Moscou soutient la nomination de l'ex-secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan ,comme émissaire spécial des Nations unies et de la Ligue arabe sur la crise en Syrie, et est prête à une «coopération étroite» avec lui, a indiqué vendredi le ministère russe des Affaires étrangères. Moscou soutient la nomination de l'ex-secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan ,comme émissaire spécial des Nations unies et de la Ligue arabe sur la crise en Syrie, et est prête à une «coopération étroite» avec lui, a indiqué vendredi le ministère russe des Affaires étrangères. «Compte tenu du mandat de Kofi Annan, la partie russe est prête à une coopération étroite avec lui pour chercher les voies vers un règlement acceptable pour tous» de la crise syrienne, a indiqué la diplomatie russe sur son site. La Ligue arabe et les Nations unies ont annoncé jeudi que Kofi Annan avait été désigné comme leur «émissaire conjoint» sur la crise en Syrie pour notamment «faciliter un règlement pacifique et complet» de la crise par les Syriens eux-mêmes. S'exprimant vendredi à Genève, Kofi Annan écrit dans un communiqué qu'il «compte sur la pleine coopération de tous les acteurs concernés et toutes les parties prenantes et sur leur soutien à cet effort déterminé et conjoint des Nations unies et de la Ligue arabe pour contribuer à mettre fin à la violence et aux violations des droits de l'homme, et pour promouvoir une solution pacifique à la crise syrienne». «Mettre un terme aux violences» Il se dit «honoré d'accepter le rôle d'envoyé spécial conjoint pour la crise syrienne, et de la confiance qui a été placée en lui». Il sera assisté par un «adjoint choisi dans la région arabe», précise le texte qui ne donne cependant pas le nom de ce dernier. L'émissaire sera chargé «d'offrir ses bons offices afin de mettre un terme à toutes violences et violations des droits de l'homme, et à promouvoir une solution pacifique à la crise syrienne». Dans une résolution adoptée massivement la semaine dernière, l'Assemblée générale de l'ONU avait demandé à Damas de mettre un terme à la répression féroce menée contre sa population civile et réclamé la nomination d'un envoyé spécial. La Russie, alliée de longue date du régime du président Bachar al-Assad, et la Chine, avaient voté contre, après avoir déjà opposé leur veto à deux résolutions du Conseil de sécurité sur la Syrie. La répression en Syrie a fait près de 7 600 morts depuis mars 2011, selon des organisations syriennes de défense des droits de l'homme. «Compte tenu du mandat de Kofi Annan, la partie russe est prête à une coopération étroite avec lui pour chercher les voies vers un règlement acceptable pour tous» de la crise syrienne, a indiqué la diplomatie russe sur son site. La Ligue arabe et les Nations unies ont annoncé jeudi que Kofi Annan avait été désigné comme leur «émissaire conjoint» sur la crise en Syrie pour notamment «faciliter un règlement pacifique et complet» de la crise par les Syriens eux-mêmes. S'exprimant vendredi à Genève, Kofi Annan écrit dans un communiqué qu'il «compte sur la pleine coopération de tous les acteurs concernés et toutes les parties prenantes et sur leur soutien à cet effort déterminé et conjoint des Nations unies et de la Ligue arabe pour contribuer à mettre fin à la violence et aux violations des droits de l'homme, et pour promouvoir une solution pacifique à la crise syrienne». «Mettre un terme aux violences» Il se dit «honoré d'accepter le rôle d'envoyé spécial conjoint pour la crise syrienne, et de la confiance qui a été placée en lui». Il sera assisté par un «adjoint choisi dans la région arabe», précise le texte qui ne donne cependant pas le nom de ce dernier. L'émissaire sera chargé «d'offrir ses bons offices afin de mettre un terme à toutes violences et violations des droits de l'homme, et à promouvoir une solution pacifique à la crise syrienne». Dans une résolution adoptée massivement la semaine dernière, l'Assemblée générale de l'ONU avait demandé à Damas de mettre un terme à la répression féroce menée contre sa population civile et réclamé la nomination d'un envoyé spécial. La Russie, alliée de longue date du régime du président Bachar al-Assad, et la Chine, avaient voté contre, après avoir déjà opposé leur veto à deux résolutions du Conseil de sécurité sur la Syrie. La répression en Syrie a fait près de 7 600 morts depuis mars 2011, selon des organisations syriennes de défense des droits de l'homme.