A quelques jours du mois sacré de Ramadhan, tous les yeux sont braqués sur les marchés des fruits et légumes et plus particulièrement sur les prix qui y sont affichés. Si les prix en question ont connu une baisse sensible ces dernières semaines, il n'en demeure pas moins que l'on s'attend de plus en plus à des augmentations, devenues systématiques à chaque fois que le mois de carême est là. A quelques jours du mois sacré de Ramadhan, tous les yeux sont braqués sur les marchés des fruits et légumes et plus particulièrement sur les prix qui y sont affichés. Si les prix en question ont connu une baisse sensible ces dernières semaines, il n'en demeure pas moins que l'on s'attend de plus en plus à des augmentations, devenues systématiques à chaque fois que le mois de carême est là. Les autorités localaes de la wilaya de Tizi-Ouzou ont d'ailleurs choisi cette période de l'année pour inaugurer un nouveau marché de proximité de fruits et légumes. Le marché en question a été inauguré avant-hier. Il s'agit du premier marché du genre dans la wilaya de Tizi- Ouzou qui est d'une capacité de 150 stands. Ce marché est situé au niveau du carrefour du lieu dit l'Habitat, à l'entrée ouest de la ville des Genêts. A l'occasion de cette inauguration, des décisions d'affectation des cent cinquante stands ont été remises aux bénéficiaires. Ces derniers sont des jeunes qui exerçaient auparavant la même activité dans un cadre informel dans divers endroits, particulièrement dans les quartiers de la ville et de la Nouvelle Ville de Tizi-Ouzou. Les services de la wilaya précisent que l'opération en question est inscrite dans le cadre de la lutte contre la prolifération du commerce informel et vise à mettre fin aux désagréments occasionnés par l'occupation des trottoirs, l'obstruction des édifices publics et des voies, que la ville de Tizi Ouzou a eu à endurer. L'éradication de ces commerces illicites qui empoisonnaient le cadre de vie dans la capitale du Djurdjura a connu son premier jalon en mai 2011. A maintes reprises, des affrontements ont eu lieu entre les jeunes vendeurs délogés et les forces anti-émeutes surtout à la Nouvelle Ville et à la cité des 2000 logements, où était implanté le marché de fruits et légumes informel le plus important. L'ouverture de ce premier marché de fruits et légumes de proximité n'est qu'une première étape puisqu'elle sera suivie de plusieurs autres au niveau des autres villes de la wilaya, selon la même source. Jusque-là, le marché le plus important et le plus attractif de la wilaya reste celui de la ville de Drâa Ben Khedda. Situé à l'entrée ouest de la ville des Cigognes ; ce marché draine tous les jours que Dieu fait des milliers d'acheteurs et de clients fidèles. Deux raisons principales expliquent le succès qu'enregistre ce marché : d'abord la fraîcheur des marchandises exposées à la vente. Mais, ce qui constitue la plus grande attraction de ce marché reste les prix très compététifs proposés par les commerçants qui y exercent. Ces derniers préfèrent en effet engranger des bénéfices, non pas en augmentant leurs marges bénéficiares, mais plutôt en se tablant sur les quantités vendues. De cette manière, chacun trouve son compte, le client aussi bien que le vendeur. Il est déplorable toutefois de savoir que la culture des marchés hebdomadaires tend à disparaître dans plusieurs communes de la wilaya de Tizi-Ouzou. Plusieurs marchés hebdomadaires qui donnaient rendez-vous chaque fin de semaine à des citoyens qui venaient de partout sont en voie de disparition. C'est un pan de la culture kabyle qui s'en va ainsi car les marchés hebdomadaires n'étaient pas seulement des endroits d'échanges commerciaux. Ils étaient aussi des lieux de rencontre où la chaleur humaine était tout ce qu'il y avait de plus précieux. Les autorités localaes de la wilaya de Tizi-Ouzou ont d'ailleurs choisi cette période de l'année pour inaugurer un nouveau marché de proximité de fruits et légumes. Le marché en question a été inauguré avant-hier. Il s'agit du premier marché du genre dans la wilaya de Tizi- Ouzou qui est d'une capacité de 150 stands. Ce marché est situé au niveau du carrefour du lieu dit l'Habitat, à l'entrée ouest de la ville des Genêts. A l'occasion de cette inauguration, des décisions d'affectation des cent cinquante stands ont été remises aux bénéficiaires. Ces derniers sont des jeunes qui exerçaient auparavant la même activité dans un cadre informel dans divers endroits, particulièrement dans les quartiers de la ville et de la Nouvelle Ville de Tizi-Ouzou. Les services de la wilaya précisent que l'opération en question est inscrite dans le cadre de la lutte contre la prolifération du commerce informel et vise à mettre fin aux désagréments occasionnés par l'occupation des trottoirs, l'obstruction des édifices publics et des voies, que la ville de Tizi Ouzou a eu à endurer. L'éradication de ces commerces illicites qui empoisonnaient le cadre de vie dans la capitale du Djurdjura a connu son premier jalon en mai 2011. A maintes reprises, des affrontements ont eu lieu entre les jeunes vendeurs délogés et les forces anti-émeutes surtout à la Nouvelle Ville et à la cité des 2000 logements, où était implanté le marché de fruits et légumes informel le plus important. L'ouverture de ce premier marché de fruits et légumes de proximité n'est qu'une première étape puisqu'elle sera suivie de plusieurs autres au niveau des autres villes de la wilaya, selon la même source. Jusque-là, le marché le plus important et le plus attractif de la wilaya reste celui de la ville de Drâa Ben Khedda. Situé à l'entrée ouest de la ville des Cigognes ; ce marché draine tous les jours que Dieu fait des milliers d'acheteurs et de clients fidèles. Deux raisons principales expliquent le succès qu'enregistre ce marché : d'abord la fraîcheur des marchandises exposées à la vente. Mais, ce qui constitue la plus grande attraction de ce marché reste les prix très compététifs proposés par les commerçants qui y exercent. Ces derniers préfèrent en effet engranger des bénéfices, non pas en augmentant leurs marges bénéficiares, mais plutôt en se tablant sur les quantités vendues. De cette manière, chacun trouve son compte, le client aussi bien que le vendeur. Il est déplorable toutefois de savoir que la culture des marchés hebdomadaires tend à disparaître dans plusieurs communes de la wilaya de Tizi-Ouzou. Plusieurs marchés hebdomadaires qui donnaient rendez-vous chaque fin de semaine à des citoyens qui venaient de partout sont en voie de disparition. C'est un pan de la culture kabyle qui s'en va ainsi car les marchés hebdomadaires n'étaient pas seulement des endroits d'échanges commerciaux. Ils étaient aussi des lieux de rencontre où la chaleur humaine était tout ce qu'il y avait de plus précieux.