«L'Alliance de l'Algérie verte» a, une fois de plus, fait preuve de son optimisme, voire même de sa certitude quant à sa victoire lors des élections législatives du 10 mai prochain. «Nous soulignons que si les élections législatives seront honnêtes et transparentes l'alliance occupera la première place» a, en effet,soutenu le secrétaire général du mouvement Enahda, Fateh Rebai. Ce dernier, qui s'exprimait hier lors d'une conférence de presse animée conjointement avec Aboudjerra Soltani, président du MSP, et Hamlaoui Akouchi, secrétaire général du mouvement El Islah, a précisé que cette «certitude vient du fait que le discours de l'alliance a trouvé un grand écho auprès des Algériens». Lui emboîtant le pas, Aboudjerra Soltani dira à son tour que «rien ne peut obstruer notre victoire sauf la fraude», avant d'ajouter, allant ainsi dans le même sens que Fateh Rebai, que "nous avons relevé une grande adhésion des Algériens à notre programme". «L'Alliance de l'Algérie verte» a, une fois de plus, fait preuve de son optimisme, voire même de sa certitude quant à sa victoire lors des élections législatives du 10 mai prochain. «Nous soulignons que si les élections législatives seront honnêtes et transparentes l'alliance occupera la première place» a, en effet,soutenu le secrétaire général du mouvement Enahda, Fateh Rebai. Ce dernier, qui s'exprimait hier lors d'une conférence de presse animée conjointement avec Aboudjerra Soltani, président du MSP, et Hamlaoui Akouchi, secrétaire général du mouvement El Islah, a précisé que cette «certitude vient du fait que le discours de l'alliance a trouvé un grand écho auprès des Algériens». Lui emboîtant le pas, Aboudjerra Soltani dira à son tour que «rien ne peut obstruer notre victoire sauf la fraude», avant d'ajouter, allant ainsi dans le même sens que Fateh Rebai, que "nous avons relevé une grande adhésion des Algériens à notre programme". Pour le président du MSP, qui assume en même temps la fonction de président de cette alliance des trois partis islamistes, «ceci nous amène à dire que nous n'avons pas besoin des instituts de sondage pour déterminer les intentions de vote des électeurs. Car pour nous, ces derniers ont déjà fait leur choix». Hamlaoui Akouchi n'est pas en reste puisque il affirme, lui aussi, que «l'adhésion à notre discours, qui s'est manifesté à travers l'affluence à nos rassemblements, a été sans précèdent et nous a même surpris». C'est partant de ce constat qu' Aboudjerra Soltani a affirmé que «l'Alliance verte va gagner 120 sièges au minimum, soit plus de 25% des suffrages, et le plus que nous accordera le peuple est le bienvenu». Avec cet optimisme l'alliance s'inscrit d'ores et déjà dans la perspective post électorale en ce sens qu'il est désormais question de la formation d'un gouvernement. «Nous avons un programme de gouvernement», martèle Fateh Rebai relayé par Aboudjerra Soltani qui souligne , quant à lui, que «nous voulons que la base du gouvernement soit la plus large possible» . En somme l'Alliance verte est prête à diriger un gouvernement de coalition et cela suppose, à l'évidence, la conclusion d'alliances avec d'autres partis politiques appartenant soit à la mouvance islamiste ou à d'autres mouvances politiques. Le trois leaders de cette alliance ont, par ailleurs, annoncé qu'il ont animé lors de cette première phase de la campagne électorale pas moins de 19 meetings dans 19 wilayas et 76 rencontres de proximité. Des rencontres de proximité qui n'ont pas été toujours faciles pour l'Alliance verte, car elles ont été, par deux fois, émaillées d'incidents. A Sidi Salem, à Annaba, comme à Kasr El Boukhari, dans la wilaya de Médéa, ils ont été pris à partie par une partie de la foule. Et à ce propos, Aboudjerra Soltani a été sans équivoque : «Une délégation de Kasr El Boukhari nous a présenté des excuses et nous a confirmé que ces gens là ont été payés par une partie que nous nous voulons pas dévoiler aujourd'hui, et ce pour perturber notre rencontre ». Soltani a aussi réfuté les accusations de la commission de contrôle des élections législatives selon lesquelles des partis ont instrumentalisé le discours religieux lors de la campagne électorale. «Nous n'avons jamais utilisé le discours religieux et nous sommes contre le monopole de la religion ou du nationalisme»,a-il précisé, en faisant clairement allusion au FLN et au RND.Il a aussi réfuté les accusations contre Amar Ghoul qui aurait pris à son compte la réalisation de l'autoroute Est-Ouest. «Ghoul est connu et il semble qu'il est devenu gênant pour certains. Et puis, cela dit , c'est Ghoul qui a réalisé ce projet et s'il a échoué cela aurait été utilisé contre lui», a dit Aboudjerra en critiquant ceux qui exploitent à leur profit l'image et le réalisations du président de la République. Notons que les conférenciers n'ont pas ménagé l'ENTV, accusée de faire dans les deux poids deux mesures et «donne une image déformée de nos rassemblements». Pour le président du MSP, qui assume en même temps la fonction de président de cette alliance des trois partis islamistes, «ceci nous amène à dire que nous n'avons pas besoin des instituts de sondage pour déterminer les intentions de vote des électeurs. Car pour nous, ces derniers ont déjà fait leur choix». Hamlaoui Akouchi n'est pas en reste puisque il affirme, lui aussi, que «l'adhésion à notre discours, qui s'est manifesté à travers l'affluence à nos rassemblements, a été sans précèdent et nous a même surpris». C'est partant de ce constat qu' Aboudjerra Soltani a affirmé que «l'Alliance verte va gagner 120 sièges au minimum, soit plus de 25% des suffrages, et le plus que nous accordera le peuple est le bienvenu». Avec cet optimisme l'alliance s'inscrit d'ores et déjà dans la perspective post électorale en ce sens qu'il est désormais question de la formation d'un gouvernement. «Nous avons un programme de gouvernement», martèle Fateh Rebai relayé par Aboudjerra Soltani qui souligne , quant à lui, que «nous voulons que la base du gouvernement soit la plus large possible» . En somme l'Alliance verte est prête à diriger un gouvernement de coalition et cela suppose, à l'évidence, la conclusion d'alliances avec d'autres partis politiques appartenant soit à la mouvance islamiste ou à d'autres mouvances politiques. Le trois leaders de cette alliance ont, par ailleurs, annoncé qu'il ont animé lors de cette première phase de la campagne électorale pas moins de 19 meetings dans 19 wilayas et 76 rencontres de proximité. Des rencontres de proximité qui n'ont pas été toujours faciles pour l'Alliance verte, car elles ont été, par deux fois, émaillées d'incidents. A Sidi Salem, à Annaba, comme à Kasr El Boukhari, dans la wilaya de Médéa, ils ont été pris à partie par une partie de la foule. Et à ce propos, Aboudjerra Soltani a été sans équivoque : «Une délégation de Kasr El Boukhari nous a présenté des excuses et nous a confirmé que ces gens là ont été payés par une partie que nous nous voulons pas dévoiler aujourd'hui, et ce pour perturber notre rencontre ». Soltani a aussi réfuté les accusations de la commission de contrôle des élections législatives selon lesquelles des partis ont instrumentalisé le discours religieux lors de la campagne électorale. «Nous n'avons jamais utilisé le discours religieux et nous sommes contre le monopole de la religion ou du nationalisme»,a-il précisé, en faisant clairement allusion au FLN et au RND.Il a aussi réfuté les accusations contre Amar Ghoul qui aurait pris à son compte la réalisation de l'autoroute Est-Ouest. «Ghoul est connu et il semble qu'il est devenu gênant pour certains. Et puis, cela dit , c'est Ghoul qui a réalisé ce projet et s'il a échoué cela aurait été utilisé contre lui», a dit Aboudjerra en critiquant ceux qui exploitent à leur profit l'image et le réalisations du président de la République. Notons que les conférenciers n'ont pas ménagé l'ENTV, accusée de faire dans les deux poids deux mesures et «donne une image déformée de nos rassemblements».