Les Bourses européennes ont accusé vendredi un net recul, plombées par le ralentissement de la croissance chinoise et les inquiétudes persistantes sur la situation en Espagne et en Italie. Le ralentissement confirmé de la croissance chinoise, qui a atteint son niveau le plus faible en près de trois ans (+8,1% sur un an au premier trimestre) a eut un impact très fort sur les marchés. Autre facteur qui a plombé les bourses européennes, la hausse des taux d'emprunt de l'Italie et de l'Espagne sur le marché obligataire, les rendements espagnols à 10 ans flirtant de nouveau avec les 6%, alors que la baisse du moral des ménages américains n'a fait qu'accentuer la déception. L'indice Eurostoxx 50 a perdu 2,58%. La Bourse de Paris a clôturé en forte baisse de 2,47%, repassant sous les 3.200 points à 3.189,09 points. Le secteur bancaire a été particulièrement touché, Société Générale cédant 5,79% à 17,80 euros, BNP Paribas 5,22% à 30,40 euros et Crédit Agricole 5,08% à 3,91 euros. Plusieurs valeurs cycliques ont lourdement pâti du ralentissement en Chine, à l'image de Peugeot (-5,15% à 9,84 euros), de Lafarge (-4,94% à 30,88 euros) ou de Vinci (-4,21% à 34,83 euros). Madrid a plongé de 3,58% à 7.250,6 points, accablé par les mauvaises nouvelles. La dette des banques espagnoles envers la Banque centrale européenne a atteint 227,6 milliards d'euros. La forte tension a repris sur les taux d'emprunt de l'Italie et de l'Espagne sur le marché obligataire, les rendements espagnols à 10 ans flirtant de nouveau avec les 6%. Milan a plongé de 3,43% à 14.359 points, minée par la série de mauvaises nouvelles, dont un nouveau repli de sa production industrielle en février. Francfort a chuté de 2,36% à 6.583,90 points, faiblissant nettement après l'annonce d'une baisse plus prononcée que prévue du moral des ménages aux Etats-Unis. Londres a mieux résisté à la morosité ambiante, cédant 1,03% à 5.651,79 points. Les valeurs financières ont souffert, comme Man Group (-4,68% à 110 pence), les banques Barclays (-3,83% à 214,9 pence), Lloyds Banking Group (-3,63% à 30,75 pence) et la Royal Bank of Scotland (RBS) (-3,51% à 25,05 pence). Bruxelles a perdu 1,53% à 2.229,68 points. Les valeurs du secteur financier ont particulièrement faibli: KBC a chuté de 4,98% à 14,30 euros et l'assureur Ageas (ex-Fortis) de 3,61% à 1,47 euro. Lisbonne a cédé 0,75% à 5.217,68 points, plombé par la chute d'une partie du secteur financier. La BCP a dévissé de 5,17% et la BPI a chuté de 4,82%. La Bourse d'Amsterdam a clôturé vendredi en baisse de 1,53% à 306,12 points. Les Bourses européennes ont accusé vendredi un net recul, plombées par le ralentissement de la croissance chinoise et les inquiétudes persistantes sur la situation en Espagne et en Italie. Le ralentissement confirmé de la croissance chinoise, qui a atteint son niveau le plus faible en près de trois ans (+8,1% sur un an au premier trimestre) a eut un impact très fort sur les marchés. Autre facteur qui a plombé les bourses européennes, la hausse des taux d'emprunt de l'Italie et de l'Espagne sur le marché obligataire, les rendements espagnols à 10 ans flirtant de nouveau avec les 6%, alors que la baisse du moral des ménages américains n'a fait qu'accentuer la déception. L'indice Eurostoxx 50 a perdu 2,58%. La Bourse de Paris a clôturé en forte baisse de 2,47%, repassant sous les 3.200 points à 3.189,09 points. Le secteur bancaire a été particulièrement touché, Société Générale cédant 5,79% à 17,80 euros, BNP Paribas 5,22% à 30,40 euros et Crédit Agricole 5,08% à 3,91 euros. Plusieurs valeurs cycliques ont lourdement pâti du ralentissement en Chine, à l'image de Peugeot (-5,15% à 9,84 euros), de Lafarge (-4,94% à 30,88 euros) ou de Vinci (-4,21% à 34,83 euros). Madrid a plongé de 3,58% à 7.250,6 points, accablé par les mauvaises nouvelles. La dette des banques espagnoles envers la Banque centrale européenne a atteint 227,6 milliards d'euros. La forte tension a repris sur les taux d'emprunt de l'Italie et de l'Espagne sur le marché obligataire, les rendements espagnols à 10 ans flirtant de nouveau avec les 6%. Milan a plongé de 3,43% à 14.359 points, minée par la série de mauvaises nouvelles, dont un nouveau repli de sa production industrielle en février. Francfort a chuté de 2,36% à 6.583,90 points, faiblissant nettement après l'annonce d'une baisse plus prononcée que prévue du moral des ménages aux Etats-Unis. Londres a mieux résisté à la morosité ambiante, cédant 1,03% à 5.651,79 points. Les valeurs financières ont souffert, comme Man Group (-4,68% à 110 pence), les banques Barclays (-3,83% à 214,9 pence), Lloyds Banking Group (-3,63% à 30,75 pence) et la Royal Bank of Scotland (RBS) (-3,51% à 25,05 pence). Bruxelles a perdu 1,53% à 2.229,68 points. Les valeurs du secteur financier ont particulièrement faibli: KBC a chuté de 4,98% à 14,30 euros et l'assureur Ageas (ex-Fortis) de 3,61% à 1,47 euro. Lisbonne a cédé 0,75% à 5.217,68 points, plombé par la chute d'une partie du secteur financier. La BCP a dévissé de 5,17% et la BPI a chuté de 4,82%. La Bourse d'Amsterdam a clôturé vendredi en baisse de 1,53% à 306,12 points.