Le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi, a annoncé, hier, la suspension par son organisation de la mission d'observation en Syrie, en raison de la "recrudescence des violences" au cours des derniers jours dans ce pays. La "décision de suspendre la mission des observateurs a été prise après une série de consultations avec les ministres arabes des Affaires étrangères en raison de la recrudescence des violences dont sont victimes les civils innocents et après que le gouvernement syrien eut choisi l'option de l'escalade ce qui a fait augmenter le nombre de victimes", a-t-il dit dans un communiqué. Le chef de la mission d'observation de la Ligue arabe en Syrie, le général soudanais Mohammed Ahmed Moustapha al-Dabi, avait déclaré vendredi que les violences avaient augmenté "de manière importante" depuis mardi, en particulier à Homs, Hama et Idleb, dans le nord et le nord-ouest du pays. «La situation actuelle, en terme de violences, n'aide pas à préparer une atmosphère (... permettant) d'obtenir que toutes les parties viennent s'asseoir à la table des négociations", principal objectif du plan arabe de sortie de crise, a-t-il ajouté dans un communiqué. Depuis mardi, les violences en Syrie ont fait au moins 193 morts, en grande majorité des civils, selon un décompte des médias basé sur des informations officielles et des groupes de défense des droits de l'Homme. Le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi, a annoncé, hier, la suspension par son organisation de la mission d'observation en Syrie, en raison de la "recrudescence des violences" au cours des derniers jours dans ce pays. La "décision de suspendre la mission des observateurs a été prise après une série de consultations avec les ministres arabes des Affaires étrangères en raison de la recrudescence des violences dont sont victimes les civils innocents et après que le gouvernement syrien eut choisi l'option de l'escalade ce qui a fait augmenter le nombre de victimes", a-t-il dit dans un communiqué. Le chef de la mission d'observation de la Ligue arabe en Syrie, le général soudanais Mohammed Ahmed Moustapha al-Dabi, avait déclaré vendredi que les violences avaient augmenté "de manière importante" depuis mardi, en particulier à Homs, Hama et Idleb, dans le nord et le nord-ouest du pays. «La situation actuelle, en terme de violences, n'aide pas à préparer une atmosphère (... permettant) d'obtenir que toutes les parties viennent s'asseoir à la table des négociations", principal objectif du plan arabe de sortie de crise, a-t-il ajouté dans un communiqué. Depuis mardi, les violences en Syrie ont fait au moins 193 morts, en grande majorité des civils, selon un décompte des médias basé sur des informations officielles et des groupes de défense des droits de l'Homme.