Ces rencontres cinématographiques sont une opportunité pour permettre, entre autres, aux cinéastes béjaouis d'entreprendre des échanges et de faire évoluer leur travail. De ce fait l'objectif de ces journées cinématographique est d'établir une plateforme de rencontres. Ces rencontres cinématographiques sont une opportunité pour permettre, entre autres, aux cinéastes béjaouis d'entreprendre des échanges et de faire évoluer leur travail. De ce fait l'objectif de ces journées cinématographique est d'établir une plateforme de rencontres. L'association Project'heurts de Béjaïa a organisé, avant-hier mardi, une conférence de presse à la Cinémathèque d'Alger pour parler de ses Rencontres cinématographiques annuelles. Cette année verra la tenue de la dixième édition du 9 au 15 juin prochain, expliquent les conférenciers, en l'occurrence Abdenour Hochiche, président de l'association, et Samir Ardjouni directeur artistique. La manifestation sera marquée par la présence des cinéastes de plusieurs pays, aussi bien africain qu'arabes ou européens. En effet, ces journées cinématographiques auront lieu effectivement du 9 au 15 juin prochain à Béjaïa, ont pour objectif «de montrer des films qui interpellent et questionnent la société». D'ici là, l'association, Project'heurts, présidé par son directeur, Abdenour Hochiche, a entrepris depuis novembre 2011, un programme de travail sur de nouvelles productions cinématographiques pour la prochaine manifestation. À noter que « la programmation est basée sur des films qui questionnent la société » a assuré Hochiche. Dans ce cadre, l'association Project'heurt a démarché et étudié entre 100 et 150 films, toutes catégories confondues. Le choix s'est porté sur l'importance du thème abordé, à ce titre Samir Ardjouni a éclairé que « Plusieurs sujets ont été adaptés par les cinéastes dont on a reçu des films des derniers événements abordant la révolution arabe. Alors on a établi une sélection par choix, c'est dire la subjectivité du thème apporté par le cinéaste ». La manifestation cinématographique de cette année sera marquée d'un programme diversifié comptant des films court métrage, long métrage et film-documentaire. La sélection de films sera rendue publique prochainement pour animer la manifestation dont Hochiche dira : «On compte présenter, à cette occasion, entre 50 et 60 films en présence de réalisateurs». Il reste à dire que ces rencontres cinématographiques sont une opportunité pour, et surtout, les cinéastes béjaouis afin d'entreprendre des échanges et de faire évoluer leur travail. Donc, L'objectif de ces journées cinématographique est d'établir « une plateforme de rencontres » et de mettre un écho sur les produits des réalisateurs béjaouis et d'autres venus de l'intérieur et l'extérieur de pays. Cette manifestation sera une découverte pour les cinéphiles qui découvriront des films inédits. Par ailleurs, parlant sur le plan de financement de la prochaine édition, le premier responsable de l'association a avoué « il me semble beaucoup que c'est un problème de fan, mais il faut rebattre. Nous n'avons pas un plan de financement exceptionnel. On a une politique basée sur la fonction de nous moyen et de bien les gérer. Dont la subvention de la localité de béjaia est toujours présente. Plusieurs associations sont bloquées, question des moyens financiers » est intervenu Samir Ardjouni. À travers ces rencontres cinématographiques dont ce sera la dixième édition, Hochiche a assuré : « Nous revendiquons une place pour le cinéma en Algérie ». Les rencontres cinématographiques de Béjaïa sont nées depuis juin 2003, date de la première édition. Ces rencontres sont, avant tout, un moment de débat, de formation et d'échanges autour du cinéma. Les Rencontres cinématographiques de Béjaïa sont une vitrine du jeune cinéma algérien. Les deux équipes tentent, à travers une programmation sous le signe de la diversité des genres (courts, longs, fictions, documentaire...), de donner à voir la richesse du regard que des jeunes cinéastes portent sur leurs pays respectifs et sur le monde. L'association Project'heurts de Béjaïa a organisé, avant-hier mardi, une conférence de presse à la Cinémathèque d'Alger pour parler de ses Rencontres cinématographiques annuelles. Cette année verra la tenue de la dixième édition du 9 au 15 juin prochain, expliquent les conférenciers, en l'occurrence Abdenour Hochiche, président de l'association, et Samir Ardjouni directeur artistique. La manifestation sera marquée par la présence des cinéastes de plusieurs pays, aussi bien africain qu'arabes ou européens. En effet, ces journées cinématographiques auront lieu effectivement du 9 au 15 juin prochain à Béjaïa, ont pour objectif «de montrer des films qui interpellent et questionnent la société». D'ici là, l'association, Project'heurts, présidé par son directeur, Abdenour Hochiche, a entrepris depuis novembre 2011, un programme de travail sur de nouvelles productions cinématographiques pour la prochaine manifestation. À noter que « la programmation est basée sur des films qui questionnent la société » a assuré Hochiche. Dans ce cadre, l'association Project'heurt a démarché et étudié entre 100 et 150 films, toutes catégories confondues. Le choix s'est porté sur l'importance du thème abordé, à ce titre Samir Ardjouni a éclairé que « Plusieurs sujets ont été adaptés par les cinéastes dont on a reçu des films des derniers événements abordant la révolution arabe. Alors on a établi une sélection par choix, c'est dire la subjectivité du thème apporté par le cinéaste ». La manifestation cinématographique de cette année sera marquée d'un programme diversifié comptant des films court métrage, long métrage et film-documentaire. La sélection de films sera rendue publique prochainement pour animer la manifestation dont Hochiche dira : «On compte présenter, à cette occasion, entre 50 et 60 films en présence de réalisateurs». Il reste à dire que ces rencontres cinématographiques sont une opportunité pour, et surtout, les cinéastes béjaouis afin d'entreprendre des échanges et de faire évoluer leur travail. Donc, L'objectif de ces journées cinématographique est d'établir « une plateforme de rencontres » et de mettre un écho sur les produits des réalisateurs béjaouis et d'autres venus de l'intérieur et l'extérieur de pays. Cette manifestation sera une découverte pour les cinéphiles qui découvriront des films inédits. Par ailleurs, parlant sur le plan de financement de la prochaine édition, le premier responsable de l'association a avoué « il me semble beaucoup que c'est un problème de fan, mais il faut rebattre. Nous n'avons pas un plan de financement exceptionnel. On a une politique basée sur la fonction de nous moyen et de bien les gérer. Dont la subvention de la localité de béjaia est toujours présente. Plusieurs associations sont bloquées, question des moyens financiers » est intervenu Samir Ardjouni. À travers ces rencontres cinématographiques dont ce sera la dixième édition, Hochiche a assuré : « Nous revendiquons une place pour le cinéma en Algérie ». Les rencontres cinématographiques de Béjaïa sont nées depuis juin 2003, date de la première édition. Ces rencontres sont, avant tout, un moment de débat, de formation et d'échanges autour du cinéma. Les Rencontres cinématographiques de Béjaïa sont une vitrine du jeune cinéma algérien. Les deux équipes tentent, à travers une programmation sous le signe de la diversité des genres (courts, longs, fictions, documentaire...), de donner à voir la richesse du regard que des jeunes cinéastes portent sur leurs pays respectifs et sur le monde.