Après le Parti des travailleurs (PT), qui a déjà annoncé sa non participation aux structures de l'Assemblée populaire nationale (APN), c'est au tour du Front des forces socialistes (FFS) d'en faire de même. Après le Parti des travailleurs (PT), qui a déjà annoncé sa non participation aux structures de l'Assemblée populaire nationale (APN), c'est au tour du Front des forces socialistes (FFS) d'en faire de même. Ces deux partis, qui disposent chacun d'un groupe parlementaire, ont donc dit non aux sollicitations du président de l'APN, Khelifa Ould Larbi. Autant dire que l'opposition ne sera pas représentée dans le bureau de l'APN et n'aura donc aucun poste de responsabilité au niveau des commissions permanentes de l'Assemblée. Un coup dur pour le nouveau président de l'APN qui a espéré associer ces deux partis de l'opposition à la gestion de structures de la chambre basse. Larbi Ould Khelifa doit se contenter de gérer l'APN avec le FLN, qui aura la part du lion puisque il a obtenu 208 sièges sur 462, ainsi que son allié et néanmoins frère ennemi, le RND, qui en a obtenu 68. Ces deux partis, qui disposent de la majorité absolue, seront «épaulés» toutefois par l'alliance de l'Algérie verte, la troisième force à l'APN avec 50 sièges, et les indépendants qui ont dépassé largement la barre des 1O sièges, ce qui leur permettra d'avoir un groupe parlementaire. Très attendue la décision du FFS a finalement été annoncée, mercredi dernier. Le parti de Hocine Ait Ahmed ne siégera donc pas au bureau de l'APN, comme il n'aura aucun poste de responsabilité dans les commissions permanentes. Avec les 27 sièges obtenus lors des élections législatives du 1O mai, le FFS aurait eu, notamment, droit à un poste de vice président à l'APN et à la présidence d'une des 12 commissions permanentes. Le FFS justifie son refus par «les conditions dans lesquelles a été élue l'Assemblée et qui n'ont pas donné lieu à une réelle représentation des citoyens». En somme, pour le FFS l'Assemblée actuelle est l'émanation d'un scrutin qui a été entaché de moult irrégularités ou, comme cela a été qualifié par de nombreux partis politiques, «l'actuelle APN est le résultat de la fraude». Dans le communiqué annonçant sa non participation aux structures de l'APN, le FFS ne prononce pas le mot fraude, mais fait juste une allusion. Mais il n'y a pas que cette raison qui a poussé le FFS à dire non à tout poste de responsabilité à la chambre basse puisque dans le communiqué il est aussi question de «garantir l'indépendance, la crédibilité du groupe parlementaire et sa liberté dans l'exercice parlementaire». Cependant le FFS estime que cette position «n'empêche pas la participation efficiente des députés du parti au sein des commissions, durant les séances plénières et par tous les instruments conférés par la loi, à l'intérieur et à l'extérieur du Parlement, pour revaloriser le travail politique et trouver des solutions aux préoccupations des citoyens». Avec cette position le FFS confirme qu'il reste dans l'opposition alors que beaucoup de bruits a couru sur son supposé «deal» avec le pouvoir. Certains commentateurs sont allés jusqu'à dire que le parti va intégrer le prochain gouvernement, ce qui a été démenti par les dirigeants du FFS. Le FFS a donc emboîté le pas au PT. Ce dernier parti avait déjà annoncé qu'il ne participera pas aux structures de l'Assemblée. Il faut dire que la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, n'a cessé de dénoncer les résultats des législatives, où son parti a obtenu 23 sièges, car pour elle le pouvoir a eu recours à la fraude au profit du FLN et du RND. Mme Hanoune a, depuis la proclamation des résultats, soutenu que «l'argent sale» a envahi l'APN. Notons que si les structures de l'APN n'ont pas encore été installées c'est parce que le président de l'Assemblée attendait d'avoir la réponse du FFS après avoir obtenu celle du PT. Ces deux partis, qui disposent chacun d'un groupe parlementaire, ont donc dit non aux sollicitations du président de l'APN, Khelifa Ould Larbi. Autant dire que l'opposition ne sera pas représentée dans le bureau de l'APN et n'aura donc aucun poste de responsabilité au niveau des commissions permanentes de l'Assemblée. Un coup dur pour le nouveau président de l'APN qui a espéré associer ces deux partis de l'opposition à la gestion de structures de la chambre basse. Larbi Ould Khelifa doit se contenter de gérer l'APN avec le FLN, qui aura la part du lion puisque il a obtenu 208 sièges sur 462, ainsi que son allié et néanmoins frère ennemi, le RND, qui en a obtenu 68. Ces deux partis, qui disposent de la majorité absolue, seront «épaulés» toutefois par l'alliance de l'Algérie verte, la troisième force à l'APN avec 50 sièges, et les indépendants qui ont dépassé largement la barre des 1O sièges, ce qui leur permettra d'avoir un groupe parlementaire. Très attendue la décision du FFS a finalement été annoncée, mercredi dernier. Le parti de Hocine Ait Ahmed ne siégera donc pas au bureau de l'APN, comme il n'aura aucun poste de responsabilité dans les commissions permanentes. Avec les 27 sièges obtenus lors des élections législatives du 1O mai, le FFS aurait eu, notamment, droit à un poste de vice président à l'APN et à la présidence d'une des 12 commissions permanentes. Le FFS justifie son refus par «les conditions dans lesquelles a été élue l'Assemblée et qui n'ont pas donné lieu à une réelle représentation des citoyens». En somme, pour le FFS l'Assemblée actuelle est l'émanation d'un scrutin qui a été entaché de moult irrégularités ou, comme cela a été qualifié par de nombreux partis politiques, «l'actuelle APN est le résultat de la fraude». Dans le communiqué annonçant sa non participation aux structures de l'APN, le FFS ne prononce pas le mot fraude, mais fait juste une allusion. Mais il n'y a pas que cette raison qui a poussé le FFS à dire non à tout poste de responsabilité à la chambre basse puisque dans le communiqué il est aussi question de «garantir l'indépendance, la crédibilité du groupe parlementaire et sa liberté dans l'exercice parlementaire». Cependant le FFS estime que cette position «n'empêche pas la participation efficiente des députés du parti au sein des commissions, durant les séances plénières et par tous les instruments conférés par la loi, à l'intérieur et à l'extérieur du Parlement, pour revaloriser le travail politique et trouver des solutions aux préoccupations des citoyens». Avec cette position le FFS confirme qu'il reste dans l'opposition alors que beaucoup de bruits a couru sur son supposé «deal» avec le pouvoir. Certains commentateurs sont allés jusqu'à dire que le parti va intégrer le prochain gouvernement, ce qui a été démenti par les dirigeants du FFS. Le FFS a donc emboîté le pas au PT. Ce dernier parti avait déjà annoncé qu'il ne participera pas aux structures de l'Assemblée. Il faut dire que la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, n'a cessé de dénoncer les résultats des législatives, où son parti a obtenu 23 sièges, car pour elle le pouvoir a eu recours à la fraude au profit du FLN et du RND. Mme Hanoune a, depuis la proclamation des résultats, soutenu que «l'argent sale» a envahi l'APN. Notons que si les structures de l'APN n'ont pas encore été installées c'est parce que le président de l'Assemblée attendait d'avoir la réponse du FFS après avoir obtenu celle du PT.