Après les hommes d'affaires et la recherche des opportunités pour se positionner sur le marché algérien, place aux politiques pour baliser le terrain et pousser encore plus loin le dialogue et la concertation sur les plans politique et économique. Les relations entre l'Algérie et le Royaume-Uni sont déjà excellentes et peuvent être encore renforcer et intensifier. Après les hommes d'affaires et la recherche des opportunités pour se positionner sur le marché algérien, place aux politiques pour baliser le terrain et pousser encore plus loin le dialogue et la concertation sur les plans politique et économique. Les relations entre l'Algérie et le Royaume-Uni sont déjà excellentes et peuvent être encore renforcer et intensifier. C'est dans ce cadre que le ministre britannique aux Affaires étrangères chargé des Affaires du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, Alistair Burt, sera aujourd'hui à Alger pour une visite de travail de trois jours (du 24 au 26 juin), à l'invitation du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel. Au cours de cette visite, Burt Alistair co-présidera avec son homologue algérien, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, les travaux de la 7ème session du comité algéro-britannique sur les relations bilatérales, a indiqué samedi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani. Rappelons que le Royaume-Uni est le 13e exportateur en Algérie et jeudi dernier, l'ambassadeur britannique à Alger, Martyn Ropper, lors d'un point de presse organisé en marge de l'ouverture de l'école «Babel language School» à Bejaia a expliqué que «les hommes d'affaires britanniques s'intéressent à l'Algérie, car il y a une stabilité politique, un programme d'investissement à travers le quinquennal et une grande évolution sur le plan sécuritaire». L'Algérie est un pays très important qui recèle d'énormes opportunités qui méritent un partenariat solide entre les deux pays. Ces hommes d'affaires, croit-on savoir, veulent investir dans tous les secteurs à savoir les infrastructures, la santé, l'agriculture, le domaine pharmaceutique, les hydrocarbures et les énergies renouvelables. Les conditions sont réunies pour que les hommes d'affaires s'intéressent de plus près au marché algérien qui recèle beaucoup de potentialités et surtout stable sur le plan politique et économique. De la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), il est presque le seul pays à ne pas connaître les convulsions, souvent violentes, qui agitent cette partie du monde. D'ailleurs, dans l'agenda de la visite du responsable politique britannique, il est prévu que les deux ministres examineront aussi les principales questions de l'actualité politique régionale et internationale, notamment la situation qui prévaut au Sahel avec un regard particulier sur la crise au Mali, la situation en Syrie, le terrorisme international. Il est une question qui préoccupe présentement la communauté internationale : c'est la situation au Sahel sous tous ses aspects, sécuritaire et la mainmise de cette région sous l'emprise des armes et des narco-trafiquants et du crime organisé et la sécurité alimentaire des populations menacées par la famine. Alger et Londres ont les mêmes positions sur la situation au niveau du Sahel et les entretiens qui auront lieu à cette occasion s'inscrivent dans le cadre du «dialogue politique régulier» entre l'Algérie et le Royaume-Uni et répondent à la «volonté partagée» par les deux pays d' «intensifier leur coopération bilatérale dans tous les secteurs». C'est dans ce cadre que le ministre britannique aux Affaires étrangères chargé des Affaires du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, Alistair Burt, sera aujourd'hui à Alger pour une visite de travail de trois jours (du 24 au 26 juin), à l'invitation du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel. Au cours de cette visite, Burt Alistair co-présidera avec son homologue algérien, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, les travaux de la 7ème session du comité algéro-britannique sur les relations bilatérales, a indiqué samedi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani. Rappelons que le Royaume-Uni est le 13e exportateur en Algérie et jeudi dernier, l'ambassadeur britannique à Alger, Martyn Ropper, lors d'un point de presse organisé en marge de l'ouverture de l'école «Babel language School» à Bejaia a expliqué que «les hommes d'affaires britanniques s'intéressent à l'Algérie, car il y a une stabilité politique, un programme d'investissement à travers le quinquennal et une grande évolution sur le plan sécuritaire». L'Algérie est un pays très important qui recèle d'énormes opportunités qui méritent un partenariat solide entre les deux pays. Ces hommes d'affaires, croit-on savoir, veulent investir dans tous les secteurs à savoir les infrastructures, la santé, l'agriculture, le domaine pharmaceutique, les hydrocarbures et les énergies renouvelables. Les conditions sont réunies pour que les hommes d'affaires s'intéressent de plus près au marché algérien qui recèle beaucoup de potentialités et surtout stable sur le plan politique et économique. De la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), il est presque le seul pays à ne pas connaître les convulsions, souvent violentes, qui agitent cette partie du monde. D'ailleurs, dans l'agenda de la visite du responsable politique britannique, il est prévu que les deux ministres examineront aussi les principales questions de l'actualité politique régionale et internationale, notamment la situation qui prévaut au Sahel avec un regard particulier sur la crise au Mali, la situation en Syrie, le terrorisme international. Il est une question qui préoccupe présentement la communauté internationale : c'est la situation au Sahel sous tous ses aspects, sécuritaire et la mainmise de cette région sous l'emprise des armes et des narco-trafiquants et du crime organisé et la sécurité alimentaire des populations menacées par la famine. Alger et Londres ont les mêmes positions sur la situation au niveau du Sahel et les entretiens qui auront lieu à cette occasion s'inscrivent dans le cadre du «dialogue politique régulier» entre l'Algérie et le Royaume-Uni et répondent à la «volonté partagée» par les deux pays d' «intensifier leur coopération bilatérale dans tous les secteurs».