Le ministère syrien des Affaires étrangères a «catégoriquement» rejeté mardi les accusations de «crimes contre l'humanité» lancées la veille à l'ONU, au moment où la répression s'intensifiait sur le terrain, tuant 18 civils à travers le pays. L'Assemblée générale des Nations unies doit se prononcer aujourd'hui à 20h00 GMT sur un projet de résolution qui condamne la répression, quelques jours après le blocage d'un texte similaire au Conseil de sécurité. L'adoption de cette résolution, soutenue notamment par de nombreux pays occidentaux et arabes, est très probable mais elle aura une portée essentiellement symbolique. Damas a accusé le Haut commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme d'être «manipulé par certains pays qui veulent nuire à la Syrie et qui ignorent les crimes terroristes commis par les groupes armés». Le ministère syrien des Affaires étrangères a «catégoriquement» rejeté mardi les accusations de «crimes contre l'humanité» lancées la veille à l'ONU, au moment où la répression s'intensifiait sur le terrain, tuant 18 civils à travers le pays. L'Assemblée générale des Nations unies doit se prononcer aujourd'hui à 20h00 GMT sur un projet de résolution qui condamne la répression, quelques jours après le blocage d'un texte similaire au Conseil de sécurité. L'adoption de cette résolution, soutenue notamment par de nombreux pays occidentaux et arabes, est très probable mais elle aura une portée essentiellement symbolique. Damas a accusé le Haut commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme d'être «manipulé par certains pays qui veulent nuire à la Syrie et qui ignorent les crimes terroristes commis par les groupes armés».