Le prix du baril de pétrole brut poursuit sa glissade à New York et à Londres. Depuis son sommet de 2012, le prix du pétrole a perdu 24 % de sa valeur, pour atteindre un creux en huit mois. Le baril de brut est passé d'un sommet à 109 $US en février à 81,98 $US ce matin à la bourse Nymex de New York, en baisse de 1,25 $US. Il y a dix jours, la valeur du baril a reculé de près de 3,50 $US. À Londres, le baril de Brent de la Mer du Nord, pour livraison en juillet, est lui aussi en recul, à 97,17 $US. En mai seulement, les prix du pétrole ont chuté d'au moins 15 %. Les bourses du monde sont secouées par les incertitudes en Enrope et aux Etats-Unis. En Europe, Selon L'AIE,dans un rapport émis en mai dernier, les approvisionnements mondiaux en pétrole avaient progressé de 600.000 barils par jour (bpj) à 91 millions en avril et se situaient désormais à 3,9 millions de bpj au-dessus des niveaux d'avril 2011. Cette augmentation provient à 90% des pays de l'Opep. L'agence a maintenu pratiquement inchangées ses prévisions de croissance pour la demande mondiale de pétrole cette année, relevant ses projections de seulement 20.000 bpj à environ 90 millions bpj. En mars, les prix du pétrole ont touché un plus haut de trois ans et demi, le baril de Brent ayant atteint 128 dollars alors que les investisseurs redoutaient que le conflit entre l'Iran et les pays occidentaux ne pèse sur les approvisionnements en pétrole des pays du Moyen-Orient. Le prix du baril de pétrole brut poursuit sa glissade à New York et à Londres. Depuis son sommet de 2012, le prix du pétrole a perdu 24 % de sa valeur, pour atteindre un creux en huit mois. Le baril de brut est passé d'un sommet à 109 $US en février à 81,98 $US ce matin à la bourse Nymex de New York, en baisse de 1,25 $US. Il y a dix jours, la valeur du baril a reculé de près de 3,50 $US. À Londres, le baril de Brent de la Mer du Nord, pour livraison en juillet, est lui aussi en recul, à 97,17 $US. En mai seulement, les prix du pétrole ont chuté d'au moins 15 %. Les bourses du monde sont secouées par les incertitudes en Enrope et aux Etats-Unis. En Europe, Selon L'AIE,dans un rapport émis en mai dernier, les approvisionnements mondiaux en pétrole avaient progressé de 600.000 barils par jour (bpj) à 91 millions en avril et se situaient désormais à 3,9 millions de bpj au-dessus des niveaux d'avril 2011. Cette augmentation provient à 90% des pays de l'Opep. L'agence a maintenu pratiquement inchangées ses prévisions de croissance pour la demande mondiale de pétrole cette année, relevant ses projections de seulement 20.000 bpj à environ 90 millions bpj. En mars, les prix du pétrole ont touché un plus haut de trois ans et demi, le baril de Brent ayant atteint 128 dollars alors que les investisseurs redoutaient que le conflit entre l'Iran et les pays occidentaux ne pèse sur les approvisionnements en pétrole des pays du Moyen-Orient.