Le ministre de la Communication, Nacer Mehal, a appelé les professionnels du secteur de la communication et de la publicité activant sur le marché algérien à s'organiser et créer une association nationale. Le ministre de la Communication, Nacer Mehal, a appelé les professionnels du secteur de la communication et de la publicité activant sur le marché algérien à s'organiser et créer une association nationale. Le ministre qui s'exprimait à l'ouverture des travaux des 6e Journées euromaghrébines de la communication publicitaire, hier à Alger, et qui a été organisée par RH International Communication, a estimé nécessaire la mise en place d'une représentativité faisant lieu d'interlocuteur pour permettre au secteur de la communication en Algérie de se développer et prospérer. Pour l'heure, a rappelé M. Mehal, les projets de loi sur l'audiovisuel, la publicité et le sondage d'opinion sont en cours d'élaboration et seront soumis à la future Assemblée populaire nationale (APN). Il a, dans ce sens, appelé les acteurs de ce marché a apporter leur contribution. Evoquant le thème principal de la rencontre, le ministre a déclaré «être parfaitement sûr que cette rencontre suscitera un large débat qui permettra d'échanger des idées en vue de mieux appréhender la problématique de la communication publicitaire». Ce champ nouveau, a-t-il ajouté, a conduit beaucoup d'entrepreneurs, parmi eux des jeunes, pour «apporter leur créativité et leurs talents». Un encadrement juridique est nécessaire pour développer au mieux cette activité publicitaire, a-t-il dit, avant d'expliquer qu'il est temps de songer également à «des règles d'éthiques et de déontologie». Pour ce faire, M. Mehal a appelé les professionnels à y procéder, dit-il, en se regroupant sous la coupe d'une organisation appropriée. «J'attends beaucoup de la compétence des cadres algériens pour apporter leur connaissance en la matière pour œuvrer à donner à la publicité une saine et loyale concurrence», a affirmé M. Mehal. Pour l'organisateur de ces assises, qui a regroupé des participants algériens et internationaux du monde de la communication et de la publicité, M. Rachid Hessas, «l'un des objectifs de ces journées est de convenir de la création d'une association nationale des agences et spécialistes du monde de la communication». Selon lui, les professionnels ne sont nullement représentés dans une structure, d'où, ajoute-t-il, l'urgence d'aller vers l'installation d'une structure nationale, qui aura à sa charge de représenter mais aussi d'apporter les solutions nécessaires au bénéfice de la corporation. Les participants ont, dans leurs communications, relevé que le marché de la publicité en Algérie reste encore en deçà des attentes. Citant les enjeux économiques de la publicité et le produit intérieur brut (PIB), le marché de la publicité en l'Algérie, ont-ils indiqué, a généré 128 millions d'euros, avec une recette nette média/PIB de seulement 0,07%, soit 4 euros en terme de recettes nettes média par habitant. Ils ont, par ailleurs, mis le point sur le rôle positif de la publicité sur la croissance économique du pays, car, ont-ils souligné, "la publicité aide à l'innovation et a un apport considérable en terme de valeur ajoutée". Le ministre qui s'exprimait à l'ouverture des travaux des 6e Journées euromaghrébines de la communication publicitaire, hier à Alger, et qui a été organisée par RH International Communication, a estimé nécessaire la mise en place d'une représentativité faisant lieu d'interlocuteur pour permettre au secteur de la communication en Algérie de se développer et prospérer. Pour l'heure, a rappelé M. Mehal, les projets de loi sur l'audiovisuel, la publicité et le sondage d'opinion sont en cours d'élaboration et seront soumis à la future Assemblée populaire nationale (APN). Il a, dans ce sens, appelé les acteurs de ce marché a apporter leur contribution. Evoquant le thème principal de la rencontre, le ministre a déclaré «être parfaitement sûr que cette rencontre suscitera un large débat qui permettra d'échanger des idées en vue de mieux appréhender la problématique de la communication publicitaire». Ce champ nouveau, a-t-il ajouté, a conduit beaucoup d'entrepreneurs, parmi eux des jeunes, pour «apporter leur créativité et leurs talents». Un encadrement juridique est nécessaire pour développer au mieux cette activité publicitaire, a-t-il dit, avant d'expliquer qu'il est temps de songer également à «des règles d'éthiques et de déontologie». Pour ce faire, M. Mehal a appelé les professionnels à y procéder, dit-il, en se regroupant sous la coupe d'une organisation appropriée. «J'attends beaucoup de la compétence des cadres algériens pour apporter leur connaissance en la matière pour œuvrer à donner à la publicité une saine et loyale concurrence», a affirmé M. Mehal. Pour l'organisateur de ces assises, qui a regroupé des participants algériens et internationaux du monde de la communication et de la publicité, M. Rachid Hessas, «l'un des objectifs de ces journées est de convenir de la création d'une association nationale des agences et spécialistes du monde de la communication». Selon lui, les professionnels ne sont nullement représentés dans une structure, d'où, ajoute-t-il, l'urgence d'aller vers l'installation d'une structure nationale, qui aura à sa charge de représenter mais aussi d'apporter les solutions nécessaires au bénéfice de la corporation. Les participants ont, dans leurs communications, relevé que le marché de la publicité en Algérie reste encore en deçà des attentes. Citant les enjeux économiques de la publicité et le produit intérieur brut (PIB), le marché de la publicité en l'Algérie, ont-ils indiqué, a généré 128 millions d'euros, avec une recette nette média/PIB de seulement 0,07%, soit 4 euros en terme de recettes nettes média par habitant. Ils ont, par ailleurs, mis le point sur le rôle positif de la publicité sur la croissance économique du pays, car, ont-ils souligné, "la publicité aide à l'innovation et a un apport considérable en terme de valeur ajoutée".