La lutte commune contre la radicalisation violente et son corollaire, le terrorisme, ne peut être qu'une œuvre "soutenue" et de "longue haleine", a souligné hier Kamel Rezzag Bara, conseiller auprès de la présidence. "Le terrorisme, qui est la forme extrême de l'illustration de la radicalisation violente, ne peut être traité efficacement qu'à travers une meilleure appréhension des processus divers qui mènent vers cet aboutissement", a-t-il indiqué dans une intervention à l'ouverture d'un séminaire sur la radicalisation et la lutte contre ce phénomène, organisé par le Centre africain d'études et de recherche sur le terrorisme (CAERT), en collaboration avec l'Unité de fusion et de liaison (UFL) des pays du champ. Cette rencontre "offrira assurément aux pays de la sous-région l'opportunité d'échanger leurs expériences et de discuter des meilleures pratiques relevant de leurs actions dans le domaine de la prévention et de la lutte contre la radicalisation violente", a soutenu Rezzag Bara. Rezzag Bara a mis en évidence les initiatives politiques articulées autour de la concorde civile en 1999, puis la réconciliation nationale en 2005, conjuguées à la mise en œuvre d'un ambitieux plan de développement et de relance économique et sociale, soulignant que ces initiatives "ont consommé tant la défaite militaire que la déroute politique du terrorisme lié aux groupes armés". Il a reconnu, cependant, la "complexité" de la lutte contre ce phénomène, notamment à la lumière des attentats terroristes survenus ces derniers mois dans la région, notamment ceux perpétrés contre des cibles symboliques et le recours aux prises d'otages avec demande de rançons. "C'est en mettant en adéquation le discours contre ce fléau avec la réalité complexe sur le terrain que notre sous-région traduira au mieux la volonté continentale de faire front contre ce péril majeur", a-t-il suggéré. La lutte commune contre la radicalisation violente et son corollaire, le terrorisme, ne peut être qu'une œuvre "soutenue" et de "longue haleine", a souligné hier Kamel Rezzag Bara, conseiller auprès de la présidence. "Le terrorisme, qui est la forme extrême de l'illustration de la radicalisation violente, ne peut être traité efficacement qu'à travers une meilleure appréhension des processus divers qui mènent vers cet aboutissement", a-t-il indiqué dans une intervention à l'ouverture d'un séminaire sur la radicalisation et la lutte contre ce phénomène, organisé par le Centre africain d'études et de recherche sur le terrorisme (CAERT), en collaboration avec l'Unité de fusion et de liaison (UFL) des pays du champ. Cette rencontre "offrira assurément aux pays de la sous-région l'opportunité d'échanger leurs expériences et de discuter des meilleures pratiques relevant de leurs actions dans le domaine de la prévention et de la lutte contre la radicalisation violente", a soutenu Rezzag Bara. Rezzag Bara a mis en évidence les initiatives politiques articulées autour de la concorde civile en 1999, puis la réconciliation nationale en 2005, conjuguées à la mise en œuvre d'un ambitieux plan de développement et de relance économique et sociale, soulignant que ces initiatives "ont consommé tant la défaite militaire que la déroute politique du terrorisme lié aux groupes armés". Il a reconnu, cependant, la "complexité" de la lutte contre ce phénomène, notamment à la lumière des attentats terroristes survenus ces derniers mois dans la région, notamment ceux perpétrés contre des cibles symboliques et le recours aux prises d'otages avec demande de rançons. "C'est en mettant en adéquation le discours contre ce fléau avec la réalité complexe sur le terrain que notre sous-région traduira au mieux la volonté continentale de faire front contre ce péril majeur", a-t-il suggéré.