Le Front des forces socialistes (FFS) tranchera définitivement demain sur sa participation ou non aux élections législatives du 10 mai prochain. Le Front des forces socialistes (FFS) tranchera définitivement demain sur sa participation ou non aux élections législatives du 10 mai prochain. Le conseil national du parti qui se tiendra, en effet, en session extraordinaire, devrait, sauf revirement inattendu, entériner la décision de prendre part aux prochaines échéances, marquant ainsi le retour du plus vieux parti de l'opposition au sein de l'hémicycle après dix années d'absence. Néanmoins, le parti de Hocine Aït Ahmed a fait preuve de beaucoup de tergiversations concernant les prochaines législatives, ce qui a laissé libre cours à moult interprétations. De rumeurs aussi. Si certains n'hésitent pas à avancer que le FFS avait négocié au préalable le nombre de sièges qu'il obtiendrait au prochain scrutin, d'autres se sont lancés dans les rumeurs les plus folles impliquant les plus hautes autorités du pays et le leader charismatique du parti. D'ailleurs, les adeptes de ces thèses n'hésitent pas à mettre en avant la visite presque en catimini qu'avait effectuée Ait Ahmed en Algérie au mois de mai écoulé lors de laquelle il aurait rencontré de hauts responsables. Ainsi, la participation du FFS aux législatives se confirme chaque jour un peu plus. Et ce n'est certainement pas la défection du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) de Saïd Sadi qui en disconviendra. Bien que la défection du RCD est, elle aussi, sujette à moult interprétations, la participation du plus vieux parti de l'opposition au scrutin du 10 mai prochain, représente un gage supplémentaire pour l'opinion internationale, puis nationale, sur les garanties de transparence émises par le président de la République et les institutions compétentes de l'Etat. Le FFS sous la houlette de son leader historique Aït Ahmed, membre respecté de l'Internationale socialiste et, par ricochet, de l'opinion internationale, procurerait un crédit inestimable pour la réussite des législatives, dans un environnement régional et mondial en ébullition. Sans vouloir anticiper sur les événements, les observateurs de la scène politique nationale sont unanimes à prédire la participation du FFS aux élections législatives du 10 mai prochain. En plus de la défection du RCD, ils aperçoivent beaucoup de signes avant-coureurs renforçant davantage l'option de participation du FFS. Le remaniement de la composante du secrétariat national, avec à la clé le rappel des anciens cadres et militants à l'image des Ali Laskri et le Dr Djeddai, en est l'une des prédispositions du FFS pour aborder les législatives. Aussi la grande dynamique de proximité entreprise par ce même secrétariat est-elle annonciatrice d'un événement grandiose dans l'avenir proche, qui n'est autre que le scrutin législatif. Qu'à cela ne tienne, la participation du FFS aux élections est aussi un facteur de garantie pour sensibiliser les électeurs à se présenter massivement aux urnes. A se demander alors, dans ce cas de figure, si la décision prise par le RCD de boycotter les élections législatives n'obéit pas, elle aussi, à cette nécessité d'inciter les Algériens à voter et contrecarrer l'abstention ! Car, ce qui compte le plus pour la crédibilité des élections, c'est la participation massive des citoyens et pas celle des partis. Le conseil national du parti qui se tiendra, en effet, en session extraordinaire, devrait, sauf revirement inattendu, entériner la décision de prendre part aux prochaines échéances, marquant ainsi le retour du plus vieux parti de l'opposition au sein de l'hémicycle après dix années d'absence. Néanmoins, le parti de Hocine Aït Ahmed a fait preuve de beaucoup de tergiversations concernant les prochaines législatives, ce qui a laissé libre cours à moult interprétations. De rumeurs aussi. Si certains n'hésitent pas à avancer que le FFS avait négocié au préalable le nombre de sièges qu'il obtiendrait au prochain scrutin, d'autres se sont lancés dans les rumeurs les plus folles impliquant les plus hautes autorités du pays et le leader charismatique du parti. D'ailleurs, les adeptes de ces thèses n'hésitent pas à mettre en avant la visite presque en catimini qu'avait effectuée Ait Ahmed en Algérie au mois de mai écoulé lors de laquelle il aurait rencontré de hauts responsables. Ainsi, la participation du FFS aux législatives se confirme chaque jour un peu plus. Et ce n'est certainement pas la défection du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) de Saïd Sadi qui en disconviendra. Bien que la défection du RCD est, elle aussi, sujette à moult interprétations, la participation du plus vieux parti de l'opposition au scrutin du 10 mai prochain, représente un gage supplémentaire pour l'opinion internationale, puis nationale, sur les garanties de transparence émises par le président de la République et les institutions compétentes de l'Etat. Le FFS sous la houlette de son leader historique Aït Ahmed, membre respecté de l'Internationale socialiste et, par ricochet, de l'opinion internationale, procurerait un crédit inestimable pour la réussite des législatives, dans un environnement régional et mondial en ébullition. Sans vouloir anticiper sur les événements, les observateurs de la scène politique nationale sont unanimes à prédire la participation du FFS aux élections législatives du 10 mai prochain. En plus de la défection du RCD, ils aperçoivent beaucoup de signes avant-coureurs renforçant davantage l'option de participation du FFS. Le remaniement de la composante du secrétariat national, avec à la clé le rappel des anciens cadres et militants à l'image des Ali Laskri et le Dr Djeddai, en est l'une des prédispositions du FFS pour aborder les législatives. Aussi la grande dynamique de proximité entreprise par ce même secrétariat est-elle annonciatrice d'un événement grandiose dans l'avenir proche, qui n'est autre que le scrutin législatif. Qu'à cela ne tienne, la participation du FFS aux élections est aussi un facteur de garantie pour sensibiliser les électeurs à se présenter massivement aux urnes. A se demander alors, dans ce cas de figure, si la décision prise par le RCD de boycotter les élections législatives n'obéit pas, elle aussi, à cette nécessité d'inciter les Algériens à voter et contrecarrer l'abstention ! Car, ce qui compte le plus pour la crédibilité des élections, c'est la participation massive des citoyens et pas celle des partis.