On a longtemps pensé que la cybercriminalité était un fléau qui touchait exclusivement les pays développés, à tort sans aucun doute. Avec l'Internet en Algérie, le terrorisme virtuel est un réel danger pour les enfants qui ne sont pas du tout à l'abri de pervers en tout genre. Sur la Toile, la violence trouve son univers et les vices de tout acabit, aussi. Et les mineurs s'adonnent à tout téléchargement sans aucun contrôle aussi bien des parents que des gérants de cyber. D'un seul clic de souris, d'une page web à une autre, les enfants sont soumis involontairement à des images très dures de pornographie, de violence. La pédophilie prend de l'ampleur et les enfants mineurs tombent dans les serres de pervers. C'est pourquoi il est important pour les parents de s'inquiéter quand leur ado passe des heures devant son PC au détriment de ses devoirs. Les logiciels de contrôle existent mais malheureusement pas institutionnalisés pour les sites jugés dangereux. La législation doit être plus rigoureuse pour une meilleure protection de l'enfant et les fournisseurs d'Internet devraient être soumis à obligation d'intégrer un filtrage pour chacune des ventes d'un ordinateur au profit des enfants. Le marché de la pornographie enfantine s'est fortement développé, profitant tout particulièrement de l'utilisation massive d'Internet et les vidéo-pornographies infantiles circulent en Algérie et sont diffusées sur Internet. La dernière en date étant l'affaire de Annaba qui a vu la mise sous les verrous d'un Européen. La Sûreté nationale a eu à traiter 37 affaires sur un cumul de trois ans. Bien peu au regard de ce qui se passe mais la DGSN ne peut à elle seule juguler le fléau et appelle à la promulgation d'une loi sur le contrôle des espaces Internet avec à la clé une stratégie nationale pour combattre le vice. Les parents sont les premiers interpellés, la société aussi, car sans contrôle direct, les enfants sont exposés aux dangers de la toile qui peuvent conduire à des dérapages aux conséquences dramatiques. On a longtemps pensé que la cybercriminalité était un fléau qui touchait exclusivement les pays développés, à tort sans aucun doute. Avec l'Internet en Algérie, le terrorisme virtuel est un réel danger pour les enfants qui ne sont pas du tout à l'abri de pervers en tout genre. Sur la Toile, la violence trouve son univers et les vices de tout acabit, aussi. Et les mineurs s'adonnent à tout téléchargement sans aucun contrôle aussi bien des parents que des gérants de cyber. D'un seul clic de souris, d'une page web à une autre, les enfants sont soumis involontairement à des images très dures de pornographie, de violence. La pédophilie prend de l'ampleur et les enfants mineurs tombent dans les serres de pervers. C'est pourquoi il est important pour les parents de s'inquiéter quand leur ado passe des heures devant son PC au détriment de ses devoirs. Les logiciels de contrôle existent mais malheureusement pas institutionnalisés pour les sites jugés dangereux. La législation doit être plus rigoureuse pour une meilleure protection de l'enfant et les fournisseurs d'Internet devraient être soumis à obligation d'intégrer un filtrage pour chacune des ventes d'un ordinateur au profit des enfants. Le marché de la pornographie enfantine s'est fortement développé, profitant tout particulièrement de l'utilisation massive d'Internet et les vidéo-pornographies infantiles circulent en Algérie et sont diffusées sur Internet. La dernière en date étant l'affaire de Annaba qui a vu la mise sous les verrous d'un Européen. La Sûreté nationale a eu à traiter 37 affaires sur un cumul de trois ans. Bien peu au regard de ce qui se passe mais la DGSN ne peut à elle seule juguler le fléau et appelle à la promulgation d'une loi sur le contrôle des espaces Internet avec à la clé une stratégie nationale pour combattre le vice. Les parents sont les premiers interpellés, la société aussi, car sans contrôle direct, les enfants sont exposés aux dangers de la toile qui peuvent conduire à des dérapages aux conséquences dramatiques.