Le président du Front du changement (FC) s'est attaqué frontalement à l'argent sale qui a été dominat lors de la campagne électorale et qui menace sereinement la vie politique nationale. Abdelmadjid Menasra, qui a animé hier une conférence de presse à Alger, a aussi dénoncé l'ampleur grandissante de ce qu'il a appelé «l'islamophobie» et n'a pas manqué d'épingler les ministres candidats aux élections législatives du 10 mai prochain pour avoir, notamment, utilisé les moyens de l'Etat pour leur campagne électorale. «L'islamophobie» et l'argent sale ont été considérés par le président du FC comme les deux plus grands faits saillants de cette campagne électorale qui a été entamée le 15 avril et qui prendra fin le 6 mai prochain. Expliquant ses propos Menasra dira que «l'argent sale a envahi la campagne électorale notamment par l'achat des voix, le remplissage des salles de meetings, le plein de bouquets de fleurs et bien d'autres signes qui attestent de dépenses faramineuses». Ceci au moment où, a-t-il ajouté, «personne n'a enquêté sur ce phénomène», d'où son appel pressant en direction de la future APN afin qu'elle se penche sur la question. «Ce sont les institutions officielles qui devraient enquêter sur l'utilisation de l'argent sale» a souligné le conférencier tout en s'attaquant, par la suite, aux ministres candidats qui ont utilisé d'importantes somme d'argent durant la campagne électorale. «Certains ministres candidats ont réalisé des spots de publicité et des émissions qu'ils diffusent sur des chaînes de télévision et ils ne manquent pas non plus de faire des promesses aux citoyens comme si ils vont rester au gouvernement». Dans ce cadre il a épinglé directement le ministre de l'Enseignement supérieur, Rachid Harraoubia, qui anime la campagne électorale en abandonnant les universités dans lesquelles meurent les étudiants. Le conférencier fait allusion à l'étudiant mort ces derniers jours dans cette université provoquant une vive colère des étudiants. Menasra s'en est pris à ceux qui agitent le spectre de l'islam politique et des islamistes en Algérie en estimant que «c'est un phénomène qui n'a pas lieu d'être car nous sommes dans un pays musulman». Pour Menasra s'il ne faut pas utiliser l'islam a de fins politiques il n'est pas aussi normal de diminuer de la valeur de l'islam et de revenir au passé car , a-t-il précisé, «ce n'est pas l'islam qui est pas candidat dans ces élections mais les islamistes». Il a, par conséquent, appelé à la non utilisation de l'Islam dans la campagne électorale, comme cela doit être aussi le cas pour la révolution ou l'histoire du pays. Le président du Front du changement (FC) s'est attaqué frontalement à l'argent sale qui a été dominat lors de la campagne électorale et qui menace sereinement la vie politique nationale. Abdelmadjid Menasra, qui a animé hier une conférence de presse à Alger, a aussi dénoncé l'ampleur grandissante de ce qu'il a appelé «l'islamophobie» et n'a pas manqué d'épingler les ministres candidats aux élections législatives du 10 mai prochain pour avoir, notamment, utilisé les moyens de l'Etat pour leur campagne électorale. «L'islamophobie» et l'argent sale ont été considérés par le président du FC comme les deux plus grands faits saillants de cette campagne électorale qui a été entamée le 15 avril et qui prendra fin le 6 mai prochain. Expliquant ses propos Menasra dira que «l'argent sale a envahi la campagne électorale notamment par l'achat des voix, le remplissage des salles de meetings, le plein de bouquets de fleurs et bien d'autres signes qui attestent de dépenses faramineuses». Ceci au moment où, a-t-il ajouté, «personne n'a enquêté sur ce phénomène», d'où son appel pressant en direction de la future APN afin qu'elle se penche sur la question. «Ce sont les institutions officielles qui devraient enquêter sur l'utilisation de l'argent sale» a souligné le conférencier tout en s'attaquant, par la suite, aux ministres candidats qui ont utilisé d'importantes somme d'argent durant la campagne électorale. «Certains ministres candidats ont réalisé des spots de publicité et des émissions qu'ils diffusent sur des chaînes de télévision et ils ne manquent pas non plus de faire des promesses aux citoyens comme si ils vont rester au gouvernement». Dans ce cadre il a épinglé directement le ministre de l'Enseignement supérieur, Rachid Harraoubia, qui anime la campagne électorale en abandonnant les universités dans lesquelles meurent les étudiants. Le conférencier fait allusion à l'étudiant mort ces derniers jours dans cette université provoquant une vive colère des étudiants. Menasra s'en est pris à ceux qui agitent le spectre de l'islam politique et des islamistes en Algérie en estimant que «c'est un phénomène qui n'a pas lieu d'être car nous sommes dans un pays musulman». Pour Menasra s'il ne faut pas utiliser l'islam a de fins politiques il n'est pas aussi normal de diminuer de la valeur de l'islam et de revenir au passé car , a-t-il précisé, «ce n'est pas l'islam qui est pas candidat dans ces élections mais les islamistes». Il a, par conséquent, appelé à la non utilisation de l'Islam dans la campagne électorale, comme cela doit être aussi le cas pour la révolution ou l'histoire du pays.