Trois sociétés, basées aux USA, en France et en Angleterre comptent investir le "créneau" de l' "assurance contre les kidnappings". Le marché semble juteux, mais cette fois pas seulement à l' AQMI (Al-Qaida au Maghreb Islamique) et au MUJAO (mouvement pour l' unicité et le djihad en Afrique de l' Ouest, qui détient, depuis le 05 avril 2012, sept diplomates algériens, enlevés à Gao, au nord du Mali). On ne connait pas encore tous les détails de l' "assurance contre les kidnappings". L' "assurance" semble être adressée aux ressortissants voyageant, notamment dans les pays "à risques", dont certains du Sahel. Les rapts de ressortissants étrangers au Mali, Niger et dans d' autres pays, comme ce fut le cas en Algerie, il y a quelques années, semblent avoir inspiré des sociétés à investir ce "créneau". Rezzag Bara, conseiller à la présidence de la République, avait annoncé, que "les terroristes avaient amassé 150 millions d' euros avec le paiement de rançons en contrepartie de la libération d' otages". A chaque rapt, des "médiateurs" étrangers entrent en jeu et gagnent, selon des sources locales au Mali, en Mauritanie et au Niger, jusqu' à l' équivalent de 7 millions DA, par négociaition et par personne. Il s' agit de "médiateurs" étrangers, dont des Maliens et des Mauritaniens, ajoutent les mêmes sources. Pour ce qui est des "assurances contre les kidnappings", des observateurs de la scène au Sahel disent ignorer si les assureurs paieront les rançons exigées par les ravisseurs en cas de rapt. Les observateurs craignent que les rapts au Sahel, trés préjudiciables à la stabilité de la région, deviennent un marché fructueux pour des parties et que ça encouragerait les terroristes d'AQMI et du MUJAO à faire d' autres victimes. Trois sociétés, basées aux USA, en France et en Angleterre comptent investir le "créneau" de l' "assurance contre les kidnappings". Le marché semble juteux, mais cette fois pas seulement à l' AQMI (Al-Qaida au Maghreb Islamique) et au MUJAO (mouvement pour l' unicité et le djihad en Afrique de l' Ouest, qui détient, depuis le 05 avril 2012, sept diplomates algériens, enlevés à Gao, au nord du Mali). On ne connait pas encore tous les détails de l' "assurance contre les kidnappings". L' "assurance" semble être adressée aux ressortissants voyageant, notamment dans les pays "à risques", dont certains du Sahel. Les rapts de ressortissants étrangers au Mali, Niger et dans d' autres pays, comme ce fut le cas en Algerie, il y a quelques années, semblent avoir inspiré des sociétés à investir ce "créneau". Rezzag Bara, conseiller à la présidence de la République, avait annoncé, que "les terroristes avaient amassé 150 millions d' euros avec le paiement de rançons en contrepartie de la libération d' otages". A chaque rapt, des "médiateurs" étrangers entrent en jeu et gagnent, selon des sources locales au Mali, en Mauritanie et au Niger, jusqu' à l' équivalent de 7 millions DA, par négociaition et par personne. Il s' agit de "médiateurs" étrangers, dont des Maliens et des Mauritaniens, ajoutent les mêmes sources. Pour ce qui est des "assurances contre les kidnappings", des observateurs de la scène au Sahel disent ignorer si les assureurs paieront les rançons exigées par les ravisseurs en cas de rapt. Les observateurs craignent que les rapts au Sahel, trés préjudiciables à la stabilité de la région, deviennent un marché fructueux pour des parties et que ça encouragerait les terroristes d'AQMI et du MUJAO à faire d' autres victimes.