, qui contrôle ce passage stratégique pour les navires transportant du pétrole. Les investisseurs guettaient également la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed) qui pourrait annoncer mardi de nouvelles mesures de soutien à la reprise de l'économie américaine. De telles mesures, qui se traduisent par des injections de liquidités dans le système monétaire, peuvent stimuler les achats américains d'or noir autrement pénalisés par une demande toujours terne. Mais les regards des observateurs seront principalement tournés mercredi vers Vienne, où se réuniront les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).